— Collectif (*) —
Alors que l’Assemblée nationale s’apprête à rendre le Nutri-Score obligatoire sur tous les aliments, un sous-amendement propose d’exempter les produits AOP et IGP. Une dérogation qui flatterait le terroir… tout en affaiblissant la santé publique.
Le 7 novembre 2026, dans le cadre de la discussion sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) à l’Assemblée nationale, les députés ont adopté deux amendements rendant obligatoire l’affichage du Nutri-Score sur les emballages de tous les aliments. Les entreprises qui souhaiteraient déroger à cette mesure se verraient dans l’obligation de s’acquitter d’une taxe de 5 % de leur chiffre d’affaires. Si les parlementaires résistent aux pressions des lobbies qui s’y opposent et maintiennent cette disposition jusqu’à l’issue du processus législatif, il s’agira d’une très bonne nouvelle pour les consommateurs, et d’une victoire en matière de santé publique.
Toutefois, une nuance de taille tempère l’enthousiasme que pourrait susciter un tel texte de loi : quelques députés ont en effet réussi, par un sous-amendement, à faire exclure de l’obligation d’afficher le Nutri-Score les produits ayant une appellation d’origine protégée (AOP) ou une indication d’origine protégée (IGP).

— Par Gary Klang —
Pédagogie
—
Les peines prononcées le 17 novembre 2025 dans l’affaire du
— Par Jean-Marie Nol —
— Les Contrechroniques d’Yves-Léopold Monthieux —
— Par Camille Loty Malebranche —
Apprenez à faire face aux risques majeurs : guide complet pour se préparer, protéger ses proches, constituer un kit et adopter les bons réflexes. 


Chaque fin d’année, l’association Clowns Doktè lance une belle campagne solidaire : « Solidarité pou ti Manman », un moment fort de mobilisation et de générosité sur tout le territoire martiniquais. L’objectif ? Sensibiliser au métier de clown hospitalier, rassembler des partenaires et des donateurs, et collecter les fonds nécessaires pour assurer les interventions clownesques dans les hôpitaux pédiatriques de l’île.
Le stage de seconde, effectué pendant 2 semaines consécutives, doit permettre aux élèves :
Un tatouage se traduit par une substance ou une préparation colorante destinée, par effraction cutanée, à créer une marque sur les parties superficielles du corps humain. Cette pratique est réglementée pour éviter les risques sur la santé. Il est conseillé d’en discuter avant avec le professionnel et votre médecin traitant. Si vous êtes mineur, l’accord du parent ou tuteur est nécessaire. Le tatoueur doit être formé, déclarer son activité à l’ARS et informer son client des risques. Vous pouvez signaler tout effet indésirable grave ou non.
Cyberharcèlement, violences physiques et sexuelles, prostitution, chantage, racket, trafic de drogues… Pour faire face à ces situations auxquelles les jeunes peuvent être exposés aujourd’hui, le site de la police et de la gendarmerie nationale « Ma Sécurité » vient d’ouvrir un espace spécifique d’échanges pour les moins de 18 ans : 
Que coûtent vraiment les Antilles à la France et l’Europe ?
— Par Jean-Marie Nol —
Introduction
—
— Par Jean-Marie Nol —