Révoltons-nous contre ce compte à rebours
Travailler « gratuitement » : le prix de l’injustice
Ce lundi 10 novembre à 11h31, les femmes françaises commenceront symboliquement à travailler « gratuitement » jusqu’à la fin de l’année. L’expression, reprise chaque automne par la newsletter féministe Les Glorieuses, ne relève pas de la provocation : elle met en lumière une réalité mesurée, chiffrée, persistante. En 2025, les femmes gagnent encore 13,9 % de moins que les hommes. Autrement dit, pour chaque euro versé à un homme, elles perçoivent 86 centimes.
Cette date symbolique résulte d’un simple calcul : rapporter cet écart de rémunération au nombre de jours ouvrés de l’année. Et le constat est sans appel : malgré neuf ans de mobilisation, les progrès sont si lents qu’à ce rythme, l’égalité salariale ne serait atteinte qu’en 2167. Cent quarante-deux ans d’attente pour que le travail des femmes soit reconnu à sa juste valeur !
Une stagnation masquée derrière de faibles avancées
On pourrait se féliciter que la date du « travail gratuit » ait reculé de quatre jours par rapport à l’an dernier.



Longtemps considérées comme des périphéries de la République, les collectivités françaises d’Amérique – la Martinique, la Guadeloupe, la Guyane, Saint-Martin, Saint-Barthélemy et Saint-Pierre-et-Miquelon – se trouvent aujourd’hui à la croisée des chemins. Entre appartenance européenne, ancrage caribéen et ambitions internationales, elles incarnent un enjeu stratégique majeur pour la France et l’Union européenne dans un bassin atlantique en pleine recomposition.
Éducation et Innovation
Du plus lucide des constats, le pragmatisme économique est en soi, la dictature dévorante du rentable, la rage tyrannique de la rentabilité primant l’homme, dans l’imposition des exigences de performance sans limite du marché.
L’ouragan Melissa a violemment frappé l’est de Cuba le 29 octobre 2025. Les dégâts sont considérables sur une île, où la population fait déjà face à d’énormes difficultés dues au blocus.
— Par Jean Claude Halley —
Le Pourquoi de l’absence volontaire de récit national en France, et quelles sont les ramifications idéologiques de cette occultation en outre-mer ?

— Par Huguette et Méliné Bellemare Membres de l’association féministe « Culture Égalité »—
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L’autoédition (ou auto-publication) désigne le fait pour un auteur de publier et de diffuser lui-même ses ouvrages, sans passer par une maison d’édition traditionnelle. L’auteur devient ainsi éditeur de sa propre œuvre, qu’elle soit imprimée (livre, magazine) ou numérique (ebook, site web, etc.).
Créé en 2007 dans un cinéma parisien, le Festival ALIMENTERRE est aujourd’hui devenu un événement international majeur consacré à la sensibilisation sur les enjeux agricoles et alimentaires mondiaux.
— Par Sabrina Solar —
Exégèse d’un scénario inédit, déjà virtuellement écrit, d’un rattachement institutionnel de l’outre-mer à l’Union Européenne.
Un événement indésirable associé aux soins (EIAS) est défini, selon le décret n°2010-1408 du 12 novembre 2010, comme tout incident préjudiciable à un patient, survenu lors d’un acte de prévention, de diagnostic ou de traitement.
Le futur de la Guadeloupe et de la Martinique en question à travers cinq incontournables grands chantiers 

— Par Jean-Bernard Bayard —