— Par Jean-Marie Nol —
La politique en France est un théâtre d’ombres chinoises, mais au bout du compte, c’est l’économie du pays qui est en souffrance. Depuis son arrivée au pouvoir en 2017, Emmanuel Macron a façonné une image déroutante qui oscille entre l’habileté stratégique et l’imprudence politique notamment avec ses petites phrases à l’emporte pièce . Ses partisans louent sa capacité à dépasser les clivages traditionnels, ses détracteurs le décrivent comme un joueur de poker menteur cynique qui n’hésite pas à précipiter le pays dans la crise économique et financière et le désordre pour forcer les évolutions qu’il estime nécessaires. Cette ambiguïté nourrit une théorie persistante : loin d’être le fruit d’erreurs ou de maladresses, le chaos actuel résulterait d’un plan prémédité, une stratégie du choc visant à provoquer une catharsis nationale en laissant le rassemblement national accéder au pouvoir dans l’objectif de l’user ,avant la présidentielle de 2027, dans l’exercice des responsabilités en pleine crise de la dette .
Dès son essai Révolution publié en 2016, Macron dénonçait trois décennies d’inaction, accusant les gouvernements successifs d’avoir remplacé la croissance par la dette publique.

L’avenir de la société antillaise ne se dessine pas dans un futur lointain: il est déjà là en creux dans la trajectoire budgétaire de la France hexagonale qui fait face à des mutations et des problématiques quasi insolubles à régler dans l’immédiat.
Tribune |
Annulation d’un vol, retard important, refus d’embarquement. Pour toutes ces situations, la procédure pour régler un contentieux lié à une indemnisation évolue. Un décret du 5 août 2025 définit de nouvelles règles portant sur la médiation et les recours collectifs. Voici ce qui va changer pour les passagers concernés.
— Par Jean-Marie Nol —
Après le » bloquons tout » de la rue, voilà la nouvelle probabilité du »lâchons tout » de la classe politique.
La France traverse actuellement une période de crise que ne saurait régler le nouveau premier ministre Sébastien lecornu sans des réformes structurelles profondes. Alors attention aux non dits de la politique française qui menacent directement l’équilibre économique et social de la Guadeloupe et surtout de la Martinique et de la Guyane très engagée dans un processus de changement statutaire . La chute du gouvernement de François Bayrou, emporté par un vote de confiance perdu, a brutalement rappelé à quel point la question du financement du modèle social français est désormais au cœur des fragilités politiques du pays. En réalité, ce revers politique dépasse la seule trajectoire d’un Premier ministre : il symbolise l’incapacité récurrente des gouvernements successifs à affronter de front le problème de la dette publique et à poser la question taboue de la réforme de l’État providence . La crise politique et institutionnelle actuelle a mis en pleine lumière une vérité que la classe politique française n’ose pas affronter : le modèle social, tel qu’il fonctionne aujourd’hui, n’est plus finançable. Derrière la récente nomination d’un nouveau premier ministre se dessine une impasse structurelle qui dépasse les aléas partisans.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
J’ai dénoncé dès le début dans plusieurs articles la mystification qui consistait à fabriquer une crise sociale et un nouveau prophète venu d’on ne sait où pour la juguler.
En septembre, plusieurs nouveautés entrent en vigueur dans votre quotidien : aides financières, santé, impôts, retraite, engagement citoyen…
— Par Jean-Marie Nol —
Le silence de nos élu.e.s en dit long.
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean Samblé —
En principe,
La stratégie secrète du chaos financier de Emmanuel Macron pour redresser la France.
De la nécessité de rebattre les cartes de la pensée intellectuelle et du positionnement idéologique en Guadeloupe ?
Restauration de la sécurité et de l’autorité : La Guadeloupe et la Martinique condamnées au désenchantement et à l’impuissance face à la mutation sociétale ?
Le verdict est tombé ce jeudi 21 août 2025 à la Cour d’appel de Fort-de-France. Rodrigue Petitot, figure centrale du Rpprac (Rassemblement pour la protection des peuples et des ressources afro-caribéens), a été condamné à douze mois de prison ferme, aménagés en détention à domicile sous bracelet électronique. Une décision que le militant qualifie d’« injustice totale », dénonçant une volonté politique de l’écarter de la scène publique.
Le compte à rebours de la mutation de la Guadeloupe et de la Martinique prise dans un champ de forces politiques et économiques contradictoires.
— Par Sarha Fauré —
La Guadeloupe résiste bien mieux à la crise que ses voisines caribéennes .