Mercredi 12 octobre à 19h30 en V.O. à Madiana
Christophe Cupelin – Suisse – 1h30 – 2015
Synopsis
Le parcours du président du Burkina Faso, de son élection en 1983 à son assassinat en 1987. Révolutionnaire, féministe et écologiste, Thomas Sankara a porté la voix des exclus jusqu’à la tribune de l’O.N.U. pour réclamer l’annulation de la dette africaine. Ces archives redonnent la parole à ce leader charismatique qui a marqué les consciences bien au-delà de l’Afrique.
La presse en parle:
Les Fiches du Cinéma par Gilles Tourman : Portrait édifiant d’un homme charismatique.
Première par Damien Leblanc : Par la vivacité du montage, le film crée avec son sujet une familiarité qui rend sa fin d’autant plus brutale.
aVoir-aLire.com par Nicolas Bonnes : Un portrait passionnant de Thomas Sankara, président atypique du Burkina Faso (…). Un feel good documentaire aussi précieux qu’essentiel.
Le Journal du Dimanche par Alexis Campion : Sans prendre parti, Cupelin révèle cette résonnance universelle au fil d’extraits parfois abîmés mais forts, ravivant le souvenir d’une modernité dérangeante, face à laquelle Mitterrand s’avoua perplexe. Un voyage écessaire et captivant.

Quel rôle a joué l’art dans la quête d’égalité et d’affirmation de l’identité noire dans l’Amérique de la Ségrégation ? L’exposition rend hommage aux artistes et penseurs africains-américains qui ont contribué, durant près d’un siècle et demi de luttes, à estomper cette « ligne de couleur » discriminatoire.
« Comme quoi, nul n’est complètement « pur » et « clair » dans les référencements historico-raciales… ». C’est par cette phrase qu’Antilla termine l’introduction de l’article parue au numéro 1737, « Gandhi, précurseur de l’apartheid ?… ». A cette affirmation négative qui pourrait être mienne, j’ajouterai, comme Martin Luther King, que tout homme a en lui un raciste qui sommeille. Mais de même qu’il n’y a pas d’amour sans preuves d’amour, en fait de racisme on ne retient que les actes. Les actes que son tempérament, son éducation, ses convictions religieuses, ou plus généralement sa culture, n’ont pas su permettre à l’individu de refréner.
Communiqué de Presse
RENCONTRES LITTÉRAIRES
L’affaire n’a pas eu l’écho mérité, mais elle est emblématique d’un combat idéologique qui fait rage aujourd’hui. A l’occasion d’une exposition, le Musée parisien du Quai Branly s’apprêtait à diffuser massivement et gratuitement, en particulier aux enfants scolarisés, une brochure dans laquelle on pouvait lire : « que les esclaves avaient été vendus à des européens par des africains », que ceux-ci « vendaient leurs frères et sœurs noirs », que parmi les esclaves, « certains étaient très malheureux et maltraités alors que d’autres avaient une vie plus agréable», que « la discrimination raciale avait pris fin aux Etats-Unis en 1964 ». Heureusement, la vigilance et la mobilisation de militants panafricanistes a fait échouer l’opération*.
Le sort des classes moyennes aux Antilles devra occuper une place centrale dans le débat public. Elles seraient sur le déclin et menacées de paupérisation, entend-on souvent.
Le célèbre metteur en scène polonais Andrzej Wajda est mort dimanche soir à Varsovie à l’âge de 90 ans, ont annoncé ses proches et plusieurs médias polonais.
La journée mondiale de la santé mentale (célébrée le 10 octobre), est une journée internationale consacrée à l’éducation et à la sensibilisation du public envers la santé mentale1. Elle a été célébrée pour la première fois en 1992. Les données dont l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dispose indiquent que les individus atteints de troubles mentaux, et en particulier celles qui sont placées en établissement, présentent des taux de mortalité par cancer et par cardiopathie plus élevés que la population générale. D’après les chiffres, les personnes âgées dépressives seraient exposées à un risque excédentaire de cancer de 88 % et les hommes dépressifs à un risque de cardiopathie accru de 70 %
REVUE DE PRESSE. De Ouagadougou à Arusha : il n’est pas si simple pour les contemporains de mettre en application le projet politique du père de la révolution burkinabè.
Lettre ouverte contre les conditions de détention des animaux dans les cirques
La gauche, qui refuse la logique libérale avec laquelle François Hollande et Manuel Valls acceptent de composer, doit se rassembler pour l’élection présidentielle.
Essai
VIDÉO. Depuis que Matthew s’est abattu sur Haïti, les habitants comptent leurs morts et font face à une nouvelle catastrophe humanitaire.
Par un collectif d’artistes, journalistes, hommes et femmes politiques, humoristes, universitaires, auteurs, dont Yann Arthus-Bertrand, Amélie Nothomb, Matthieu Ricard, Sanseverino…
Pour tous ceux qui ont à cœur d’accorder à l’histoire tragique de la traite transatlantique la place qui lui revient dans l’histoire de France, pour tous ceux qui œuvrent depuis des années à la perpétuation de la mémoire qui s’y rattache, l’annonce par le Président de la République dans son discours du 10 mai 2016, lors de la Journée nationale des mémoires de la traite, de l’esclavage et de leurs abolitions, de l’élaboration d’une fondation nationale dédiée à ce passé, avait représenté un tournant crucial à plus d’un titre. Le Président de la République réaffirmait ainsi l’engagement de l’État dans le projet de cette institution nationale qui avait été formulé voilà déjà dix ans de cela. Il y a maintenant une décennie, le Président Jacques Chirac avait demandé à l’écrivain Édouard Glissant un rapport officiel (publié sous le nom de Mémoires des esclavages, Gallimard / Documentation française, 2007) qui en donnerait l’inspiration et en dessinerait les contours. Nous étions alors en mars 2006, et le Comité pour la mémoire de l’esclavage (devenu Comité national pour la Mémoire et l’Histoire de l’Esclavage) voyait le jour sous la présidence de Maryse Condé.
Ari Maniel Cruz – Puerto Rico – 1h38 – 2016
Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.
C’est devenu une tradition : à la rentrée universitaire, la BU du campus de Schoelcher se prend à vibrer au rythme du son et de la parole contée diffusés aux quatre coins de la Martinique par le festival Contes et musique dans la cité.
Les sociétés des journalistes signataires font part de leur vive inquiétude à propos du projet de loi intitulé « égalité et citoyenneté » qui pourrait réduire dangereusement la liberté de la presse.
Haïti est vulnérable. Le pays a déjà été frappé, en 2010, par un séisme qui avait causé la mort de 200 000 personnes. S’en était suivie une épidémie de choléra, qui avait touché plus de 680 000 personnes. Elle avait fait plus de 10 000 victimes.
« Si l’acte est beau, pourquoi le cacher dans l’ombre ? »