Le samedi 3 juillet 2021 de 8h à 12 h
 L’association CCPYPM – Centre de Culture Ypiranga de Pastinha Martinique – vous invite depuis plus de 2 ans à son « Mini marché mensuel », tous les premiers samedis du Mois.
L’association CCPYPM – Centre de Culture Ypiranga de Pastinha Martinique – vous invite depuis plus de 2 ans à son « Mini marché mensuel », tous les premiers samedis du Mois.
Vous trouverez lors du Mini Marché fruits, légumes, aromates, plantes médicinales et plants en pot des associations Lasotè et CCPYPM, les savons faits mains des Petits savons de Stéph , les bijoux en capsules de café de La Fée des Caps et les accessoires de Crochet Art ! L’événement mensuel de CCPYPM se déroule les premiers samedis du Mois en entrée libre (prévoir masques, cabas, chaussures fermées).
Samedi 3 juillet 2021 à l’Éco-lieu de Tivoli de 8 à 12h. Chemin Desbrosses La Vallée Carrefour Tivoli. FB Ecolieu Martinique. Contact 0696 78 54 02
Fondé en 2006, le Centre de Culture Populaire Ypiranga de Pastinha Martinique est issu de sa matrice brésilienne initiée par mestre Manoel depuis 30 ans dans les favelas de Rio de Janeiro. Humanisme, intégration, respect, discipline, civisme, tolérance, vie en collectivité : son activité 1ère est la pratique de la Capoeira Angola comme sport, philosophie et vecteur identitaire et social.

 Aujourd’hui en Guadeloupe la démocratie est prise dans un redoutable cercle vicieux. Les élections régionales et départementales ne font pas exception : à chaque scrutin, un nouveau record d’abstention. Les Guadeloupéens , qui ont longtemps tout attendu depuis l’ère de la départementalisation du politique (« trop », disent certains), n’en espèrent plus rien. Plus de 60  % des électeurs inscrits ne sont pas allés voter aux deux  tours des élections régionales et départementales  . Ce chiffre est révélateur d’un nouveau rapport à l’expression politique dans lequel le vote et les institutions n’occupent plus un rôle central. Nos élus, censés avoir prise sur le réel, semblent désormais s’y cogner. L’enseignement principal des élections régionales et départementales ,outre la reconduction attendue du président de région sortant,  c’est sans aucun doute le taux d’abstention, qui est un taux record. On aurait tort de ne pas voir le mouvement tellurique en dessous qui est tout simplement le désamour, le désintérêt, le désarrimage profond d’une grande partie des guadeloupéens pour la chose électorale.
Aujourd’hui en Guadeloupe la démocratie est prise dans un redoutable cercle vicieux. Les élections régionales et départementales ne font pas exception : à chaque scrutin, un nouveau record d’abstention. Les Guadeloupéens , qui ont longtemps tout attendu depuis l’ère de la départementalisation du politique (« trop », disent certains), n’en espèrent plus rien. Plus de 60  % des électeurs inscrits ne sont pas allés voter aux deux  tours des élections régionales et départementales  . Ce chiffre est révélateur d’un nouveau rapport à l’expression politique dans lequel le vote et les institutions n’occupent plus un rôle central. Nos élus, censés avoir prise sur le réel, semblent désormais s’y cogner. L’enseignement principal des élections régionales et départementales ,outre la reconduction attendue du président de région sortant,  c’est sans aucun doute le taux d’abstention, qui est un taux record. On aurait tort de ne pas voir le mouvement tellurique en dessous qui est tout simplement le désamour, le désintérêt, le désarrimage profond d’une grande partie des guadeloupéens pour la chose électorale. En raison de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19, les règles de formation et de titularisation de certains fonctionnaires territoriaux stagiaires qui n’avaient pas pu être titularisés au cours de leur année de stage ont été adaptées. Un décret paru au Journal officiel le 2 juin 2021 prolonge ces règles jusqu’au 30 juin 2022. Ces mesures prises en août 2020 devaient initialement prendre fin le 30 juin 2021. Le point avec Service-Public.fr.
