— Par Jean-Marie Nol —
Le tableau pour l’économie de la Guadeloupe est assez sombre : les annonces de fermetures d’entreprises se sont succédé fin 2024 et les perspectives de croissance sont tombées à « leur plus bas niveau depuis près de dix ans hors crise sanitaire », selon les données publiées par l’Insee. Un baromètre de l’IEDOM confirme cette mauvaise passe, avec des prévisions de recrutement des entreprises guadeloupéennes pour 2025 en net repli et alors même que la formation professionnelle traverse une mauvaise passe en Guadeloupe . Pourtant la formation initiale revêt une importance cruciale pour préparer les plus jeunes à intégrer le marché du travail. Cependant, de nombreux systèmes éducatifs ne parviennent pas à fournir les compétences nécessaires pour répondre aux besoins changeants du marché. Il faut aussi rassurer nos générations futures sur nos métiers, les leurs, et l’avenir de l‘entreprise dans le monde de demain. Leur donner l’envie, l’espoir de s’épanouir quotidiennement, les inspirer et être nous-mêmes inspirés par les enjeux d’avenir de la formation !
Mais actuellement ce n’est pas le cas de la fa formation professionnelle qui mal inspirée traverse actuellement une crise profonde, mettant en péril l’avenir économique et social du territoire.


Les Antilles françaises traversent une période économique critique sans que nos élus ne prennent la mesure de l’urgence de la situation . Entre collectivités locales asphyxiées et ménages Martiniquais voire guadeloupéens submergés par l’endettement, la situation devient de plus en plus intenable. Alors que l’État impose de nouvelles restrictions budgétaires aux collectivités, les familles font face à une hausse vertigineuse du surendettement et des incidents bancaires. En Martinique , l’année 2025 s’annonce comme un tournant alarmant, révélateur d’une fragilité économique croissante. En effet, les
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Un nouvel ordre économique mondial est en train de se façonner, bouleversant les équilibres établis et redistribuant les cartes de la puissance entre les nations. Les anciennes dynamiques, construites autour de l’Europe, des États-Unis et de certaines régions stratégiques, cèdent progressivement la place à de nouveaux centres de gravité économique. Au cœur de ces transformations, la région de la Caraïbe, autrefois perçue comme un carrefour géopolitique et économique stratégique par l’Europe et maintenant par les Etats Unis , glisse inexorablement vers un déclassement profond. Ce phénomène, loin d’être isolé, reflète une tendance globale marquée par le recul de l’Europe et la montée en puissance de l’Indo-Pacifique et de l’Amérique du Nord notamment des Etats Unis. Et pour cause, le chiffre à retenir est 26% et c’est le poids du produit intérieur brut (PIB) des États-Unis dans l’économie mondiale. Un indicateur – 29.720 milliards de dollars de PIB en 2024- , qui suffit à montrer, à lui seul, toute la puissance américaine. En comparaison, la zone euro fait pâle figure avec 15% du PIB mondial. L’Europe, qui représentait encore un cinquième du PIB mondial, voit son influence économique et politique s’effriter.
— Par Jean-Marie Nol —
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Les perspectives économiques pour 2025 ne semblent guère réjouissantes : alors faut – il s’inquiéter ?
— Par Jean-Marie Nol —
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