Étiquette : Gérard Depardieu

« Des hommes », un film de Lucas Belvaux, Laurent Mauvignier

Lundi 14 et mercredi 16 juin à 19h30 à Madiana

Par Lucas Belvaux,
Avec Gérard Depardieu, Catherine Frot, Jean-Pierre Darroussin

Avertissement : des scènes, des propos ou des images peuvent heurter la sensibilité des spectateurs

Synopsis :
Ils ont été appelés en Algérie au moment des « événements » en 1960. Deux ans plus tard, Bernard, Rabut, Février et d’autres sont rentrés en France. Ils se sont tus, ils ont vécu leurs vies. Mais parfois il suffit de presque rien, d’une journée d’anniversaire, d’un cadeau qui tient dans la poche, pour que quarante ans après, le passé fasse irruption dans la vie de ceux qui ont cru pouvoir le nier.

La presse en parle :

Madinin’Art par Roland Sabra
Loin de tout manichéisme, un film sur ce refoulé colonial qui toujours fait retour et insiste, sur l’impossible saisie d’un réel enfoui dans le silence des mots. À voir pour que le passé se constitue en histoire.

20 Minutes par Caroline Vié
Gérard Depardieu a trouvé un réalisateur à sa mesure avec Des hommes.

CNews par La rédaction
A l’aide de flashbacks et porté par le texte de Laurent Mauvignier sur lequel le long-métrage s’appuie, Des hommes raconte l’histoire de ces appelés murés dans le silence qui ne parviennent pas à oublier l’horreur, et peinent à se reconstruire.

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Gérard Depardieu mis en examen pour viols

L’acteur français mondialement connu a été mis en examen en décembre dernier pour «viols

Monument du cinéma français, Gérard Depardieu a été mis en examen le 16 décembre pour « viols » et « agressions sexuelles », a appris l’Agence France-Presse (AFP), mardi 23 février, de source proche du dossier, confirmée par une source judiciaire.

La plaignante, une jeune comédienne qui dénonce plusieurs viols et agressions sexuelles en août 2018 au domicile parisien de l’acteur, avait obtenu à l’été 2020 que cette enquête, d’abord classée sans suite en juin 2019 par le parquet de Paris, soit confiée à un juge d’instruction.

L’avocat de l’acteur, Me Hervé Témime, a « déploré que cette information soit rendue publique ». Gérard Depardieu, qui a été laissé libre sans contrôle judiciaire, « conteste totalement les faits qui lui sont reprochés », a-t-il précisé. Ce nouveau statut de mis en examen donne à Gérard Depardieu la possibilité de se défendre activement au cours de la procédure mais fait planer la menace d’un éventuel procès contre lui.

L’actrice d’une vingtaine d’années avait initialement déposé plainte en se rendant à la gendarmerie de Lambesc (Bouches-du-Rhône) à la fin d’août 2018. Sur le procès-verbal, elle accusait l’acteur de deux viols et agressions sexuelles qui se seraient déroulés dans son hôtel particulier du 6e arrondissement de Paris, les 7 et 13 août 2018.

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L’antisémitisme nauséabond de « Welcome To New York »

Hésitant entre le documentaire animalier sur la vie sexuelle des bêtes et le film porno cheap, ce brulôt ajoute à la misogynie des relents antisémites douteux.

— Par Sorin Etienne —

welcome_to_n-yCRITIQUE -Le Figaro a vu le film d’Abel Ferrara inspiré de l’affaire DSK divulgué samedi soir sur la plage cannoise du Nikki Beach.

Pour ceux qui l’ignorent encore, Welcome to New York, s’inspire de la chute de l’ancien patron du FMI Dominique Strauss-Khan. Gérard Depardieu joue DSK, renommé Georges Devereaux. Il joue d’abord son propre rôle dans un prologue qui le montre répondant à des faux journalistes lors d’une fausse interview. «Je ne considère pas que je joue, je suis le personnage», explique l’acteur, précisant qu’il n’aime pas les gens qui font de la politique: «Je les hais». Et dès la première scène, on ne sait pas si on voit Depardieu ou DSK.

Toujours est-il que Devereaux n’a pas le temps de tomber le masque puisqu’il n’en porte pas. Dans son bureau cossu, il écoute à peine son chef de la sécurité lui expliquer le protocole qui l’attend en tant que candidat à l’élection présidentielle.

