— Dossier de presse —
MISE EN SCÈNE : William Mesguich
ASSISTANTE À LA MISE EN SCÈNE : Charlotte Escamez
COSTUMES : Alice Touvet
SCÉNOGRAPHIE : William Mesguich et Mathieu Courtaillier
LUMIÈRES : Mathieu Courtaillier
SON : Julien Ménard
VIDÉO : Mathieu Courtaillier et Arnaud Maillard
SPECTACLE FAMILIAL, à partir de 6 ans
Tout commence lorsque Louis XIV demande à Jean de La Fontaine d’écrire un spectacle en vers. Les animaux prennent vie et Les Fables de La Fontaine se construisent devant nous.
Une cigale chantante, un lièvre italien, un coq texan, l’amour et la folie qui jouent une dernière partie de tennis…
Les univers se mélangent pour laisser place au jeu, au rire, à la poésie, et faire entendre, encore, et toujours, les plus belles morales du monde.
Les petits comme les grands découvrent une mise en scène vivante, drôle et qui s’offre avec grâce à la fantaisie théâtrale d’aujourd’hui…
Se passionner pour les Fables de La Fontaine
C’est vouloir explorer les méandres de l’âme et du coeur humain. C’est jouer à se faire peur. C’est aussi avoir vraiment peur.

Lucette Salibur a créé Traversée il y a vingt ans, un texte de Xavier Orville écrit spécialement pour elle. Autant dire qu’elle habite ce texte autant qu’elle est habitée par lui et qu’elle s’investit totalement dans ce monologue assez bref (45 minutes) mais qui fait intervenir plusieurs personnages de tous les âges. Cela se passe quelque part en Guyane, dans une région assez reculée, en tout cas pas urbaine. Au commencement, une vieille femme qui a trouvé refuge au sein d’un arbre creux. Les autres personnages interviendront ensuite, chacun ou plutôt chacune marquée par une douleur, une souffrance, un traumatisme ancien dont elle ne peut se défaire. Vision de la femme maltraitée, de la femme souffre-douleurs, de la femme impuissante à échapper à une fatalité atavique.
C’est un conte réaliste entre lumières vives et ombres noires au moment où le jour le dispute encore à la nuit. Elle est seule dans le creux du tronc d’un arbre de vie, desséché dont les branches portent les portraits des figures de sa vie. Elle nous dit la solitude et la misère d’existences qui peinent à être au monde sous le poids de dominations qui durent et qui perdurent de si loin qu’on en connaît plus le pourquoi mais dont on souffre encore et en corps le comment. Sans fin. Jusqu’à présent. Elle ira vers les autres, ses sœurs de douleurs. Ces vies en souffrances ce sont celles de six femmes d’un ici repérable à un lieu que l’on pourrait croire précis et localisable mais qui par ce qu’elles disent outrepassent nos petites frontières, qu’elles soient géographiques ou sociales. Elles disent haut et fort ce qui a été tu pendant tant de siècles. Elles disent la pauvreté et l’oppression. Elles appellent à la solidarité. Et c’est une enfant, Chloé, la verdoyante, l’herbe naissante, la déesse des moissons à venir en grec ancien, qui les invite à une traversée vers un monde où elles pourront être non seulement écoutées mais entendues, un monde dans lequel les chants du malheur ignoré se métamorphoseront en espérances et assurances d’accomplissement.
Cet article a été initialement publié sur
Le deuxième panorama de l’économie de la culture et de la création souligne l’importance d’un secteur qui a généré en 2013 près de 84 milliards d’Euros et 1,3 millions d’emplois.
Originaire de Martinique, avec un père musicien, FACTOR WILL baigne dans le milieu de la musique depuis son plus jeune âge. Il grandit dans une cité de Fort-de-France, vivier de nombreux artistes.
1ère Edition : Compétition de documentaires caribéens
Madame,
100 classes participantes dans toute la France pour créer 100 chansons.
Pour sa 37e édition, ce festival dédié aux films d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine a célèbré le cinquantième anniversaire de la conférence tri-continentale de janvier 1976. L’occasion de revenir, avec son fils, sur l’histoire de son principal initiateur Mehdi Ben Barka et de tenter de comprendre comment le cinéma peut à la fois dénoncer les rapports de domination et avoir un rôle émancipateur.
Le directeur de l’Odéon-Théâtre de l’Europe s’est éteint à l’âge de soixante-sept ans,
après avoir servi avec cœur et talent le meilleur du répertoire du Vieux Continent.
tobre dernier lors du rendu de résidence à Fonds Saint-Jacques et qui, ce soir-là avait semblé en de-ça de son talent a donné toute sa mesure lors de la soirée de clôture des spectacles en salle du MJF2015 au Tropiques-Atrium. La prestation s’est articulée autour du dernier opus, « Night Poems » paru en février 2015 et réalisé avec le pianiste Léonardo Montana. Il y avait beaucoup d’émotion sur scène et dans la salle. Après avoir sillonné les scènes du monde entier auprès de Gonzalo Rubalcaba durant quinze ans avec un quintet placé sous le parrainage de Dizzie Gillespie, Felipe Cabrera commence un longue carrière de collaborations internationales, souvent en fonds de scène mais toujours remarquées, auprès de Julien Loureau, Chano Dominguez, David Sanchez, Chico Freeman, Arturo Sandoval, Eddie Palmeri, Chris Potter, Omara Portundo, Mayra Andrade…
Belle initiative que celle de Steve Zebina, notre fringant Monsieur Cinéma, toujours actif et jamais à court d’idées qui, en lien avec le Martinique Jazz Festival, nous a ouvert par trois fois la Case à Vent, à un horaire insolite, au sein de Tropiques-Atrium. En effet, c’est à treize heures que nous étions conviés, “avec notre sandwich” (je cite Steve), à une pause cinématographique et musicale, comme en une oasis de fraîcheur et de bonheur aux heures chaudes de la journée. Proposition intrigante, un brin inquiétante peut-être : se trouverait-il un public pour répondre à la proposition ? Ou bien nous retrouverions-nous quelques-uns épars devant la toile, comme il m’est arrivé parfois de le vivre à Fort-de-France ? Non ! Pari tenu ! Si les messieurs se comptaient sur trois doigts d’une main, les dames ont bien répondu “présentes”. Dames grisonnantes libres de leur temps certes, mais aussi jeunes femmes qui avaient su ou pu se rendre disponibles, à ce moment qui les voit plutôt traditionnellement confinées aux repas familiaux !
Fin de stage des Grandes Personnes
Dimanche 29 novembre, 17h au domaine de Fonds Saint-Jacques
Samedi 28 novembre 2015, 20h à Fonds St-Jacques
Se confronter à Macbeth, c’est bien sûr se frotter à Shakespeare, mais indirectement se mesurer à Orson Welles ou Polanski. Pour son deuxième long-métrage, Justin Kurzel n’a donc pas choisi la facilité. Reste à savoir s’il parvient à se hisser sur les épaules de ces géants ou se contente de leur chatouiller les chevilles.
Le chaudron musical ? Elle n’est pas tombée dedans ! Elle est née dedans !