« Josep » un film de Aurel

Avec Sergi López, David Marsais, Silvia Pérez Cruz
Nationalités Français, Espagnol, Belge
1h 11min / Animation, Historique, Biopic, Drame

Synopsis :
Février 1939. Submergé par le flot de Républicains fuyant la dictature franquiste, le gouvernement français les parque dans des camps. Deux hommes séparés par les barbelés vont se lier d’amitié. L’un est gendarme, l’autre est dessinateur. De Barcelone à New York, l’histoire vraie de Josep Bartolí, combattant antifranquiste et artiste d’exception.

La presse en parle :
Bande à part par Benoit Basirico
Une œuvre dessinée poignante par son sujet fort et sa forme audacieuse, où la poésie visuelle renforce la dureté du réel.

Culturebox – France Télévisions par Jacky Bornet
Regard sur l’histoire et drame humain, « Josep » illustre combien l’animation se prête au traitement de sujets graves. Le film méritait sa sélection à Cannes, autant par son sujet, son traitement que sa forme. Magnifique.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Aurel signe un magnifique et poignant film d’animation évoquant le destin de Josep Bartolí, dessinateur catalan ayant fui le régime de Franco en 1939 et qui s’est retrouvé dans d’immondes camps de la honte, en France.

Ouest France par M.O.
Un long métrage poignant et habilement construit.

Sud Ouest par Sophie Avon
Le film est splendide, non seulement parce qu’il prend le parti de la complexité jusque dans le trait, à la fois esquissé et ardent, mais aussi car il ressuscite une époque par le truchement d’une rencontre: celle d’un gamin d’aujourd’hui avec son grand-père.

Télérama par Guillemette Odicino
De ce Josep recommandé à tous les publics, beaucoup d’images resteront gravées, mais on en retient une en particulier : deux amis à la vie à la mort repeignant, en compagnie de Frida Kahlo, la façade d’une hacienda avec des couleurs éclatantes. Insolentes comme l’espoir.

20 Minutes par Caroline Vié
Le film rend un hommage intense à Josep Bartoli, à son talent, mais aussi à sa force de résistance.

CinemaTeaser par Perrine Quennesson
Mais surtout, le scénario de Jean-Louis Milesi démontre, s’il le fallait encore, à quel point la haine n’a pas besoin de causes pour exister, juste de faire de son prochain un Autre.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
Sobre, sans forçage sentimentaliste, Aurel ranime la figure de Bartoli dans une œuvre réaliste, redessinant à son tour, trait pour trait, ce tragique enfermement, mais aussi, l’espoir et des rêves de Bartoli. Le crayon est une arme.

La Croix par Stéphane Dreyfus
Un long-métrage animé, émouvant et singulier, qui fait œuvre de mémoire tout en rendant hommage à l’art graphique.

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Sobre, sans forçage sentimentaliste (…).

Le Journal du Dimanche par Baptiste Thion
Un film à l’esthétique superbe sur la transmission, le courage et l’amitié.

Le Nouvel Observateur par François Forestier
Ce biopic inspiré d’événements authentiques est poignant, et la colère devant le traitement indigne que la République française a fait subir aux réfugiés n’est pas éteinte. Le crayon est une arme à tuer les fascistes, le film le démontre avec éclat.

Le Parisien par La Rédaction
Aurel illustre ce récit de dessins magnifiques qui s’animent ou se figent et superpose même parfois une scène et le dessin qu’en fait Josep, son héros. Il signe ainsi un film émouvant, mais aussi une ode à la puissance du dessin.