La Rébellion de Stono débute le 9 septembre 1739
La Rébellion de Stono (appelée parfois Conspiration de Cato ou Rébellion de Cato) est une des premières rébellions contre l’esclavage qui a lieu à l’intérieur des frontières du territoire actuel des États-Unis. Le 9 septembre 1739, des esclaves de Caroline du Sud se sont rassemblés près de la rivière Stono dans le but de planifier une marche armée pour la liberté.
Causes
Plusieurs facteurs ont pu convaincre les esclaves qu’une rébellion pouvait conduire à leur liberté. Une épidémie de fièvre jaune avait affaibli le pouvoir des propriétaires d’esclaves, il y avait des prémices de guerre entre le Royaume-Uni et l’Espagne et beaucoup d’esclaves qui avaient obtenu leur liberté en s’échappant de la Floride alors contrôlée par l’Espagne, donnaient espoir aux esclaves de Caroline. Enfin, il a été suggéré que les esclaves ont organisé leur révolte de façon qu’elle ait lieu avant le 29 septembre, date à laquelle prenait effet la Loi sur la sécurité de 1739 (qui exigeait que tous les hommes blancs portent les armes tous les dimanches). Jemmy, le chef de la révolte, était un esclave instruit, que l’on décrivait comme originaire d’Angola, ce qui signifie probablement qu’il était originaire de l’Empire Kongo en Afrique centrale.

— Par Jean Samblé —
— Par Sarha Fauré —
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Par Jeanne Herry
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— Par Jean-Marie Nol —




J’ai dénoncé dès le début dans plusieurs articles la mystification qui consistait à fabriquer une crise sociale et un nouveau prophète venu d’on ne sait où pour la juguler.
En septembre, plusieurs nouveautés entrent en vigueur dans votre quotidien : aides financières, santé, impôts, retraite, engagement citoyen…
— Par Jean-Marie Nol —
— Par
— Par Sarha Fauré —
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À l’aube de cette rentrée 2025, l’Association Pour l’Information et la Prévention de la Drépanocytose (APIPD), fidèle à son engagement, continue son combat pour faire reculer la drépanocytose, une maladie génétique encore trop souvent ignorée, mais qui touche chaque année des milliers de vies.
— Par Max Orville (*) —
— RS n° 410 lundi 1er septembre 2025 —
Le silence de nos élu.e.s en dit long.
Une femme migrante, sans titre de séjour et mère de quatre enfants, a fait preuve d’un courage exemplaire en franchissant les portes du commissariat pour porter plainte contre la publication abusive de vidéos à caractère intime. Malgré sa situation administrative précaire, elle a choisi de passer outre l’opprobre, la peur et le silence, pour poser un geste fort au nom de sa dignité et de ses droits.
Installé au Diamant, Claude Henry, artiste peintre martiniquais, a ouvert son atelier-galerie « Aux Couleurs Locales » face à la mer. Anciennement installé à Gallochat, il a choisi ce nouveau lieu « séduit par la sérénité et la solidarité des habitants ».