En raison de la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19, les règles de formation et de titularisation de certains fonctionnaires territoriaux stagiaires qui n’avaient pas pu être titularisés au cours de leur année de stage ont été adaptées. Un décret paru au Journal officiel le 2 juin 2021 prolonge ces règles jusqu’au 30 juin 2022. Ces mesures prises en août 2020 devaient initialement prendre fin le 30 juin 2021. Le point avec Service-Public.fr. Genève – Des millions d’enfants risquent d’être poussés à travailler à cause de la pandémie de Covid-19, au moment où le monde a enregistré la première hausse du nombre d’enfants au travail en deux décennies, a mis en garde l’ONU jeudi.
Genève – Des millions d’enfants risquent d’être poussés à travailler à cause de la pandémie de Covid-19, au moment où le monde a enregistré la première hausse du nombre d’enfants au travail en deux décennies, a mis en garde l’ONU jeudi. Les trois constructeurs sont mis en examen dans l’enquête sur la fraude aux contrôles antipollution des anciennes générations de moteurs diesel.
Les trois constructeurs sont mis en examen dans l’enquête sur la fraude aux contrôles antipollution des anciennes générations de moteurs diesel. Saint-Denis de la Réunion – La Fondation Abbé Pierre tire la sonnette d’alarme, dans un rapport publié mercredi, sur la « précarisation croissante de la population réunionnaise », aggravée par la crise sanitaire.
Saint-Denis de la Réunion – La Fondation Abbé Pierre tire la sonnette d’alarme, dans un rapport publié mercredi, sur la « précarisation croissante de la population réunionnaise », aggravée par la crise sanitaire. Abidjan – Nelson Mandela a porté ses chemises: petit tailleur de quartier autodidacte à ses débuts, l’Ivoiro-Burkinabè Pathé’O est devenu le couturier des chefs d’Etat africains et fête le cinquantenaire de sa marque, menant le « combat » pour faire reconnaître la mode sur le continent.
Abidjan – Nelson Mandela a porté ses chemises: petit tailleur de quartier autodidacte à ses débuts, l’Ivoiro-Burkinabè Pathé’O est devenu le couturier des chefs d’Etat africains et fête le cinquantenaire de sa marque, menant le « combat » pour faire reconnaître la mode sur le continent. Le mot « responsabilité » est actuellement à la mode en Guadeloupe avec les prochaines élections régionales et départementales. L’élection régionale n’est-t-ellle pas placée sous le signe du « gouverner autrement »? Le mot renvoie au sentiment que chacun éprouve plus ou moins clairement qu’il faut repenser, dans le fond et non seulement dans la forme, nos valeurs et nos modes de vie, si on ne veut pas aller, comme on dit, dans le mur. Depuis le début de la crise sanitaire liée au COVID-19, jamais un changement aussi profond ne s’était opéré sur nos modes de vie avec une mutation du travail qui intervient en accéléré sous pression de la crise sanitaire. Le télétravail ou plutôt le travail à distance est devenu la norme pour un grand nombre d’entre-nous sans que nous y soyons réellement préparés. En effet, l’on assiste en Guadeloupe à une accélération de la transformation numérique de la société et des entreprises. Avec à la clé, un prochain bouleversement des modes de consommation, de production, d’approvisionnement, d’interaction ou encore de travail.
