… mais une question de volontarisme pour promouvoir un autre système économique !
— Par Jean-Marie Nol —
La vie chère aux Antilles est une problématique persistante qui risque hélas de perdurer dans le temps , et qui malgré des mesures correctrices mises en place par les pouvoirs publics, continue de peser lourdement sur le quotidien des habitants. La baisse de l’octroi de mer et de la TVA, la limitation des marges commerciales, le financement de la continuité territoriale ou encore le bouclier qualité-prix ne sont que des ajustements techniques qui, bien qu’essentiels, n’attaquent pas le cœur du problème. C’est là un coup d’épée dans l’eau ! …Et surtout gardons nous de toute illusion sur la relance de l’agriculture telle que pratiquée actuellement et ce même avec une nouvelle répartition du POSEI , ainsi que sur le mirage de l’autonomie alimentaire. Tout cela ne changera rien, absolument rien à la vie chère.
Dans ce contexte, malgré les efforts de nos élus pour régler la question par le dépôt de propositions de lois, gageons que nous sommes encore loin de finir de gloser sur cette thématique de la vie chère.

Face à un monde qui mute à toute vitesse, les Antilles semblent accuser du retard à l’allumage face à la nécessité de s’adapter au changement de paradigme !
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol , économiste —
Il est plus que temps de cesser de rêver à atteindre l’autosuffisance alimentaire du fait du changement climatique !
— Par Jean-Marie Nol —
Pourquoi vouloir analyser uniquement le phénomène de l’exil des jeunes sur le plan politique et sociologique est une erreur ?
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— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Les Antilles françaises traversent une période économique critique sans que nos élus ne prennent la mesure de l’urgence de la situation . Entre collectivités locales asphyxiées et ménages Martiniquais voire guadeloupéens submergés par l’endettement, la situation devient de plus en plus intenable. Alors que l’État impose de nouvelles restrictions budgétaires aux collectivités, les familles font face à une hausse vertigineuse du surendettement et des incidents bancaires. En Martinique , l’année 2025 s’annonce comme un tournant alarmant, révélateur d’une fragilité économique croissante. En effet, les
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
—Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— par Jean-Marie Nol —
Un nouvel ordre économique mondial est en train de se façonner, bouleversant les équilibres établis et redistribuant les cartes de la puissance entre les nations. Les anciennes dynamiques, construites autour de l’Europe, des États-Unis et de certaines régions stratégiques, cèdent progressivement la place à de nouveaux centres de gravité économique. Au cœur de ces transformations, la région de la Caraïbe, autrefois perçue comme un carrefour géopolitique et économique stratégique par l’Europe et maintenant par les Etats Unis , glisse inexorablement vers un déclassement profond. Ce phénomène, loin d’être isolé, reflète une tendance globale marquée par le recul de l’Europe et la montée en puissance de l’Indo-Pacifique et de l’Amérique du Nord notamment des Etats Unis. Et pour cause, le chiffre à retenir est 26% et c’est le poids du produit intérieur brut (PIB) des États-Unis dans l’économie mondiale. Un indicateur – 29.720 milliards de dollars de PIB en 2024- , qui suffit à montrer, à lui seul, toute la puissance américaine. En comparaison, la zone euro fait pâle figure avec 15% du PIB mondial. L’Europe, qui représentait encore un cinquième du PIB mondial, voit son influence économique et politique s’effriter.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —