Diffusion : Mercredi 29 mai 2024 à 21h sur France 5
Ce mercredi 29 mai, « Les Docs de La Grande Librairie » consacre son cinquième volet à une figure emblématique de la littérature française : Colette. Réalisé par Catherine Aventurier et Margaux Opinel, ce documentaire inédit propose une exploration profonde et sensible de la vie et de l’œuvre de Colette, l’une des écrivaines les plus appréciées des Français.
Une vie de liberté et de paradoxes
Colette, de son vrai nom Sidonie-Gabrielle Colette, est célèbre pour ses œuvres devenues des classiques, telles que « Claudine à l’école », « Chéri », « Le Blé en herbe » et « Gigi ». Elle a écrit environ soixante ouvrages, plus de deux mille articles de presse et une abondante correspondance couvrant plus d’un demi-siècle. Pourtant, au-delà de son impressionnante production littéraire, Colette incarne une figure de liberté et de paradoxe. Insaisissable et féroce, elle mène sa vie littéraire, artistique et amoureuse en s’affranchissant des conventions et des attentes, forgeant ainsi une trajectoire unique et souvent scandaleuse.
Une émancipation totale des codes
Colette a toujours suivi une seule ligne de conduite : la sienne.

Primé en 2023 lors de la deuxième édition du Prix international de l’Invention poétique, « Tempes », le dernier recueil de Nathanaël, vient d’être publié chez LEGS ÉDITION. Ce livre de 106 pages, magnifiquement illustré par l’artiste-peintre Sergine André, est introduit par une note de l’éditeur Dieulermesson Petit Frère. Cette préface offre un aperçu des conditions de publication et relate les conflits de censure entre l’autrice, l’éditeur et l’association initialement liée au prix. Refusant les pressions, Nathanaël a finalement confié son œuvre à l’éditeur initial, offrant ainsi au public un recueil empreint de sincérité et de résistance.
La saison des fruits à pain, La sézon fiyapen
I
— Par Robert Berrouët-Oriol, linguiste-terminologue —
Bienfaisante sécheresse, qui nous amène à désirer la pluie, au point qu’une journée pluvieuse, n’en déplaise à l’imagerie occidentale, serait, enfin, à ce niveau de conscience, une bien jolie et belle journée.
Sous les ponts…
Matinik an malè
— Par Hélène Lemoine —
Résumé :

Originaire d’Haïti, le
— Communiqué —
Préface de Jean-Louis Pierre
Avant l’extinction…
— Par Patrick Chamoiseau —
—Par Robert Berrouët-Oriol, linguiste-terminologue —
— Hélène Lemoine —
Woulé ba-mwen Soley éklérant réyonnant
1 – L’artiste capture de manière saisissante un bain familial au bord de mer, sans doute pour signifier l’importance du rapport à l’écosystème naturel dans l’équilibre des rapports sociaux en général et familiaux en particulier. L’inextricable du rapport entre nature et culture semble aussi y être abordé.
« Jamais deux sans trois ». D’accord, mais sans ignorer que le chemin du deux au trois est parfois semé d’embûches et d’obstacles qu’il faut avoir surmontés. Par chance ou par esprit de combativité, l’essentiel étant de ne pas perdre de vue ce qu’a justement clamé en son temps le poète Louis Aragon : « Rien n’est jamais acquis à l’homme »
—Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Quand il n’explore pas la matérialité d’une Parole sauvage, Monchoachi hisse jusqu’à la joie du contre-chant une poésie qui célèbre l’éclat, le mystère et l’épiphanie d’une présence qu rend sensible l’insaisissable.