— RS n° 414 lundi 29 septembre 2025 —
Au risque de provoquer quelques frissons, les élu·e·s de la CTM ont choisi de mettre le « congrès des élu-e-s » sous le signe de « la rupture ». On peut mettre beaucoup de choses derrière ce vocable, sauf l’immobilisme et la routine. Et c’est sûr qu’il faut une rupture avec les politiques et le système dominant.
Les congressistes vont-ils exprimer par une motion spécifique la rupture avec la politique macronienne qui écrase aussi bien le peuple martiniquais et les autres colonies, que les masses laborieuses de France ? Disons clairement que pour bénéficier de services publics décents en matière de santé, de défense de l’emploi, de l’environnement, il faut rompre ouvertement avec une politique qui prend aux modestes pour donner encore et encore plus aux plus riches. Il faut casser l’illusion suivant laquelle les Dominants pourraient avoir à notre égard, une générosité qu’ils n’ont pas à l’égard des exploité·e·s de leur France, elle-même ! Une motion claire à ce sujet serait un encouragement positif à la lutte.
La rupture avec la politique coloniale implique aussi, bien entendu, des mesures immédiates spécifiques pour les peuples colonisés.

Parler à un humain – une pièce que fait vibrer l’intelligence et le cœur
L’association martiniquaise Konbit organise une journée de formation autour du théâtre forum, une forme de théâtre participatif issue du théâtre de l’opprimé développé par Augusto Boal. Cette méthode vise à questionner les rapports sociaux, à ouvrir des espaces de parole et à expérimenter collectivement des alternatives face à des situations d’oppression ou de blocage.
Une pièce de Jean-Luc Espinasse | Mise en scène : Caroline Savard | Production : Association El Lobo Bueno
“En dents de scie… »
Depuis quelque temps, l’Eau ne sort plus des robinets du consommateur, ce qui présente un grand risque sanitaire, économique et environnemental. (Décidément ce précieux produit nous donne le tournis et risque de nous noyer tous).
— Par Eric Eliès —
— Par Jean-Marie Nol —
Par Julia Ducournau | Avec Mélissa Boros, Tahar Rahim, Golshifteh Farahani| 20 août 2025 en salle | 2h 08min | Drame
— Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
Titre original A Queda do Céu | 5 février 2025 en salle | 1h 50min | Documentaire
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— Par Camille Loty Malebranche —
Le documentaire « La couleur de l’esclavage » réalisé par Patrick Baucelin est une œuvre minutieusement construite qui explore l’un des chapitres les plus sombres de l’histoire humaine : l’esclavage colonial. Ce film mi-fiction, d’une durée de 1 heure et 33 minutes, plonge le spectateur dans l’univers brutal de la traite négrière et de l’esclavage dans les Caraïbes, offrant un regard sans concession sur les souffrances endurées par des millions de captifs africains entre le XVIe et le XIXe siècle.
Le Kreyol International Film Festival (KIFF) a ouvert sa troisième édition le vendredi 26 septembre 2025 à Saint-Ouen, avec une projection inaugurale du film Dream On, œuvre de Christopher Bordelais et Jordan Laurent (Guadeloupe, 2024). Ce festival, qui se tient jusqu’au 30 septembre, est organisé par l’association Les Ponts de l’Espoir, fondée en 2010 à Paris, et engagée dans la promotion de la fraternité, de la diversité culturelle et de la lutte contre les discriminations.
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— Communiqué – 25 septembre 2025 —
Respect pour les travailleurs, Respect pour les populations impactées
— Par Alex Lollia (*)
Inès Reg, de son vrai nom Inès Reghioua, est née le 20 juillet 1992 à Paris. Elle se fait connaître du grand public en 2019 grâce à une vidéo virale publiée sur les réseaux sociaux, dans laquelle elle lance la désormais célèbre réplique : « Je veux que tu mettes des paillettes dans ma vie, Kevin ! ». Ce succès fulgurant marque un tournant dans sa carrière et la propulse sur le devant de la scène.
— Par Sabrina Solar —
— Par Sarha Fauré —