« En corps » de Cédric Klapisch

Par Cédric Klapisch, Santiago Amigorena
Avec Marion Barbeau, Hofesh Shechter, Denis Podalydès

Synopsis :
Elise, 26 ans est une grande danseuse classique. Elle se blesse pendant un spectacle et apprend qu’elle ne pourra plus danser. Dès lors sa vie va être bouleversée, Elise va devoir apprendre à se réparer… Entre Paris et la Bretagne, au gré des rencontres et des expériences, des déceptions et des espoirs, Elise va se rapprocher d’une compagnie de danse contemporaine. Cette nouvelle façon de danser va lui permettre de retrouver un nouvel élan et aussi une nouvelle façon de vivre.

La presse en parle :
Franceinfo Culture par Jacky Bornet
Le réalisateur signe un de ses meilleurs films, d’une beauté visuelle de chaque instant.

20 Minutes par Caroline Vié
On ressort le sourire aux lèvres et l’âme en fête.

Bande à part par Anne-Claire Cieutat
À l’heure où notre monde est menacé de dissociation, voire de désintégration, où des entreprises envisagent sérieusement d’investir l’aberrant terrain des métavers, le nouveau film de Cédric Klapisch arrive à point nommé, comme une invitation vibrante à retrouver nos contours, nos points d’appui, et croire en notre capacité à nous renouveler et à mieux vivre ensemble. La force d’En corps, comme du cinéma de son auteur en général, est de dire des choses essentielles sans esprit de sérieux, et de le faire avec un sens du partage, une énergie et une joie communicatives. Avec simplicité, en somme.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Thibault Liessi
Cédric Klapisch est passionné de danse, et le montre dans En Corps, passionnante reconstruction d’une danseuse blessée.

Elle par Manou Farine
Un film feel good porté par l’interprétation tout en fragilité et énergie de la jeune danseuse.

Femme Actuelle par La rédaction
Un film plein de charme.

La Voix du Nord par Christophe Caron
On redoute un scénario léger et un excès de « branchitude ». Et quelque chose se produit… S’agissant d’En corps, ça doit se rapprocher d’une forme de grâce, incarnée à l’écran par une interprète lumineuse.

Le Dauphiné Libéré par Stéphane Pulze
Le film est une véritable ode à la danse grâce au chorégraphe israélien Hofesh Shechter et sa troupe de danseurs contemporains.

Le Journal du Dimanche par Barbara Théate
Cédric Klapisch signe son grand et beau retour en filmant les corps en mouvement avec une rare fluidité : on est surtout portés par la force de vie d’une jeune femme qui trouve le courage de se donner une nouvelle chance.

Le Monde par Murielle Joudet
En corps dépasse le seul portrait individuel pour devenir l’écrin d’une énergie collective où l’éloge de la vocation devient ici indissociable d’une peinture des sentiments.

Le Point par Jean-Luc Wachthausen
Une belle tranche de vie, optimiste et drôle.

Le Point par Jean-Luc Wachthausen
Une belle tranche de vie, optimiste et drôle.

Les Échos par Adrien Gombeaud
En 2019, Cédric Klapisch terminait « Deux moi » sur un cours de danse caribéenne. On le retrouve à l’opéra avec un beau film sur l’éternelle opposition entre classique et contemporain et la force de recommencer sa vie.

Marianne par Thibaut Solano et Lou Fritel
On pouvait craindre que Klapisch ne verse dans les bons sentiments jeunistes mais il parvient toujours à trouver le bon dosage.

Ouest France par Gilles Kerdreux
En corps fait partie de ces films qui font du bien.

Positif par Yann Tobin
Un récit d’apprentissage prévisible mais situé dans un contexte original, et réalisé par un des meilleurs auteurs du cinéma français populaire.

Télé 7 Jours par Isabelle Magnier
Le corps en mouvement, même s’il fait mal, c’est la vie, nous dit ce film léger et pétri d’humanité.

Télé Loisirs par Émilie Meunier
Jamais plombant, cet inspirant récit de reconstruction offre de sublimes moments d’émotion et de rires, grâce notamment à de délicieux seconds rôles, dont Muriel Robin, François Civil, Pio Marmaï ou Souheila Yacoub.

Télérama par Guillemette Odicino
Avec cette comédie sensible sur la fragilité érigée en force, Cédric Klapisch, toujours à l’écoute du rythme du monde, signe, peut-être, son meilleur film. Et le plus approprié, en ce printemps, pour ne pas craindre de revivre.