Du 14 décembre 2025 au 15 mars 2026 à !a Fondation Clément. Le programme!
L’exposition Aux origines de la Caraïbe : Taïnos & Kalinagos est la première à proposer une vision aussi complète des premiers peuplements de la région et des deux grandes sociétés amérindiennes présentes lors de l’arrivée des Européens à la fin du XVe siècle. Elle retrace plus de 6 000 ans d’histoire, éclairant les cultures, les savoir-faire et les croyances qui ont façonné les civilisations antillaises.
Elle offre une lecture renouvelée du passé des Taïnos et des Kalinagos, de leur rencontre brutale avec les conquistadors, mais aussi de leur héritage jusqu’à aujourd’hui. Bien qu’ils soient souvent simplifiés par les récits scolaires ou touristiques, ces peuples possédaient des cultures complexes, profondément enracinées dans une histoire longue faite de migrations, d’échanges et d’innovations. Les Taïnos occupaient alors les Grandes Antilles, les Bahamas et le nord des Petites Antilles, tandis que les Kalinagos vivaient dans le sud de ces dernières.
Une histoire millénaire
Les premiers habitants de la Caraïbe arrivent entre le IVe et le Ve millénaire av. n. è., probablement depuis l’Amérique centrale ou en longeant l’arc des Petites Antilles, alors relié au Venezuela par un niveau marin plus bas.


Vous avez déjà pu voir ses oeuvres sur les murs de la ville à travers des projets collectifs. Cette fois-ci, Syal, s’expose pour la première fois en solo, avec un commissariat de Medhi Michalon et Kelly Barast et nous ouvre les portes de sa forêt enchantée, au coeur du vivant. Feuilles séchées, fragments de bois, encres végétales et pigments deviennent matière pour recomposer le vivant. Siyonnaj est un carnet de passages, à la manière d’un herbier contemporain où chaque oeuvre est une halte et chaque feuille tombée, une empreinte laissée, l’exposition est à découvrir jusqu’au 26 novembre, au bar l’Insolite à Fort-de-France. 
Installé à la campagne de Ducos en Martinique, Alex SATURNIN, après avoir longtemps vécu au Canada en qualité de peintre, développe un art enraciné dans la nature, la mémoire et la lumière. Loin des effets de mode comme des « réseaux » du marché de l’art, il revendique une pratique intérieure, lente et sensuelle : une peinture qui se nourrit d’odeurs, de végétations, de couleurs exagérées et transposées. Rencontre avec un artiste pour qui peindre n’est pas représenter — mais tout simplement être.
— Par Jean Samblé —


— Par Sarha Fauré —
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— Par Alex Lollia (*)
La Station Culturelle, en partenariat avec le Parc Naturel Marin de Martinique (PNMM), le Conservatoire du littoral, et le Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM), a le plaisir de vous inviter au vernissage de l’exposition « 490 », le 26 septembre 2025 à 18h00 à Sainte-Marie.
Installé au Diamant, Claude Henry, artiste peintre martiniquais, a ouvert son atelier-galerie « Aux Couleurs Locales » face à la mer. Anciennement installé à Gallochat, il a choisi ce nouveau lieu « séduit par la sérénité et la solidarité des habitants ».
Je vous dois la vérité en peinture
Claude Henry : artiste peintre
La yole dans l’œuvre de Claude Henry
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La Fondation Clément offre aux Martiniquais le plaisir d’une belle redécouverte avec cette grande exposition rétrospective consacrée à un plasticien cubain, né en 1944, auteur d’une œuvre considérable couronnée de nombreuses récompenses et que les Cubains comparent par son importance à un Wifredo Lam. Plaisir de contempler des formes inédites dans le paysage de l’art caribéen contemporain. Certes, on avait déjà beaucoup vu de figures anthropo- ou anthropozoo-morphes mais celles-ci sont différentes, des êtres composites, difformes qui ne nuisent pas à l’équilibre, à l’harmonie du tableau ou de la sculpture.
— Par Marie Gauthier —
« Âmes en Mutation »
Dans la salle d’attente d’un cabinet de gynécologie, en Martinique, les patientes se surprennent à s’arrêter. À lire. À ressentir. L’artiste et poétesse
Since 1847
— Par Sarha Fauré —