Auteur de près de 40 films, dont « Nous nous sommes tant aimés » et « Une journée particulière », le réalisateur italien est décédé à l’âge de 84 ans.
Le cinéaste italien Ettore Scola, réalisateur notamment d' »Une journée particulière » ou de « Nous nous sommes tant aimés », est mort mardi à Rome à 84 ans, selon les médias italiens citant des sources hospitalières. Ettore Scola, né en 1931, passait pour un des derniers grands maîtres du cinéma italien, réalisateur de chefs d’oeuvre mettant en scène Marcello Mastroianni, Sophia Loren, Vittorio Gassman ou Nino Manfredi.
Auteur de grands films sur l’histoire de son pays, il avait réalisé près de 40 films en 40 ans. Parmis ses plus connus, « Affreux, sales et méchants », pour lequel il avait reçu le Prix de la mise en scène au 29e festival de Cannes.
Caricature des sociétés modernes
Avant de se lancer dans le cinéma, Ettore Scola avait étudié le droit, puis travaillé dans la presse. Il débute dans le septième art en 1953, comme script doctor, puis comme scénariste. Il réalise son premier long métrage en 1964.

Selon les dernières estimations de la direction des études, des statistiques et de la prospective du CNC, la fréquentation cinématographique atteint 24,94 millions d’entrées au mois de décembre 2015, soit le deuxième mois le plus fort depuis 35 ans (1980, première année de disponibilité des statistiques mensuelles).
A la veille du 45eme anniversaire du fameux match, le 23 janvier 2016, le DVD « Nous irons voir Pelé sans payer » (version longue) est disponible depuis Noël à la Librairie Antillaise ou en commande via le site lamaisongarage.fr.
Synopsis
Mardi 15 Décembre 2015 à 19h Tropiques-Atrium
A l’occasion de la journée mondiale des Droits de l’Homme, ce 10 décembre 2015, l’association Alliance Ciné souhaite annoncer l’arrivée d’un évènement majeur pour cette cause sur notre territoire : La Martinique accueillera fin 2016 sa première édition du Festival International du Film des Droits de l’Homme (FIFDH).
Le visa d’exploitation du film La Vie d’Adèle a été annulé par la justice. En cause, des « scènes de sexe réalistes de nature à heurter la sensibilité du jeune public ».
1ère Edition : Compétition de documentaires caribéens
Pour sa 37e édition, ce festival dédié aux films d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine a célèbré le cinquantième anniversaire de la conférence tri-continentale de janvier 1976. L’occasion de revenir, avec son fils, sur l’histoire de son principal initiateur Mehdi Ben Barka et de tenter de comprendre comment le cinéma peut à la fois dénoncer les rapports de domination et avoir un rôle émancipateur.
Belle initiative que celle de Steve Zebina, notre fringant Monsieur Cinéma, toujours actif et jamais à court d’idées qui, en lien avec le Martinique Jazz Festival, nous a ouvert par trois fois la Case à Vent, à un horaire insolite, au sein de Tropiques-Atrium. En effet, c’est à treize heures que nous étions conviés, “avec notre sandwich” (je cite Steve), à une pause cinématographique et musicale, comme en une oasis de fraîcheur et de bonheur aux heures chaudes de la journée. Proposition intrigante, un brin inquiétante peut-être : se trouverait-il un public pour répondre à la proposition ? Ou bien nous retrouverions-nous quelques-uns épars devant la toile, comme il m’est arrivé parfois de le vivre à Fort-de-France ? Non ! Pari tenu ! Si les messieurs se comptaient sur trois doigts d’une main, les dames ont bien répondu “présentes”. Dames grisonnantes libres de leur temps certes, mais aussi jeunes femmes qui avaient su ou pu se rendre disponibles, à ce moment qui les voit plutôt traditionnellement confinées aux repas familiaux !
Samedi 28 novembre 2015, 20h à Fonds St-Jacques
Brillant hommage rendu à Paco de Lucia*, ce documentaire réalisé par son fils retrace le destin musical et artistique du génie de la guitare flamenco disparu en 2014. Avec les témoignages exceptionnels de Chick Corea, John McLaughin, Jorge Pardo ou encore Rubén Blades.
Critique. Partition intime ravivant le souvenir de sa famille décimée par les Khmers rouges, ce film très réussi fait remonter le passé comme des vagues submergant la caméra.
— Par Danielle Attali —
La Région Martinique dans le cadre du Grand Saint Pierre et la Municipalité de Saint Pierre
Qu’elle est alléchante, la rentrée cinématographique au complexe Madiana, lorsque l’on peut profiter des séances en version originale, hélas trop peu programmées et à une heure, toujours la même, qui ne convient pas forcément à tous les publics ! Cependant, je parlerai seulement ici d’un petit film documentaire qui pourrait passer inaperçu, écrasé par l’arrivée à la Martinique de la Palme d’Or cannoise ou d’autres pellicules ayant eu la faveur des médias.
— Par Dominique Widemann —