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« Welcome to New York » : Marketing 1 – Cinéma 0

— Par Christophe Carrière —
welcome_to_n-yRefusé par le Festival de Cannes, le long-métrage d’Abel Ferrara avec Gérard Depardieu en ersatz de DSK a été projeté sur une plage de la Croisette. Un événement orchestré de main de maître par le producteur Vincent Maraval, au service d’un très mauvais film.

Il s’appelle Devereaux, est un économiste français mondialement reconnu, est promis aux plus hautes fonctions de l’Etat, et a un appétit sexuel pathologique, au point de violer une femme de chambre dans un grand hôtel new-yorkais. Toute ressemblance avec un personnage existant n’est pas fortuite et ni Gérard Depardieu, interprète principal, ni le producteur Vincent Maraval, ne s’en cachent. C’est même l’élément marketing massue de ce film qui ne sortira pas en salles, mis en ligne sur les plateformes VOD depuis ce samedi 17 mai à 21h. L’autre argument poids lourd promotionnel est inattendu. Refusé par le comité de sélection du Festival de Cannes, Vincent Maraval fait de Welcome to New York un film maudit. Sous entendu ici et là que le Festival aurait subi des pressions pour que le long-métrage ne soit pas au programme officiel…

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Gérard Depardieu dans « L’Homme qui rit » : un dernier nanar pour la route

–A Madiana–

Par Vincent Malausa
Chroniqueur cinéma

LE PLUS. Ce jeudi 27 décembre, c’est l’anniversaire de Gérard Depardieu ! Et comme cadeau, quoi de plus beau que de jouer dans le nouveau film de Jean-Pierre Améris,  « L’Homme qui rit ». L’ex-monstre sacré du cinéma devenu une bête de foire médiatique réussit-il à faire oublier la polémique ? Vincent Malausa, chroniqueur cinéma au Plus, est loin d’être convaincu.

 L'homme qui rit (Thierry Valletoux / Inognita / Europacorp)

« L’homme qui rit » de Jean-Pierre Améris (Thierry Valletoux/Inognita/Europacorp)

CINÉMA. Il y a au moins une bonne raison d’apprécier « L’Homme qui rit » : celle de constater à quel point tout le délire qui a accompagné l’exil de « Depardiou » (tel qu’on le surnommait du temps de sa tentative ratée de conquête de l’Amérique) n’était que du vent. Du vent, car quand on décide aujourd’hui de mesurer de quelle perte réelle il s’agit pour ce sinistre « art national » dont l’acteur est censé incarner l’esprit et la lettre, le bilan touche au néant absolu.

 

Pars vite et reviens tard

 

Depuis qu’il s’est embarqué dans son rôle médiatique d’usine à gaz ou de citerne ambulante (pets, rots, insultes et arrogance de grand patron se relâchant en public), l’acteur pouvait se défendre au seul nom de son talent démesuré.

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Cohn-Bendit: Depardieu/Bardot  » des crétins finis  »

 

Poster-Tabou

L’eurodéputé écologiste Daniel Cohn-Bendit a traité vendredi Gérard Depardieu et Brigitte Bardot de « crétins finis », après que le premier a obtenu la nationalité russe et que la seconde a menacé de s’exiler en Russie.

« C’est des crétins finis. S’ils ont envie de dormir tous avec Poutine, qu’ils se mettent dans son lit et puis l’affaire est réglée », a déclaré le coprésident du groupe Verts au Parlement européen, interrogé par  BFMTV.

« L’autre fou qui déclare la Russie comme une grande démocratie, vraiment, il faut être complètement malade et complètement plein d’alcool ou de stéroïdes (…) pour dire des bêtises pareilles », s’est-il emporté à propos de Gérard Depardieu.

A propos de Brigitte Bardot, « si elle veut quitter la France, qu’elle aille en Russie, (…) en Sibérie, ça doit être formidable pour elle. Qu’elle passe tous ses hivers en Sibérie, dans les camps de concentration par exemple, ou les prisons… Vraiment, c’est d’une bêtise incroyable toute cette histoire », a ajouté Daniel Cohn-Bendit.

Brigitte Bardot a menacé de demander la nationalité russe si les autorités françaises décidaient d’euthanasier deux éléphantes malades à Lyon.

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