Le mot « responsabilité » est actuellement à la mode en Guadeloupe avec les prochaines élections régionales et départementales. L’élection régionale n’est-t-ellle pas placée sous le signe du « gouverner autrement »? Le mot renvoie au sentiment que chacun éprouve plus ou moins clairement qu’il faut repenser, dans le fond et non seulement dans la forme, nos valeurs et nos modes de vie, si on ne veut pas aller, comme on dit, dans le mur. Depuis le début de la crise sanitaire liée au COVID-19, jamais un changement aussi profond ne s’était opéré sur nos modes de vie avec une mutation du travail qui intervient en accéléré sous pression de la crise sanitaire. Le télétravail ou plutôt le travail à distance est devenu la norme pour un grand nombre d’entre-nous sans que nous y soyons réellement préparés. En effet, l’on assiste en Guadeloupe à une accélération de la transformation numérique de la société et des entreprises. Avec à la clé, un prochain bouleversement des modes de consommation, de production, d’approvisionnement, d’interaction ou encore de travail. Selon une étude de l’Insee, les ménages consacrent 11% de leur revenu disponible à la voiture. La part totale allouée aux transports est de 13,6% en 2017, en baisse constante depuis 2005. 81% de ces dépenses de transports passent donc dans la voiture (et les deux-roues motorisés).
Selon une étude de l’Insee, les ménages consacrent 11% de leur revenu disponible à la voiture. La part totale allouée aux transports est de 13,6% en 2017, en baisse constante depuis 2005. 81% de ces dépenses de transports passent donc dans la voiture (et les deux-roues motorisés).
 L’inexorable montée en puissance des femmes en politique ne s’est pas démentie depuis notre premier article sur le sujet et dont nous reprenons pour partie une analyse actualisée. Le prise de pouvoir par les femmes est une réalité qui s’impose depuis tantôt à l’ensemble de la société guadeloupéenne et depuis peu en Martinique où les choses ont positivement évoluée sur le plan politique. Les femmes mènent de plus en plus la danse aux Antilles. Et pourtant en économie, elle piétine aux portes du pouvoir au sein de l’entreprise. Dans les deux cas, elles concilient pourtant savoir et pouvoir. Partout, elles sont désormais plus influentes et plus diplômées que les hommes. De plus, elles occupent actuellement des positions fortes au sein des organismes ou se situent les lieux de pouvoir (politique, et culturel ). On peut citer pour la Guadeloupe en politique l’exemple de marie luce Penchard (deuxième vice présidente du conseil régional et ancienne maire de B/T et ministre), Josette Borel Lincertain (présidente du conseil Général et prétendante à la présidence de la région ), Marcelle Pierrot ( ancienne préfète et troisième de liste aux élections régionales), Gabrielle Louis Carabin (présidente de communauté et maire du moule) Justine Bénin et Hélène Christophe( députés) victoire Jasmin( sénatrice) et de plus plusieurs femmes maires .
L’inexorable montée en puissance des femmes en politique ne s’est pas démentie depuis notre premier article sur le sujet et dont nous reprenons pour partie une analyse actualisée. Le prise de pouvoir par les femmes est une réalité qui s’impose depuis tantôt à l’ensemble de la société guadeloupéenne et depuis peu en Martinique où les choses ont positivement évoluée sur le plan politique. Les femmes mènent de plus en plus la danse aux Antilles. Et pourtant en économie, elle piétine aux portes du pouvoir au sein de l’entreprise. Dans les deux cas, elles concilient pourtant savoir et pouvoir. Partout, elles sont désormais plus influentes et plus diplômées que les hommes. De plus, elles occupent actuellement des positions fortes au sein des organismes ou se situent les lieux de pouvoir (politique, et culturel ). On peut citer pour la Guadeloupe en politique l’exemple de marie luce Penchard (deuxième vice présidente du conseil régional et ancienne maire de B/T et ministre), Josette Borel Lincertain (présidente du conseil Général et prétendante à la présidence de la région ), Marcelle Pierrot ( ancienne préfète et troisième de liste aux élections régionales), Gabrielle Louis Carabin (présidente de communauté et maire du moule) Justine Bénin et Hélène Christophe( députés) victoire Jasmin( sénatrice) et de plus plusieurs femmes maires . Paris – Faire du shopping sur internet devrait devenir plus sûr:?de nouvelles normes de sécurité pour les paiements en ligne entrent en vigueur à partir de samedi et vont progressivement être adoptées par les commerçants.
