— Par Nhân Pham Thi (*) —
À la faveur d’un temps presque printanier, les allergies aux pollens étaient déjà de retour avec un risque jugé très élevé sur une bonne partie du territoire un mois avant la date officielle du printemps, avant même la fin du mois de février. À noter que, selon la météo, et en particulier à l’arrivée de pluies, ce risque peut ensuite baisser… provisoirement. Je suis spécialisé dans le domaine des allergies respiratoires liées, notamment, au contact avec les allergènes présents dans l’air. Je constate qu’en général, les patients viennent nous consulter lorsque leurs symptômes sont déjà bien avancés.
Certaines allergies respiratoires sévissent toute l’année et concernent les acariens, des animaux ou encore des moisissures. D’autres, comme les allergies aux pollens d’arbres (bouleau, frêne…) ou d’herbacées (armoise, ambroisie…), sont saisonnières.En France, près d’un adulte sur trois et 20 % des enfants de plus de 9 ans souffriraient de rhinites saisonnières provoquées par une allergie aux pollens, plus connue sous l’appellation de « rhume des foins », selon des chiffres de l’Agence de sécurité sanitaire (Anses).
Nez bouché, sommeil et vie sociale altérés, crises d’asthme
Selon l’association Asthme & Allergies, il s’écoulerait en moyenne sept ans entre l’apparition des premiers symptômes et la consultation d’un allergologue, pour diverses raisons.

Les informations sur Internet semblent 
Subventions, un modèle à la dérive
— Par Sabrina Solar —
— Par Claire Dumas & Éric Trably.(*) —
— Par Yacine Amara.
— Par Sabrina Solar —
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L’évolution de la considération des humains à l’égard des animaux s’est également inscrite dans l’histoire du droit. Dans la tradition juridique, l’animal était assimilé par le droit comme une chose au service des humains. Du XIXe siècle aux années 1960, la protection de l’animal se limite à condamner la souffrance et les actes de cruauté, aucune norme ne concerne les conditions de vie des animaux d’élevage.
Comment proposer de nouveaux aliments et ingrédients enrichis en protéines à partir de macroalgues cultivées pour le secteur de la santé ? C’est l’ambition du programme de recherche innovant
La responsabilité de l’État est engagée dès le début, avec l’autorisation provisoire de vente du chlordécone en 1972. Lors du procès administratif, l’avis du rapporteur public a eu un poids important, et dans le scandale du chlordécone, ce pesticide, autorisé dans les bananeraies de Martinique et de Guadeloupe de 1972 à 1993 malgré sa toxicité, ses conclusions, formulées le 3 février, accablent l’État. Cela pourrait satisfaire les 1 286 plaignants et les trois associations qui ont soutenu la cause.
— Collectif
C’est un chiffre qui défie toute logique. Alors que le tsunami dévastateur de l’océan indien
Les notions de vulnérabilité et de risque sont fortement liées : elles sont le composé de l’aléa cyclonique et de la fragilité de l’organisation sociale de Mayotte. Si les
Un nouveau barème est entré en vigueur le 2 décembre 2024 concernant les montants du bonus écologique versé pour l’acquisition ou la location d’une voiture peu polluante. Cette aide s’élève désormais au maximum à 4 000 €, contre 7 000 € précédemment. Pour les autres types de véhicules (camionnettes, 2 ou 3 roues à moteur…), le bonus écologique est supprimé. D’autres dispositifs d’aide à l’acquisition d’un véhicule peu polluant ont évolué le 2 décembre 2024.
— Par Sabrina Solar —
Le secteur des transports, qui représente
Le cyclone Chido dévaste Mayotte et frappe le Mozambique : un très lourd bilan humain et matériel
— Par Sabrina Solar —
— Par Julie Mendret(*) & Thomas Harmand(*) —
Le SMEM (Syndicat Mixte d’Électricité de la Martinique) et la municipalité du Vauclin organisent la seconde édition de l’événement An Limiè, un rassemblement dédié à la sensibilisation aux économies d’énergie et à la transition énergétique. Du 5 au 7 décembre, la plage de la Pointe Faula se transforme en un véritable centre d’activités ludiques et éducatives, avec un accent mis sur les pratiques écoresponsables et la promotion des énergies renouvelables.
« Nous sommes la nature ! : Écologie, colonialité et liberté des peuples » est un ouvrage qui fusionne écologie, décolonisation et réflexion sur la souveraineté des peuples, particulièrement ceux des territoires d’outre-mer. Ce livre, coécrit par Marcellin Nadeau, militant anticolonialiste et ancien maire du Prêcheur (Martinique), et Pascal Margueritte, ancien journaliste, est une réflexion approfondie sur les défis environnementaux et sociaux auxquels sont confrontées les Antilles françaises, mais aussi sur les pratiques écologiques à l’échelle mondiale.
À l’heure où les préoccupations environnementales occupent une place croissante dans notre quotidien, de nombreuses personnes cherchent des moyens concrets pour réduire leur empreinte écologique. Or, la végétalisation de l’alimentation est