De sa naissance jusqu’à l’âge de 16 ans, un enfant doit passer 20 examens médicaux obligatoires. Ceux-ci permettent un suivi de sa santé jusqu’à son adolescence. À compter du 1er janvier 2025, un des 14 examens prévus lors des 3 premières années des enfants est supprimé et un est ajouté entre leur 7e et leur 16e année.
Les 20 examens médicaux obligatoires que doit passer un enfant de sa naissance jusqu’à l’âge de 16 ans permettent :
- de s’assurer de sa bonne santé ;
- d’orienter sa famille vers une prise en charge complémentaire en cas de besoin.
Actuellement, durant les 3 premières années de sa vie un enfant doit passer 14 de ces examens de prévention ; à compter du 1er janvier 2025, il devra en passer 13. L’examen à effectuer entre sa 3e semaine et la fin du 1er mois sera supprimé. À partir du 1er janvier 2025, les premiers examens obligatoires des enfants devront ainsi avoir lieu :
- dans les 8 jours qui suivent leur naissance ;
- au cours de leur 2e semaine ;
- au cours de leur 2e mois ;
- au cours de leur 3e mois ;
- au cours de leur 4e mois.

Man tonbé blo !
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
L’image a rapidement circulé sur les réseaux sociaux. On y voit un élève debout dans une salle de classe, brandissant une arme en direction d’un enseignant assis à son bureau, tout en filmant la scène avec un téléphone portable. Il ne s’agit pas d’une mise en scène, mais bien d’une situation réelle. L’incident s’est en effet produit mercredi au lycée professionnel Raymond-Néris, au Marin, provoquant une vive émotion au sein de la communauté éducative.
Si vous élevez seul votre enfant ou vos enfants, vous pouvez bénéficier de plusieurs aides, sous certaines conditions.
La prime de Noël est une aide exceptionnelle attribuée à certains bénéficiaires de minima sociaux (revenu de solidarité active, allocation de solidarité spécifique, allocation équivalent retraite). Elle sera versée à ces foyers modestes à partir du 17 décembre, sans démarches à effectuer.
Fatwâ 
Le Prix Littéraire Fetkann-Maryse Condé 2024, catégorie « Recherche », a été décerné aujourd’hui à Bruno Maillard pour son ouvrage La vie des esclaves en prison. La Réunion, 1767-1848. Cette distinction, remise au Café de Flore à Paris, honore un travail de recherche rigoureux, soutenu par un jury composé d’éminents historiens. Le lauréat exprime sa grande joie, d’autant plus que sa sélection s’est faite parmi des ouvrages d’une qualité scientifique remarquable.
À l’heure où les préoccupations environnementales occupent une place croissante dans notre quotidien, de nombreuses personnes cherchent des moyens concrets pour réduire leur empreinte écologique. Or, la végétalisation de l’alimentation est
— Par Jean-Marie Nol —
Organisé par l’association D’un Livre à l’Autre, le Salon du Livre Jeunesse Afro-Caribéen vous invite pour sa 10e édition sous le thème « L’enfance », un rendez-vous incontournable pour petits et grands. Durant tout un week-end, plongez dans un univers littéraire riche et varié, célébrant la créativité et la diversité de la culture afro-caribéenne au Lycée Auffray de Clichy.
— Le n° 372 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —
Le président du Conseil exécutif a adressé le 25 novembre 2024 une lettre officielle au préfet de la Martinique pour réagir aux propos de Jean-Christophe Bouvier. Lors d’une émission diffusée sur Martinique La 1ère le 20 novembre 2024, ce dernier a remis en question l’existence de projets structurants menés par les élus martiniquais, affirmant que les Martiniquais n’avaient jamais su travailler ensemble pour élaborer un projet d’avenir.
Kélia Paulin
L’immense physicien que fut Albert Einstein aimait à dire : – je ne connais que deux choses infinies : l’univers et la bêtise humaine… et il rajoutait : – encore que pour l’univers je ne suis pas certain.
— Par Hélène Lemoine —

Dans le cadre de la campagne internationale de sensibilisation aux violences faites aux femmes, qui a débuté le 25 novembre, les clubs Soroptimist de l’île se sont associés au cinéma Madiana pour offrir une projection spéciale du film Julie se tait de Leonardo Van Dijl, le mardi 26 novembre à 18h, salle 5 de Madiana. Cette projection s’inscrit dans un effort collectif pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles, en particulier dans des milieux parfois insoupçonnés, comme celui du sport.
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— Par Jean-Marie Nol —