— Par Yves-Léopold Monthieux —
La légende de la responsabilité et de l’expertise martiniquaises pourrait s’écrire à travers les récits de sources, fontaines, piscines, ponts et appontements. Des histoires d’eaux sans cesse renouvelées, parfois ubuesques. Depuis une vingtaine d’années l’eau du robinet vient régulièrement rythmer nos carêmes et mesurer l’impéritie de nos élus. Ainsi a-t-il fallu deux mandatures de la CTM, des quantités d’encre et de déclarations télévisées pour régler le sort de quelques âcres de terrain sur lequel faire passer quelques mètres de tuyaux. La présence d’un béké dans l’affaire fut l’ingrédient nécessaire à l’allongement de la sauce. La victoire n’a pas fait couler ni plus d’eau dans les foyers ni plus d’encre dans les gazettes. Plus globalement, un phénomène cyclique est bien campé dans le calendrier saisonnier, lequel donne lieu, de la part des usagers, à une résilience exemplaire et, de la part des élus, à des satisfactions plastronnantes.
On est en 1965 : deux étudiants métros sont de passage en Martinique. Prenant un verre au bar Le Foyal, au Bord de mer, ils parlent un peu de leur voyage.

Emmanuel Macron est actuellement sous la menace d’une motion de censure de l’opposition contre son gouvernement dirigé par le premier ministre Gabriel Attal. Un sondage, révélé par l’Obs et confirmé par BFMTV, donne en cas de dissolution de l’Assemblée nationale, pour la première fois, le Rassemblement national majoritaire à l’Assemblée nationale, bien devant la formation d’Emmanuel Macron. D’après cette enquête, le parti de Jordan Bardella obtiendrait entre 243 à 305 sièges, soit une moyenne de 278 députés, très proche de la majorité absolue de 289 sièges.Un séisme électoral en vue sous la Ve République. Alors qu’il est toujours resté en marge du pouvoir, le Rassemblement national pourrait entrevoir une potentielle cohabitation avec Emmanuel Macron. Si ce scrutin présente de sérieuses limites, les résultats offrent une nouvelle visibilité des rapports de force dans l’opinion.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
En tant que visiteur accompagnant bénévole, vous pouvez notamment assister une personne placée sous main de justice dans ses démarches administratives ou pour la gestion de son budget. Les personnes aidées exécutent leur peine, ou la fin de leur peine, en dehors d’un établissement pénitentiaire. Les rencontres entre le visiteur accompagnant et la personne placée sous main de justice n’ont donc pas lieu en prison.
Vous êtes élève en terminale et vous souhaitez poursuivre vos études dans l’enseignement supérieur ? Le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche lance son guide de la vie étudiante 2024 afin de vous accompagner dans cette nouvelle étape de votre parcours scolaire : « En route vers la vie étudiante ! ».
—Par Robert Berrouët-Oriol, linguiste-terminologue —
— Hélène Lemoine —
Dans une récente déclaration faite dans un journal de la place, le sociologue Ary Brousillon a pour l’essentiel attribué la montée de la violence chez les jeunes à la précarité sociale et à la pauvreté qui règne dans certaines familles notamment monoparentales. Cependant, cette explication simpliste occulte d’autres facteurs essentiels qui contribuent à ce phénomène alarmant.Il est indéniable que la précarité sociale exerce une pression considérable sur les jeunes, les privant souvent d’opportunités éducatives et professionnelles, et les exposant à des environnements défavorables. Cependant, réduire la violence juvénile à cette seule dimension est réducteur. Un facteur souvent négligé est l’affaiblissement de l’autorité parentale. Dans de nombreux cas, les parents sont confrontés à des défis multiples, tels que le chômage, le stress financier et les conditions de logement précaires, qui compromettent leur capacité à exercer une autorité efficace. Cette fragilité de l’autorité parentale peut laisser les jeunes livrés à eux-mêmes, sans guidance ni supervision adéquate, ce qui favorise l’adoption de comportements violents et d’un phénomène d’abandon aux traffics de substances illicites. C’est là une conséquence de la recherche à tout prix de l’argent facile au détriment de la valorisation de l’effort du travail.
— Par Michel Pennetier —
–Par Sarha Fauré —
Après la démission du Premier ministre contesté, Haïti entre dans une nouvelle ère sous la houlette du tout nouveau Conseil de transition. Lors d’une cérémonie solennelle, retransmise en direct à la télévision haïtienne, l’annonce retentit : Edgard Leblanc Fils, figure politique respectée, est désigné pour présider cet organe crucial.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
En collaboration avec France Télévisions : Guadeloupe la 1ère et CORSAIR
— Par Jean Samblé —
— Par Jean Samblé —
— Par Johanna Lepeule(*), Lucie Adélaïde(*), Mathilde Pascal(*) —
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Le décès tragique de Frank Tyson, un Afro-Américain de 53 ans, lors d’une interpellation brutale par deux policiers à Canton, Ohio, le 18 avril, résonne comme un écho funeste de l’affaire George Floyd qui a secoué l’Amérique en 2020. Les similitudes entre les deux événements sont frappantes : l’utilisation excessive de la force par les autorités, les derniers mots étouffés de la victime – « Je ne peux pas respirer » – et l’indignation généralisée qui s’ensuit dans la société américaine.
Nous remercions tous ceux qui ont participé au débat sur le manque d’Eau ou robinet, c’est sans complexe que nous, PUMA, avons dans le cadre de notre mission contribué une fois de plus à faire notre population écouter pour comprendre, que le problème ne provient pas du Carême. Merci à tous ceux qui nous accompagnent, qui nous encouragent sans complexe, à poursuivre nos actions. Comme nous l’avons indiqué, la question de l’EAU est une affaire à 100% MARTINIQUAISE.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Cette conférence avait pour but de dénoncer les attaques récurrentes que subissent le personnel d’ODYSSI depuis près d’un mois.
Le 23 avril, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé vouloir réhumaniser le service public grâce à l’intelligence artificielle, ce qui constitue un tournant sans précédent. Si pour lutter