Paris – Faire du shopping sur internet devrait devenir plus sûr:?de nouvelles normes de sécurité pour les paiements en ligne entrent en vigueur à partir de samedi et vont progressivement être adoptées par les commerçants.  Paris – La France comptait fin 2019 16,7 millions de retraités, qui percevaient une pension moyenne de 1.393 euros net par mois, selon une étude publiée jeudi par le service statistique des ministères sociaux (Drees).
Paris – La France comptait fin 2019 16,7 millions de retraités, qui percevaient une pension moyenne de 1.393 euros net par mois, selon une étude publiée jeudi par le service statistique des ministères sociaux (Drees). 
 Une copine de l’Association m’a déposée au terminus de Mahaut après notre réunion. Tout en attendant le bus qui doit me ramener à Trinité, j’admire cette belle réalisation qui change quand même la vie de pas mal de personnes modestes, et tout particulièrement de femmes.
Une copine de l’Association m’a déposée au terminus de Mahaut après notre réunion. Tout en attendant le bus qui doit me ramener à Trinité, j’admire cette belle réalisation qui change quand même la vie de pas mal de personnes modestes, et tout particulièrement de femmes.  Paris – Le président français Emmanuel Macron a ouvert mardi un sommet international consacré à la relance économique de l’Afrique, avec l’ambition de mobiliser au moins 100 milliards de dollars pour que le continent puisse se relever de la pandémie, mais aussi lutter contre le terrorisme.
Paris – Le président français Emmanuel Macron a ouvert mardi un sommet international consacré à la relance économique de l’Afrique, avec l’ambition de mobiliser au moins 100 milliards de dollars pour que le continent puisse se relever de la pandémie, mais aussi lutter contre le terrorisme. En Guadeloupe,  depuis les années 60/70 les idéologies politiques  marxistes qui sous-tendaient la décolonisation et la lutte de libération nationale ont été au cœur des passions politiques et syndicales des décennies d’après départementalisation  . Les différents mouvements indépendantistes qui portaient ces revendications ont beaucoup déçu et sont entrées en crise au cours des trois dernières décennies. Le communisme, les espoirs révolutionnaires, le socialisme se présentant comme une alternative au capitalisme, la croyance dans un sens de l’histoire et celle dans la nécessité de ruptures radicales avec la France, porteuses d’un avenir meilleur se sont défaits. Ce délitement a déstabilisé la mouvance nationaliste en Guadeloupe et au contraire renforcé les tenants de l’assimilation. Tout cela a débouché,  sur la concomitance de la victoire de la démocratie occidentale  et du libéralisme, , et a finalement engendré la revendication d’un conservatisme se méfiant de tout changement radical des institutions .
En Guadeloupe,  depuis les années 60/70 les idéologies politiques  marxistes qui sous-tendaient la décolonisation et la lutte de libération nationale ont été au cœur des passions politiques et syndicales des décennies d’après départementalisation  . Les différents mouvements indépendantistes qui portaient ces revendications ont beaucoup déçu et sont entrées en crise au cours des trois dernières décennies. Le communisme, les espoirs révolutionnaires, le socialisme se présentant comme une alternative au capitalisme, la croyance dans un sens de l’histoire et celle dans la nécessité de ruptures radicales avec la France, porteuses d’un avenir meilleur se sont défaits. Ce délitement a déstabilisé la mouvance nationaliste en Guadeloupe et au contraire renforcé les tenants de l’assimilation. Tout cela a débouché,  sur la concomitance de la victoire de la démocratie occidentale  et du libéralisme, , et a finalement engendré la revendication d’un conservatisme se méfiant de tout changement radical des institutions . « La régie des Transports de Martinique informe les usagers du réseau Centre que 26 lignes sont actuellement non desservies » …Et voilà, le travail d’information est fait… Débrouillez -vous !
« La régie des Transports de Martinique informe les usagers du réseau Centre que 26 lignes sont actuellement non desservies » …Et voilà, le travail d’information est fait… Débrouillez -vous !
 Pour faire face à la crise, gagner en résilience et en agilité, la Guyane doit se tourner vers de nouveaux modèles de développements économiques, inspirés par l’« innovation frugale ».
