A Madiana mercredi 26 mars à 19h
Avec Carloto Cotta, Hoji Fortuna, Ruben Simões | 25 décembre 2024 en salle | 2h 07min | Drame
Synopsis
Îles de Sao Tomé-et-Principe, 1907. Le docteur Afonso vient refaire sa vie dans une plantation de cacao, où il doit soigner un groupe de serviteurs « infectés » par une maladie connue sous le nom de Banzo. Les décès se succèdent les uns aux autres, sans que personne ne semble pouvoir rien y faire. Par crainte que ce phénomène ne soit contagieux, le groupe est envoyé sur une colline isolée au milieu de la forêt.
La presse en parle :
Cahiers du Cinéma par Ariel Schweitzer
Il est donc bien question ici, […] de renverser le regard, politique aussi bien que cinématographique, devant ce banzo qui n’est pas uniquement la maladie du colonisé mais celle d’une civilisation européenne arrogante et aveugle.
Les Fiches du Cinéma par Jef Marcadé
Grâce à une mise en scène d’une grande subtilité, le film de Margarida Cardoso met à nu la dialectique du maitre et de l’esclave.
Libération par Sandra Onana
Sourcé dans les documents de vie quotidienne des domestiques, journaux de bord et autres récits en marge du quotidien des élites, « Banzo » donne l’impression d’allier minutie ultra documentée et geste de composition.

Le 24 mars 2025, Hamdan Ballal, coréalisateur palestinien du documentaire oscarisé No Other Land, a été arrêté par l’armée israélienne en Cisjordanie, suite à une violente attaque menée par des colons israéliens. Cette arrestation a eu lieu à Soussiya, un village situé dans le sud de la Cisjordanie, un territoire occupé par Israël depuis 1967. Selon les témoignages rapportés par Yuval Abraham et Basel Adra, les autres coréalisateurs du film, un groupe de colons a agressé Hamdan Ballal, le laissant blessé à la tête et au ventre. Après l’attaque, des soldats israéliens sont intervenus dans l’ambulance qu’il avait appelée et ont procédé à son arrestation, malgré son état de santé. Les témoins affirment avoir filmé les événements, et l’ONG Center for Jewish Nonviolence a également relayé ces informations.
Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) de Guadeloupe a déclenché, ce lundi 24 mars 2025, son plan blanc en raison d’une panne informatique majeure qui affecte l’établissement depuis plusieurs jours. La panne, bien que n’étant pas liée à une cyberattaque, a un impact significatif sur les opérations et la qualité des soins. Elle résulte d’une défaillance technique d’une baie de stockage des données, essentielle au bon fonctionnement des serveurs de l’hôpital. Cela a notamment perturbé les unités de soins, les rendus d’examens et le bureau des entrées.
Réalisé par Guan Hu (La Brigade des 800) et récompensé du Prix Un Certain Regard à la dernière édition du Festival de Cannes.
Avec Mia Tharia, Pascale Kann, Rakhee Thakrar
— Par Jean-Marie Nol —
— Communiqué de presse —
Synopsis
La 36ème édition de la Semaine de la Presse à l’École, qui se déroulera du 24 au 29 mars 2025, aura pour thème : « Où est l’info ? ». Cet événement national, incontournable pour l’éducation aux médias et à l’information (EMI), vise à aider les élèves de tous niveaux à comprendre l’univers des médias, à développer un esprit critique et à se former en tant que citoyens éclairés.
29 janvier 2025 en salle | 1h 45min | Documentaire
Pour sa 29ème édition, le FEMI propose une Sélection Officielle riche d’une cinquantaine de films où la Guadeloupe, la Martinique et la Guyane sont présentes en force : 8 courts-métrages documentaires, 25 courts-métrages de fiction, 11 documentaires et 6 longs-métrages venus de la Caraïbe, de l’Amérique latine, du continent africain et de l’Océan Indien… Les sections récemment initiées « Femmes dans le Monde » et « Rétrospective sur les cinémas caribéens » mettent en lumière des oeuvres rares : respectivement « Choke Hold », long-métrage saint-martinois, et « La Machette et le marteau », premier documentaire antillais, tourné en Guadeloupe dans les années 1970, resté longtemps difficile d’accès et récemment restauré par la Cinémathèque française. Côté longs-métrages de fiction, les terres de Guadeloupe, de la Guyane et d’Haïti sont généreusement représentées tandis qu’un film sur le célèbre Frantz FANON, venu d’Algérie et sélectionné à la Berlinale 2024, prestigieux festival international de Berlin, vous est présenté peu avant la sortie en salles imminente du « Fanon » de Jean-Claude BARNY, en écho et différences.
Je connais Anthony Phelps – que j’appelais Chico – depuis les années 60 à Paris. Jamais je n’oublierai la nuit passée dans un café du boul. Mich avec Davertige, à boire goulûment de la bière et à parler de tout et de rien. A l’époque, nous vivions dans les cafés.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par collectif (*)
Par Robin Campillo
Dans Que peut la Littérature ?, Patrick Chamoiseau interroge la puissance de la littérature, non seulement comme art de dire et d’exprimer, mais aussi comme force capable de réagir aux bouleversements et aux injustices du monde. Il ne se contente pas de se demander ce que la littérature peut dire ou comment elle se forme ; il interroge sa capacité à influencer, à éveiller les consciences, à transformer les réalités. En d’autres termes, il explore ce que la littérature peut faire, dans un monde en perpétuelle mutation, où les souffrances et les beautés coexistent.
Publication du roman inédit Kokliko, du premier roman de l’ancien rédacteur en chef de France Antilles Martinique Rudy Rabathaly.
Sélection Officielle Festival de Cannes « Un Certain Regard » | Lettonie, France, Belgique | 2024 | 1h25| Animation
Le Kolo Barst revient sur scène après une longue absence de 14 ans et présente son tout nouvel album Limiè Lorizon à Tropiques Atrium. Ce concert promet d’être un voyage musical et spirituel à travers la voix unique et les textes engagés de l’artiste.
— Par Jean-Marie Nol —
— Communiqué de la Confédération syndicale internationale —
Diffusé le 20 mars 2025 à 23h01 sur Culturebox, Black Label est un spectacle qui fusionne poésie, musique et danse pour rendre hommage à l’engagement antiraciste et à la lutte pour l’égalité. Inspiré par le recueil Black-Label de Léon-Gontran Damas, publié en 1956, ce spectacle met en lumière les voix de la négritude, tout en traversant les époques et les luttes, des premières revendications de la charte du Manden en 1222 aux mouvements contemporains comme Black Lives Matter.