« Chronique d’une liaison passagère »  film de Emmanuel Mouret

Lundi 18 décembre 20h50 / Cine+ Club
1h 41min / Comédie dramatique, Romance, Drame, Comédie
Par Emmanuel Mouret, Pierre Giraud
Avec Sandrine Kiberlain, Vincent Macaigne, Georgia Scalliet
Synopsis :
Au cours d’une soirée, Charlotte, mère célibataire rencontre Simon, un homme marié. Ce nouveau couple s’engage à se voir uniquement pour le plaisir, sans rien éprouver d’autre. Pour autant, cette relation sans avenir est bouleversée quand des sentiments nouveaux apparaissent.
La presse en parle :
Bande à part par Léo Ortuno
Une mise en scène inventive, en dialogue permanent avec de formidables acteurs.

Franceinfo Culture par Lorenzo Ciavarini Azzi
Chronique d’une liaison passagère est une délicieuse et brillante fantaisie amoureuse dans l’esprit 18e siècle.

L’Humanité par Sophie Joubert
Variation subtile sur le sujet rebattu de l’amour adultère, le nouveau film d’Emmanuel Mouret est un enchantement.

Le Parisien par La Rédaction
Brillant, attendrissant, « Chronique d’une liaison passagère », par l’auteur de « Mademoiselle de Joncquières » et « Les Choses qu’on dit, les choses qu’on fait », est une nouvelle partition, sur du Mozart, de l’invention de sa vie à tout âge et des détours très retors du désir.

Les Echos par Olivier De Bruyn
Le cinéaste des « Choses qu’on dit, les choses qu’on fait » revient avec un film séduisant et spirituel où il met en scène deux amants qui se promettent de ne jamais tomber amoureux. Un « jeu de dupes » farfelu et émouvant avec une rare délicatesse et un art consommé de la suggestion.

Ouest France par Thierry Cheze
Emmanuel Mouret confirme son statut de roi de la comédie romantique made in France avec deux interprètes au diapason.

Paris Match par Fabrice Leclerc
Cette course à la séduction, petit bijou d’écriture, est sûrement le film le plus accompli de son auteur.

Voici par La Rédaction
Délicate chronique d’une fin annoncée, touchante et drôle, portée par un duo d’acteurs en fusion !

20 Minutes par Caroline Vié
Emmanuel Mouret parle d’amour dans ce film léger où la gravité s’invite souvent.

Cahiers du Cinéma par Marcos Uzal
Au-delà des mots, la relation amoureuse selon Mouret est un continuel partage de l’espace, joueur et impatient, où l’architecture, même dans ses barrières (portes et parois), accompagne les incessants transports des corps et des voix plutôt qu’elle ne les circonscrit. Au sens propre, la liaison est ici l’art de se lier partout, une agilité de la présence à deux autant qu’une souplesse de la conversation.

Critikat.com par Marin Gérard
Un film à la légèreté trompeuse qui s’achemine discrètement vers une dernière partie bouleversante.

Culturopoing.com par Eleonore Vigier
Un peu à la manière des Salons de Diderot, « Chronique d’une liaison passagère » incite par son allure de promenade à commencer par déambuler avant de se laisser saisir par l’expérience, amoureuse en l’occurrence, et toute la surprise qu’elle revêt.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Nathalie Chifflet
La comédie romantique mais pas platonique, est joliment servie par les déclarations chuchotées de tendresse entre deux acteurs au caractère vif et enjoué.

Ecran Large par Mathieu Victor-Pujebet
Derrière son titre décourageant et son verbe intimidant, Chronique d’une liaison passagère est une romance à la fois drôle, solaire et mélancolique. Grâce à la justesse de ses interprètes, à l’épure de son écriture et à la finesse de sa mise en scène, Emmanuel Mouret livre un sommet de délicatesse et de sensibilité.

L’Obs par Sophie Grassin
Mais Mouret, en privilégiant le mouvement, en utilisant le plan-séquence, sait aussi le lester d’ambiguïté : que cachent ses héros quand il les filme de dos ? Que disent-ils, que ne « non-disent-ils » pas ? Voire d’une vraie gravité comme en témoignent ces plans accompagnés d’une musique de Poulenc sur des lieux vides, témoins de leur bonheur passé.

La Croix par Céline Rouden
Emmanuel Mouret revient avec une comédie sentimentale étincelante sur les désaccords entre le féminin et le masculin, dans laquelle Sandrine Kiberlain et Vincent Macaigne jouent subtilement de leurs différences.

La Septième Obsession par Maryline Alligier
Emmanuel Mouret interroge avec élégance ce en quoi le chemin de traverse, fait pourtant d’incertitudes, nourrit aussi l’inattendu. La beauté se loge dans ce film, et le cinéaste, l’esprit le plus libre et gracieux du cinéma aujourd’hui, étonne et émerveille,

Le Dauphiné Libéré par Nathalie Chifflet
Il y a une évidence au couple délicieux formé par Sandrine Kiberlain (dans le rôle de la mère célibataire, femme libérée) et Vincent Macaigne (dans le rôle de l’homme marié, un rien gauche). Leur formidable élégance sentimentale rend particulièrement attachante cette chronique du dilemme amoureux.