Le ralentissement de l’économie française est préoccupant pour la stabilité économique et sociale de la Guadeloupe.
—Par Jean-Marie Nol —
La situation économique actuelle de la France, caractérisée par une contraction marquée de l’activité du secteur privé, soulève de vives inquiétudes non seulement pour l’Hexagone mais aussi pour ses territoires d’outre-mer, en particulier la Guadeloupe. L’indice PMI Flash de S&P Global et de la Hamburg Commercial Bank (HCOB), qui s’est effondré à 44,5 en février contre 47,6 en janvier, illustre un ralentissement prononcé de l’économie française. Un indice inférieur à 50 signale en effet une contraction de l’activité, et ce niveau constitue un plus bas de 17 mois, traduisant une fragilité accrue de la dynamique économique nationale. Cette situation, si elle persiste, risque de se propager comme une tâche d’huile aux Antilles françaises, où l’économie guadeloupéenne pourrait se trouver particulièrement exposée.Huit mois après la dissolution de l’Assemblée nationale et trois mois après la censure du gouvernement Barnier, l’instabilité politique se fait durement ressentir sur l’économie selon le président de la chambre du commerce de l’industrie (CCI) qui s’est confié au Figaro .

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— Par Jean-Marie Nol —
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Les Antilles françaises traversent une période économique critique sans que nos élus ne prennent la mesure de l’urgence de la situation . Entre collectivités locales asphyxiées et ménages Martiniquais voire guadeloupéens submergés par l’endettement, la situation devient de plus en plus intenable. Alors que l’État impose de nouvelles restrictions budgétaires aux collectivités, les familles font face à une hausse vertigineuse du surendettement et des incidents bancaires. En Martinique , l’année 2025 s’annonce comme un tournant alarmant, révélateur d’une fragilité économique croissante. En effet, les
— Par Jean-Marie Nol —
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Un nouvel ordre économique mondial est en train de se façonner, bouleversant les équilibres établis et redistribuant les cartes de la puissance entre les nations. Les anciennes dynamiques, construites autour de l’Europe, des États-Unis et de certaines régions stratégiques, cèdent progressivement la place à de nouveaux centres de gravité économique. Au cœur de ces transformations, la région de la Caraïbe, autrefois perçue comme un carrefour géopolitique et économique stratégique par l’Europe et maintenant par les Etats Unis , glisse inexorablement vers un déclassement profond. Ce phénomène, loin d’être isolé, reflète une tendance globale marquée par le recul de l’Europe et la montée en puissance de l’Indo-Pacifique et de l’Amérique du Nord notamment des Etats Unis. Et pour cause, le chiffre à retenir est 26% et c’est le poids du produit intérieur brut (PIB) des États-Unis dans l’économie mondiale. Un indicateur – 29.720 milliards de dollars de PIB en 2024- , qui suffit à montrer, à lui seul, toute la puissance américaine. En comparaison, la zone euro fait pâle figure avec 15% du PIB mondial. L’Europe, qui représentait encore un cinquième du PIB mondial, voit son influence économique et politique s’effriter.
— Par Jean-Marie Nol —
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Les perspectives économiques pour 2025 ne semblent guère réjouissantes : alors faut – il s’inquiéter ?
— Par Jean-Marie Nol —
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