Enfant de Gaza***
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Samedi soir, plus de 150 personnes réunies devant la Maison du développement durable à Montréal pour un flashmob solidaire afin de demander la fin du génocide à Gaza et la protection des enfants.
Merci du fond du cœur à Karine Cloutier, qui a conçu et guidé la chorégraphie avec générosité et puissance.
Merci à Humanité & Inclusion Canada pour leur témoignage bouleversant qui nous a rappelé l’urgence d’agir.
Merci à l’équipe de projection qui a permis d’amplifier notre message.
Et surtout, merci à toutes et tous les militant·e·s qui ont donné de leur temps, leur énergie et leur voix pour faire de cette action un moment fort de solidarité.


Gaza (Territoires palestiniens) – Après les « traumas » de la quatrième guerre entre le Hamas et Israël, l’ONU a appelé dimanche à un « véritable » processus politique pour régler les causes du conflit israélo-palestinien, en sus de la reconstruction de Gaza, afin d’éviter un nouveau conflit.
Jérusalem – Des bureaux de médias pulvérisés à la thèse invérifiable d’une « manipulation » pour faire croire à la présence de soldats israéliens à Gaza: l’escalade militaire entre le Hamas et Israël rappelle l’adage selon lequel la vérité peut être la « première victime » de la guerre.
L’armée israélienne a bombardé, samedi, l’immeuble abritant les locaux de la chaîne de télévision qatarie Al-Jazira et l’agence de presse américaine Associated Press (AP) dans la bande de Gaza, ont constaté des journalistes de l’AFP. 
Ils ont fait une partie de leur service militaire le long de la bande de Gaza. Des années plus tard, deux jeunes Israéliens, conscients du défi auquel est confrontée l’armée face aux manifestants palestiniens, confient leur expérience au « Monde ».
Il s’agit de différentes questions ou affirmations que j’ai pu entendre auprès d’amis Martiniquais. Je ne suis ni écrivain, ni historien ni même journaliste j’essaie, en toute modestie , d’apporter des réponses avec ma vision des choses en espérant qu’elles puissent éclairer certain.
« Collabo, harki, sioniste, sale juif, kafir, mécréant, apostat, vendu, youpin, traître, salaud, r’khis, lâche, sale rabbin, merdeux, valet de BHL, suppôt d’Israël… » Voilà les qualificatifs dont on affuble Kamel Daoud, chroniqueur et romancier algérien, sur les forums. Quel crime a commis l’auteur pour être ainsi traîné dans la boue ? Les premiers jours de l’attaque de Gaza, il a écrit une chronique où il annonce qu’il n’est pas solidaire de la Palestine : « Non, donc, le chroniqueur n’est pas solidaire de cette “solidarité” qui vous vend la fin du monde et pas le début d’un monde, qui voit la solution dans l’extermination et pas dans l’humanité, qui vous parle de religion, pas de dignité, et de royaume céleste, pas de terre vivante ensemencée. »