Le 23 mai est l’une des deux dates nationales françaises consacrées à la mémoire de la traite négrière et de l’esclavage colonial. Cette journée rend hommage aux millions de femmes, d’hommes et d’enfants arrachés à l’Afrique, déportés et réduits en esclavage pendant plus de deux siècles dans les colonies françaises. Reconnu comme crime contre l’humanité par la loi du 21 mai 2001, cet esclavage fait l’objet d’un devoir de mémoire essentiel.
Née de la marche historique du 23 mai 1998, qui rassembla 40 000 personnes à Paris pour honorer leurs ancêtres esclaves, cette journée est le fruit d’un long combat mené par les descendants d’esclaves, notamment le CM98. Elle a conduit à la reconnaissance officielle des victimes de l’esclavage colonial et à la création de mémoriaux à travers la France, en particulier en Île-de-France.
Le 23 mai est aujourd’hui un temps fort du souvenir et de la transmission. En 2025, cette journée s’annonce comme un moment d’intense recueillement, de partage et de fraternité. Elle sera marquée par des cérémonies commémoratives – républicaines et religieuses – et par un grand rassemblement culturel sur le parvis de la Basilique de Saint-Denis.

— Comuniqué d’Intercommunalité de France —
— Par Jean-Marie Nol —
Vous êtes sur le point de remplir votre déclaration des revenus de 2024 car la date limite pour chaque département approche. Où indiquer les dépenses liées à vos frais kilométriques professionnels ? Celles liées aux frais de garde à domicile ou encore les revenus d’une location ? Des solutions gratuites existent pour vous aider. 
La ville du Diamant vous invite à découvrir
— Par Sabrina Solar —
— Par Sabrina Solar —
Théâtre documentaire – À partir de 16 ans
—- Le n° 395 de « Révolution Socialiste », journal du GRS —
Il est des pages de l’histoire martiniquaise que l’on préfère taire. Celle du 24 mai 1925, au Diamant, en fait partie. Pourtant, ce jour-là, la Martinique a connu l’un des épisodes les plus sanglants de sa vie politique : une véritable guerre électorale, passée sous silence pendant trop longtemps.
Nous sommes français, laïcs, républicains, de toutes opinions. Certains d’entre nous ont l’habitude de s’exprimer à titre collectif. D’autres non. Mais si nous le faisons aujourd’hui ensemble, c’est parce que les circonstances sont particulièrement graves, et qu’il est encore temps d’agir. Nous sommes profondément attachés à l’existence de l’État d’Israël dans des frontières sûres et reconnues, à la création d’un État palestinien démocratique, à la paix et à la coopération entre ces deux entités. Nous avons été horrifiés par les crimes sanglants du Hamas le 7 octobre 2023, et les prises d’otages qui les ont accompagnés. Nous avons considéré que l’État d’Israël était alors en situation de légitime défense.
Paul Rastocle, musicien martiniquais et tanbouyé reconnu, est décédé le mardi 20 mai 2025 à l’âge de 93 ans. Né en janvier 1932 dans le quartier de Lassalle à Sainte-Marie, il a marqué de son empreinte la tradition du bèlè, à laquelle il a consacré la majeure partie de sa vie.
Par Jean-Marie Nol —
— Par Marie Gauthier —
— Par Daniel M. Berté —
Nina Soul Session n’est pas une simple émission musicale : c’est une expérience intime et envoûtante au coeur de la scène artistique martiniquaise. Produite par Windies Prod, ce programme unique donne la parole aux voix qui font vibrer la Martinique, dans un format acoustique élégant et sincère.
Animateur et producteur, il a marqué durant près de quarante ans le paysage audiovisuel martiniquais, d’abord à la radio RV7, puis au sein de RFO Martinique, devenue Martinique La 1ère. Il y a animé de nombreuses émissions culturelles, à la radio comme à la télévision, parmi lesquelles Mélod’hits, Tempo sur RFO, Notes d’hier et d’aujourd’hui ou encore Le grand bain.
— Par
Chapitre XIII
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— Éditorial du N° 228 de « Jik An Bout » (*) —