Vendredi 2 octobre au Tropiques-Atrium
Chorégraphe & danse : Christiane Emmanuel
Musiciens : Daniel Dantin, Micky Télèphe & Marc Séraline
Décor & scénographie : Valérie John
Création musicale : Jeff Baillard
Chant : Renée Capitaine
Montage décor : Gabrielle Talbot
Lumière : Dominique Guesdon
Environnement technique : Dominique Guesdon, Valérie Pétris & Mathurin Moisson
Environnement vidéo : Shirley Ruffin & David Gumbs
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« Alors que notre planète oscille entre bouleversements économiques, crise sociétale et cris de l’humain, ces événements m’interpellent sur le devenir de notre monde et plus particulièrement celui de la Martinique, île amoureuse du vent et qui ne sent plus bon la vanille.
Le beau et le laid se sont échangés leur chemise, alors je traverse ma mémoire et je pense à toutes ces grandes dates de l’histoire et à tous ceux qui se sont battus, et je me raccroche.
Parce que l’homme, qu’il soit martiniquais, caribéen, européen, américain, a toujours été au centre de mes recherches, je voudrais leur dédier une danse d’espoir.

La lecture du programme de Tropiques-Atrium


L’ARTCHIPEL
La Région Martinique dans le cadre du Grand Saint Pierre et la Municipalité de Saint Pierre invitent les pierrotins à assister à la projection d’un film
Le constat est sans appel et très inquiétant : pas une semaine sans qu’on apprenne de nouvelles coupes dans les budgets alloués par des collectivités à des théâtres publics, et ce mouvement touche à présent tous les établissements de la décentralisation théâtrale, cette histoire née dans l’après-guerre, qui a vu notre pays se doter d’un réseau unique au monde.
Stephen Frears considère Lance Armstrong comme un « psychopathe, une sorte de Scarface », et a conçu The Program à la façon d’un film de gangsters.
Mots sculptés sur bois brûlé
La comédienne a été sacrée dimanche soir aux Emmy Awards meilleure actrice dans une série dramatique pour How to Get Away With Murder. Elle est la première femme noire à décrocher ce prix dans l’histoire de la télévision américaine.

Le bizarre incident du chien pendant la nuit
Assistant, à Aix-en-Provence, à la représentation des deux superbes pièces de Preljocaj créées pour le New York City Ballet, Spectral Evidence, en 2013, sur une musique de John Cage et La Stravaganza, en 1993, sur des airs religieux de Vivaldi (plus quelques morceaux contemporains), on réfléchissait au contraste surprenant entre le spectacle donné sur la scène, empreint de la gracieuse élégance des danseurs, et celui qu’offrait la salle remplie de spectateurs ordinaires, lesquels, pour n’être pas vraiment des « gens ordinaires », se présentaient dans des atours dépourvus pour le moins d’élégance (à de rares exceptions près). Ce laisser-aller qu’on remarque désormais presque partout en France – y compris, dans les prétoires, à l’accoutrement des juges et des avocats – est-il le signe d’un égalitarisme démocratique de bon aloi ou, à l’inverse, celui d’une décadence profonde ? La question reste ouverte. Il n’en demeure pas moins que le contraste entre la salle et la scène apparaît aujourd’hui bien plus marqué qu’aux temps où l’on « s’habillait pour sortir », tout au moins les membres de la classe supérieure qui occupaient les loges, le parterre et le premier balcon.
Je m’appelle Mohammed Amr et je viens de Ramallah en Palestine. Actuellement je fait un Master de pédagogie musicale, mon instrument est le violon Alto, pour pouvoir payer mes études et promouvoir la culture Palestinienne, j’organise des concerts en Solo où je propose un programme varié, allant du répertoire Baroque avec les Suites de j.S Bach, en passant par la musique romantique et la musique moderne, sans oublier la musique orientale.
Le jazzman s’apprête à publier un CD en duo avec le pianiste Yvan Robilliard et joue en clôture du Festival Jazz Métis.

Le chanteur britannique sort un bel album de reprises jazz, en hommage à Nat King Cole.
Dans son excellent album NGRTD, le rappeur français pose la question de la négritude et interroge le système dominant.
Sans compromis, mais avec tendresse pour l’humanité.
La programmation du Théâtre de l’Odéon pour la saison 2015-2016 fait la part belle aux « poids lourds » de la scène européenne.
L’Université d’été fondée par Michel Didym est un dispositif pédagogique spécifiquement greffé sur La mousson d’été qui est animée par cinq artistes. Sous forme d’ateliers matinaux, cette formation/partage offre à 70 personnes, venues de toute l’Europe, la possibilité d’une formation in situ, de se trouver dans ce carrefour de l’écriture théâtrale et d’en devenir acteur. Dans un espace convivial, elle favorise les échanges, les rencontres, les découvertes. Elle donne l’occasion à des étudiants, des enseignants, des artistes et des professionnels du secteur culturel français et européen de se former aux spécificités de l’écriture théâtrale. Elle permet de rencontrer les artistes qui font la création d’aujourd’hui.