Pour faire face à la crise, gagner en résilience et en agilité, la Guyane doit se tourner vers de nouveaux modèles de développements économiques, inspirés par l’« innovation frugale ». Précédemment,  nous disions dans notre dernière tribune que les dès sont désormais jetés pour le prochain match de la présidentielle en France. Dans presque tous les cas de figure,  l’avenir semble s’assombrir et la tentation d’instaurer un régime autoritaire en France après l’élection présidentielle de 2022 n’a jamais été aussi prégnante. Dans un scénario possible en 2021, on imagine l’épidémie difficilement contrôlée et les perspectives de résolution de la crise sanitaire régulièrement repoussées à des horizons de plus en plus lointains. Dans ce scénario, l’impact de la crise sur l’économie est plus fort qu’anticipé notamment du fait d’une baisse durable de la consommation des ménages. Le rebond espéré n’intervient pas. Le nombre de chômeurs et de travailleurs précaires explose, mais aussi les pénuries de main-d’œuvre dans les secteurs les plus sollicités. Le climat social et politique particulièrement dégradé contribue à accroître le sentiment d’inquiétude et d’imprévisibilité. L’on se dirige tout droit vers une nouvelle vision historique au temps long de la théorie des cycles politiques et économiques pour la France, alors quid des conséquences sur le plan des institutions  ?
Précédemment,  nous disions dans notre dernière tribune que les dès sont désormais jetés pour le prochain match de la présidentielle en France. Dans presque tous les cas de figure,  l’avenir semble s’assombrir et la tentation d’instaurer un régime autoritaire en France après l’élection présidentielle de 2022 n’a jamais été aussi prégnante. Dans un scénario possible en 2021, on imagine l’épidémie difficilement contrôlée et les perspectives de résolution de la crise sanitaire régulièrement repoussées à des horizons de plus en plus lointains. Dans ce scénario, l’impact de la crise sur l’économie est plus fort qu’anticipé notamment du fait d’une baisse durable de la consommation des ménages. Le rebond espéré n’intervient pas. Le nombre de chômeurs et de travailleurs précaires explose, mais aussi les pénuries de main-d’œuvre dans les secteurs les plus sollicités. Le climat social et politique particulièrement dégradé contribue à accroître le sentiment d’inquiétude et d’imprévisibilité. L’on se dirige tout droit vers une nouvelle vision historique au temps long de la théorie des cycles politiques et économiques pour la France, alors quid des conséquences sur le plan des institutions  ? Les dès sont désormais presque jetés pour le prochain match de la présidentielle en France. Marine Le Pen fait feu de tout bois et lance la campagne pour tenter de capter l’héritage gaullien et ainsi séduire l’électorat de la droite républicaine. Quand à Emmanuel Macron, il tente de diviser la droite républicaine et peaufine un nouveau programme politique destiné à se relancer avec à la clé des mesures innovantes qui devraient être annoncées mi septembre 2021.
Les dès sont désormais presque jetés pour le prochain match de la présidentielle en France. Marine Le Pen fait feu de tout bois et lance la campagne pour tenter de capter l’héritage gaullien et ainsi séduire l’électorat de la droite républicaine. Quand à Emmanuel Macron, il tente de diviser la droite républicaine et peaufine un nouveau programme politique destiné à se relancer avec à la clé des mesures innovantes qui devraient être annoncées mi septembre 2021. Quel est le point commun entre le déclassement accéléré des terres agricoles, l’absence de développement industriel, la déroute de l’administration locale dans la gestion de la crise de l’eau et des transports, le délitement de la situation financière des collectivités locales, et l’appauvrissement du débat économique dans la sphère publique ? A des degrés différents, tous sont les conséquences de l’affaiblissement de l’enseignement économique et de la culture scientifiques dans notre société Antillaise. Pourquoi la Martinique et la Guadeloupe voient -elles fondre leur compétitivité avec la crise du Covid 19 ? Pourquoi se montrent -t-elles toujours aussi méfiante à l’égard des entreprises et des patrons ? Pourquoi leurs édiles politiques ont-ils, depuis longtemps, rejeté la loi du marché de l’emploi avec la prééminence du rôle de l’entreprise et au contraire vu dans la dépense publique et la politique sociale, la clef de la prospérité ?
