— Par Jean-Marie Nol —
L’indigence et la décadence intellectuelle qui touche aujourd’hui à la marge les Antilles, notamment la Guadeloupe , est un phénomène préoccupant qui s’inscrit dans une tendance plus large affectant l’ensemble de l’humanité. Plusieurs études récentes menées dans les pays développés, notamment ceux de l’OCDE, révèlent que l’intelligence humaine est en déclin. Depuis une dizaine d’années, les capacités de compréhension, de raisonnement et de résolution de problèmes nouveaux diminuent sensiblement. Ce constat dépasse de loin les fluctuations politiques ou économiques : il reflète une transformation profonde du rapport au savoir, à l’éducation et à l’information. Les Antilles, bien que périphériques à la scène de la révolution technologique mondiale, ne sont pas épargnées par cette évolution inquiétante.
La transformation radicale des modes d’apprentissage, induite par la révolution numérique, la banalisation des réseaux sociaux et la perte de prestige des institutions éducatives, a altéré en profondeur le processus de construction intellectuelle. Le raisonnement structuré, pierre angulaire de toute pensée critique, est aujourd’hui en voie de disparition. Dans un tel contexte, les sociétés qui, comme la Guadeloupe et la Martinique, ne repensent pas leurs modèles éducatifs risquent l’effondrement intellectuel à moyen terme.

— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Des appels au boycott des produits en provenance des États-Unis s’élèvent depuis quelques semaines en réponse à la volonté du Président Trump de durcir leurs relations diplomatiques et économiques avec leurs principaux partenaires. Qui est tenté par ce boycott et pour quelles raisons ? 
Pendant que les consommateurs d’Europe s’étonnent de la flambée des prix du chocolat – conséquence directe des bouleversements climatiques en Afrique de l’Ouest et de l’envolée des cours du cacao –, une autre réalité se dessine, plus discrète mais porteuse d’espoir : aux Antilles françaises, et notamment en Martinique, le cacao connaît une véritable renaissance.
— Par Jean Samblé —
Peut – on encore sauver le système social de la départementalisation aux Antilles ?
utre-mer vont trinquer !
— Par Jean-Marie Nol —
Pourquoi l’économie de la Guadeloupe sera demain avec l’autonomie sur le fil du rasoir ?
Le président américain Donald Trump ayant annoncé sa volonté de conduire une politique plus protectionniste et surtout « réciproque », les droits de douane sont à nouveau à l’ordre du jour du commerce mondial. On vous explique en sept questions les enjeux et les effets potentiels pour les Européens de la politique américaine.
La classe moyenne guadeloupéenne désormais coincée entre déclassement économique, désillusions sociales et insécurité croissante .
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie-Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par collectif (*)
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Riche et complexe, l’histoire du cacaoyer remonte à environ 3500 av. J.-C. Les Olmèques, l’une des premières civilisations mésoaméricaines, sont souvent considérés comme les premiers à l’avoir cultivé. Ils utilisaient les fèves pour préparer une boisson amère, qui était fréquemment agrémentée d’épices et de piments. Des recherches encore plus récentes indiquent que le recours aux fèves de cacao existait déjà dans la haute
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