Ciné Fanm présente, dans le cadre de la Journée des Droits Humaind, « Les Invisibles

Samedi 10 décembre à 17h au T.O.M.

— Par Culture Égalité —

Les Invisibles est une comédie française réalisée par Louis-Julien Petit, sortie en 2018. Le film est une adaptation du livre de Claire Lajeunie, Sur la route des invisibles, femmes dans la rue1.

Synopsis :
L’Envol, centre d’accueil de jour pour femmes sans-abri à Anzin, doit fermer ses portes : seulement 4 % des femmes qui y sont accueillies se sont réinsérées, ce qui est jugé insuffisant par la municipalité, qui ne peut plus « continuer à dépenser sans résultats ». Les travailleuses sociales vont faire preuve de désobéissance civile en décidant d’y installer un atelier thérapeutique et un dortoir dans un squat, en toute clandestinité. L’atelier s’appuie sur la truculente Chantal, SDF et modèle de réinsertion, formée à la réparation d’électroménager à la prison de Loos.

Lire aussi : « Les Misérables », « La Haine », « Les Invisibles »… Ces films qui ont eu un vrai impact politique

La presse en parle :
20 Minutes par Caroline Vié
On sort des Invisibles avec la banane parce qu’on s’est amusé sans jamais éprouver de mépris ou de méchanceté. Le rire y est franc, mais bienveillant.

Closer par La Rédaction
A la fois drôle et émouvant.

Dernières Nouvelles d’Alsace par La Rédaction
Ce n’est pas si gai, mais ce n’est pas si triste : Louis-Julien Petit en fait une épopée tragicomique, résolument ancrée dans le réel.

Femme Actuelle par Amélie Cordonnier
Une ode au dévouement, aux vertus du travail social quand il est fait avec du cœur.

L’Express par Antoine Le Fur
Drôles et engagées, ces « Invisibles » ont tout bon.

La Croix par Corinne Renou-Nativel
Avec ses répliques qui font mouche et ses interprètes impliquées, cette comédie sociale tendre et brute ouvre nos yeux sur les femmes à la rue.

La Voix du Nord par Christophe Caron
Revendicatif sans être plombant. Une réussite !

Le Journal du Dimanche par Stéphane Joby
[…] un vrai feel-good movie qui ne prétend pas faire la morale.

Le Monde par Thomas Sotinel
Il y a bien des façons d’attirer le regard sur des gens ou des situations que le reste du monde n’a guère envie de voir. Les Invisibles a choisi la manière douce, elle est formidablement efficace (…).

Le Parisien par La Rédaction
Porté par des actrices formidables, « Les Invisibles » mélange allègrement les tons (tantôt dramatique, tantôt hilarant) et les genres (entre réalisme et conte).

Marianne par Olivier de Bruyn
Un film offensif qui s’inscrit dans une veine féconde du cinéma français.

Ouest France par Thierry Chèze
Un casting épatant, mêlant comédiennes confirmées et femmes ayant réellement vécu cet enfer.

Positif par Philippe Rouyer
On pense à Ken Loach pour le mélange de rires et de larmes, et pour la chaleur du regard sur ces personnes précaires, mises au rebut de la société […].

Télé Loisirs par Emilie Meunier
Portée par des actrices remarquables, cette comédie sociale poignante, mais jamais misérabiliste, donne une visibilité et une voix pleines d’espoir à ces oubliées de la société. Magnifique !

Télérama par Marie-Hélène Soenen
Une comédie sociale savoureuse où ces « invisibles » tiennent leur propre rôle.

Distinctions
Prix de la Meilleure Réalisation lors de la première édition du Festival international du film politique de Carcassonne.
Prix Chabrol Coup de cœur du Jury, Chabrol du Public et Chabrol du Jeune Public au Festival du Film du Croisic.
Prix du Public au Festival International du Film de Pau.
Association Les Femmes invisibles
Après sa sortie en salle, le film a d’importantes retombées sociales. L’une d’entre elles est la création de l’association Les Femmes invisibles9, association venant en aide aux femmes et familles en situation de précarité en leur apportant écoute, soutien et produits d’hygiène féminine.

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 » Des femmes aux parcours cassés, violents, empreints de grande souffrance et de précarité, se posent la journée dans un centre de jour pour sans abris. Elles se connaissent ou pas, se retrouvent, se livrent et repartent dans leur vie déstructurée et invisibles.
Ce centre, seul lieu de ressources et de repos doit fermer. Avec l’engagement des travailleuses sociales, ces femmes vont se bouger, s’impliquer pour sortir de l’indifférence, vaincre l’invisibilité imposée par la société et vivre la sororité. »

Un film poignant de réalité sur l’errance des femmes, et leur rage de vivre.
Le 10 décembre nous vous attendons pour cette journée des droits humains au TOM à 17h, 122 Rue Victor Sévère, Fort-de-France 97200, Martinique.

CONTACTS : Muriel Ameller : +33 7 82 06 89 23

Audeline Durand : 0696 19 42 96