Quel est le point commun entre le déclassement accéléré des terres agricoles, l’absence de développement industriel, la déroute de l’administration locale dans la gestion de la crise de l’eau et des transports, le délitement de la situation financière des collectivités locales, et l’appauvrissement du débat économique dans la sphère publique ? A des degrés différents, tous sont les conséquences de l’affaiblissement de l’enseignement économique et de la culture scientifiques dans notre société Antillaise. Pourquoi la Martinique et la Guadeloupe voient -elles fondre leur compétitivité avec la crise du Covid 19 ? Pourquoi se montrent -t-elles toujours aussi méfiante à l’égard des entreprises et des patrons ? Pourquoi leurs édiles politiques ont-ils, depuis longtemps, rejeté la loi du marché de l’emploi avec la prééminence du rôle de l’entreprise et au contraire vu dans la dépense publique et la politique sociale, la clef de la prospérité ? En dépit des rodomontades des élus locaux sur la question de la responsabilité, et des fausses apparences d’un pouvoir territorial , l’autorité de l’Etat, même bafouée , a encore de beaux jours devant elle . Désormais cela doit être dit et compris : soyons clairs, c’est l’Etat qui commande et nul autre ! En effet, le rôle de l’Etat est devenu majeur en Guadeloupe et en Martinique avec la crise du coronavirus. La question fait de plus en plus débat : la prééminence de l’Etat dans la gestion de la crise prévue pour les prochains mois sera-t-elle temporaire, illustrant un net rebond après la récession de l’économie engendrée par la Covid-19, ou persistera-t-elle, reflétant des facteurs durables d’entraînement de la société Antillaise ? Plusieurs arguments plaident en faveur d’une augmentation séculaire persistante du rôle de l’État français. Les effets de la révolution numérique en Guadeloupe et en Martinique vont altérer la structure de l’emploi et modifier en profondeur la société . De nouveaux emplois et de nouvelles familles d’emploi vont apparaître, d’autres disparaître ou ne seront plus viables, et les entreprises devront trouver les moyens d’organiser le travail et la production locale de manière différente, et là le rôle de l’État sera prépondérant dans la nouvelle définition des politiques publiques.
En dépit des rodomontades des élus locaux sur la question de la responsabilité, et des fausses apparences d’un pouvoir territorial , l’autorité de l’Etat, même bafouée , a encore de beaux jours devant elle . Désormais cela doit être dit et compris : soyons clairs, c’est l’Etat qui commande et nul autre ! En effet, le rôle de l’Etat est devenu majeur en Guadeloupe et en Martinique avec la crise du coronavirus. La question fait de plus en plus débat : la prééminence de l’Etat dans la gestion de la crise prévue pour les prochains mois sera-t-elle temporaire, illustrant un net rebond après la récession de l’économie engendrée par la Covid-19, ou persistera-t-elle, reflétant des facteurs durables d’entraînement de la société Antillaise ? Plusieurs arguments plaident en faveur d’une augmentation séculaire persistante du rôle de l’État français. Les effets de la révolution numérique en Guadeloupe et en Martinique vont altérer la structure de l’emploi et modifier en profondeur la société . De nouveaux emplois et de nouvelles familles d’emploi vont apparaître, d’autres disparaître ou ne seront plus viables, et les entreprises devront trouver les moyens d’organiser le travail et la production locale de manière différente, et là le rôle de l’État sera prépondérant dans la nouvelle définition des politiques publiques. Récemment les médias se sont faits l’écho : «  Bientôt un palace aux Trois-Ilets ! «.
Récemment les médias se sont faits l’écho : «  Bientôt un palace aux Trois-Ilets ! «.