— Par Yves-Léopold Monthieux —
Ainsi donc, après plusieurs reports, l’affaire dite du Green Parrot qui met en cause l’ancien président de la Région Martinique semble s’acheminer vers une décision définitive. Qu’on laisse tranquille Alfred Marie-Jeanne, c’est le souhait de la plupart des Martiniquais qui sont généralement convaincus que l’ancien président de l’ex-Région n’a jamais cherché à s’enrichir dans ses fonctions, en particulier à l’occasion de cette affaire où il a pu se laisser abuser. Que ses partisans fassent pression pour qu’il ne soit pas condamné, c’est de bonne guerre. Mais de là à parler de justice politique … Ce n’est pas d’aujourd’hui que date le choix des défenseurs des personnes poursuivies dans cette affaire, de jouer l’opinion publique. Cette méthode n’est pas étrangère aux reports successifs. C’est d’ailleurs pour échapper à cette pression que le dépaysement de l’affaire en métropole a été décidé par la Cour de cassation.
Il se pourrait que le Président se soit piégé lui-même en raison de la bienveillance qui lui avait été accordée par l’État dans une affaire similaire qui avait concerné La Grenade. Dans l’exercice du contrôle de la légalité des actes administratifs, l’État s’était finalement désisté de la requête qu’il avait intentée auprès du Tribunal administratif pour faire annuler la précédente décision, entachée d’irrégularité.

Le procès d’Alfred Marie-Jeanne, ancien président de la Région Martinique et figure du mouvement indépendantiste martiniquais, s’ouvre ce lundi 28 avril 2025 au tribunal judiciaire de Paris. Il est accusé de « prise illégale d’intérêt », de « faux » et d' »usage de faux » dans le cadre de l’attribution d’un marché public destiné à la reconstruction d’une école à la Dominique, après un séisme survenu en 2004. Aux côtés de Marie-Jeanne, sa fille, Maguy, et son compagnon de l’époque, Mark Frampton, sont également jugés. Cette affaire remonte à plus de vingt ans, mais elle a traversé plusieurs étapes judiciaires avant d’aboutir à ce procès tant attendu.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Selim Lander —
Les débats sur l’énergie en France voient monter en puissance, depuis quelques mois, la notion de
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
À propos
Introduction :
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean Samblé —
Face aux méfaits bien connus du sucre, nombreux sont ceux qui se tournent vers ce qu’ils pensent être une alternative plus saine : les édulcorants. Ces additifs alimentaires au pouvoir sucrant élevé sont partout, des sodas “zéro calorie” aux yaourts allégés, en passant par les chewing-gums ou les produits destinés aux diabétiques. Mais si leur promesse semble alléchante, la réalité est bien moins sucrée qu’il n’y paraît.
— Par Jean Samblé —
Les édulcorants sont des additifs alimentaires qui donnent un goût sucré à des aliments, en remplacement des sucres naturels. Ceux qui sont appelés intenses sont présents surtout dans les boissons, notamment les sodas. Ils sont proposés dans l’aide à la perte de poids et le contrôle du taux de sucre chez les diabétiques.
Nous aimions aller sur la plage
Les encombrants ne peuvent pas être jetés avec les ordures ménagères. Ils doivent être triés et collectés selon certaines conditions. Nous faisons le point sur la réglementation.
Des appels au boycott des produits en provenance des États-Unis s’élèvent depuis quelques semaines en réponse à la volonté du Président Trump de durcir leurs relations diplomatiques et économiques avec leurs principaux partenaires. Qui est tenté par ce boycott et pour quelles raisons ?
Les tortues marines font face à de nombreuses menaces, causées par l’être humain mais aussi par la nature. Elles sont braconnées pour leur viande, leur carapace ou leurs œufs. Elles souffrent aussi d’autres problèmes liés aux activités humaines : pollution, prises accidentelles dans les filets de pêche, collisions avec des bateaux, lumières des villes qui les désorientent, destruction de leurs habitats, ou encore attaques de chiens et d’animaux introduits comme la mangouste. Ces dangers touchent les tortues à toutes les étapes de leur vie. Le changement climatique (hausse des températures, modification des courants marins, acidification des océans) aggrave encore la situation. L’ensemble de ces menaces combinées est appelé « effet cocktail ».
Pendant que les consommateurs d’Europe s’étonnent de la flambée des prix du chocolat – conséquence directe des bouleversements climatiques en Afrique de l’Ouest et de l’envolée des cours du cacao –, une autre réalité se dessine, plus discrète mais porteuse d’espoir : aux Antilles françaises, et notamment en Martinique, le cacao connaît une véritable renaissance.
Cette tribune reprend en partie celle parue le 17 août 2016 intitulée «
— Par Jean Samblé —
Peut – on encore sauver le système social de la départementalisation aux Antilles ?