— Par Pierre Pastel (*) —
PRÉBEC,
Paix
Respect
Écoute
Bienveillance
Équité
Concorde
Le socle vivant d’une civilisation apaisée.
Le comité international PRÉBEC a décerné son
« PRIX DE L’APAISEMENT » – JOSSO 2025
Introduction
Dans un monde où les projecteurs se braquent souvent sur les puissants, où les discours officiels masquent les injustices, il est essentiel de se demander : qui mérite vraiment d’être honoré pour la paix ? Le texte que vous allez lire est une déclaration du Comité PRÉBEC de l’Apaisement, qui, en 2025, a fait un choix audacieux. Il n’a pas récompensé les chefs d’État, les figures diplomatiques ou les stratèges militaires. Il a choisi Rodrigue Petitot, un militant martiniquais, porteur d’une voix populaire, d’une mémoire coloniale, et d’un combat pour la dignité.
Ce texte est une invitation à réfléchir à ce que signifie la paix, à qui la construit, et à la manière dont elle peut naître dans les marges, loin des tapis rouges.

Plusieurs centaines de professionnels des médias demandent à Emmanuel Macron la reprise de l’accueil des journalistes gazaouis souhaitant être évacués de l’enclave, et l’accès immédiat de la presse internationale sur le terrain.
— Par Jean-Marie Nol —
—Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
— Par Jean Samblé —
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— Par Jean-Marie Nol —



J’ai dénoncé dès le début dans plusieurs articles la mystification qui consistait à fabriquer une crise sociale et un nouveau prophète venu d’on ne sait où pour la juguler.
En septembre, plusieurs nouveautés entrent en vigueur dans votre quotidien : aides financières, santé, impôts, retraite, engagement citoyen…
— Par Jean-Marie Nol —
— Par 
— Par Sarha Fauré —
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À l’aube de cette rentrée 2025, l’Association Pour l’Information et la Prévention de la Drépanocytose (APIPD), fidèle à son engagement, continue son combat pour faire reculer la drépanocytose, une maladie génétique encore trop souvent ignorée, mais qui touche chaque année des milliers de vies.
— Par Max Orville (*) —
— RS n° 410 lundi 1er septembre 2025 —
Le silence de nos élu.e.s en dit long.
Une femme migrante, sans titre de séjour et mère de quatre enfants, a fait preuve d’un courage exemplaire en franchissant les portes du commissariat pour porter plainte contre la publication abusive de vidéos à caractère intime. Malgré sa situation administrative précaire, elle a choisi de passer outre l’opprobre, la peur et le silence, pour poser un geste fort au nom de sa dignité et de ses droits.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean Samblé —
— Par Sabrina Solar —