Du 18 septembre au 8 octobre 2024
Expositions, projections de films, projets éducatifs pour les plus jeunes, mais aussi balades dans des parcs naturels ou ateliers consacrés à l’alimentation et aux produits locaux… La Semaine européenne du développement durable, qui se déroulera du 18 septembre au 8 octobre 2024, propose de nombreuses animations liées à la protection de l’environnement.
La Semaine européenne du développement durable, organisée cette année du 18 septembre au 8 octobre, permet de rappeler que toutes les actions comptent, y compris les petits gestes de tous les jours. Son mot d’ordre : « Agir au quotidien ».
Les activités qui se déroulent à cette occasion en France, comme dans d’autres pays européens, sont destinées à sensibiliser les citoyens aux enjeux du développement durable et à encourager tout un chacun à s’engager dans des actions concrètes. Il s’agit d’initiatives proposées entre autres par des associations, des établissements scolaires, des entreprises, et plus largement des habitants souhaitant par exemple faire connaître des spécificités environnementales locales, des projets territoriaux ou encore un patrimoine alimentaire régional.
Les différents projets concernent au moins une des trois dimensions du développement durable : environnement, social ou économie.

— Par Sarha Fauré —
Les négociations entre EDF Production Électrique Insulaire (EDF-PEI) et le syndicat FE-CGTG sont dans l’impasse à la centrale de Pointe Jarry, située à Baie-Mahault, en Guadeloupe. Malgré la médiation de la Direction de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités (DEETS), les discussions peinent à avancer. Ce blocage est survenu après une interview radiophonique de la directrice d’EDF-PEI, Gaëlle Paygambar, qui a suscité l’indignation des grévistes. Lors de cette intervention, la directrice a évoqué une indemnité de transport de « 1000 euros en moyenne » versée à chaque agent, une déclaration vivement contestée par la FE-CGTG, qui exige un démenti avant toute reprise des pourparlers.
Tandis que 80% des Français∙es ne reçoivent aucune donation du vivant et que parmi celles et ceux qui héritent, 9 sur 10 touchent moins de 100 000€ au cours de leur vie, Oxfam France publie un nouveau rapport alertant sur l’émergence d’une minorité d’ultra-riches touchant des super-héritages insuffisamment taxés.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Un incident d’une ampleur inédite a frappé le Hezbollah ce mardi 17 septembre, provoquant la mort de neuf membres et blessant près de 2800 personnes. À la source de cette tragédie, un élément inattendu : l’explosion simultanée de milliers de bipeurs utilisés par les membres de cette organisation pro-iranienne. Ces petits appareils de communication, tombés en désuétude depuis l’avènement des téléphones portables, avaient été réintroduits par le Hezbollah comme une alternative discrète aux smartphones, espérant ainsi échapper à la surveillance israélienne. Mais ce qui devait être un outil de communication sécurisé s’est transformé en véritable bombe à retardement.
— Par Sabrina Solar & Jean Samblé —
Lorsque mon ami-frère Karim Akouche m’incita à écrire un texte sur l’Algérie, j’ai tout de suite accepté car ce pays presque mien me tient autant à cœur qu’Haïti, la France ou le Canada.
Jusqu’au 13 octobre, le Musée du Quai Branly – Jacques Chirac présente « Taïnos et Kalinagos des Antilles », une exposition exceptionnelle qui célèbre les civilisations amérindiennes des Caraïbes, les Taïnos et les Kalinagos, deux peuples qui ont marqué l’histoire des Antilles bien avant l’arrivée des Européens. Cette exposition rend également hommage à une première manifestation tenue il y a 30 ans au Petit Palais, sous l’égide de Jacques Chirac, alors maire de Paris. L’exposition de 1994, dirigée par le collectionneur Jacques Kerchache, fut un succès majeur, contribuant à changer le regard porté sur les arts non-occidentaux et à poser les bases de la création du musée du Quai Branly.
— Par Sarha Fauré —
— Par Jean-Pierre Maurice —
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
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— Par Jean-Marie Nol, économiste —
Avec Mbissine Thérèse Diop, Anne-Marie Jelinek, Robert Fontaine
Les territoires d’Outre-mer français sont depuis plusieurs décennies au cœur de tensions politiques, sociales et économiques qui s’intensifient. Alors que le nouveau gouvernement de Michel Barnier s’installe, la question de la gouvernance des Outre-mer revient en force, suscitant des attentes considérables de la part des élus ultramarins. Ces derniers, confrontés à des difficultés multiples allant du chômage endémique à l’inflation galopante, réclament un retour à un ministère de plein droit dédié aux Outre-mer, jugé indispensable pour une gestion plus efficace et plus respectueuse des particularités de ces territoires.
— Par Sabrina Solar —
— Par Sarha Fauré —
Les phénomènes météorologiques extrêmes sont, par définition, rares sur notre planète. Les orages violents, les vagues de chaleur caniculaire ou encore de froid mordant illustrent ce dont le climat est capable dans ses pires moments. Mais ce qui peut être considéré comme normal ou non est en train de changer. Comme le climat de la Terre se réchauffe rapidement, surtout du fait de la
— Par Myrna Nérovique —
Avec Elizabeth Debicki, Moses Sumney
— Par Jean Samblé —
Par Jonás Trueba, Itsaso Arana
Les évènements actuels en Martinique , depuis plus d’une semaine, ne sont que le résultat de décennies de déni de la question de la vie chère qui, loin de guérir le problème, n’a fait que le rendre plus explosif. Les spécialistes antillais d’histoire politique ont peu écrit sur les émotions, concentrant leur intérêt sur des sujets plus durs, plus rigoureux tels que l’esclavage et la colonisation . Pourtant les émotions sont la clef de la vie politique actuelle de la Martinique et de la Guadeloupe, et elles y ont eu une grande importance dans la façon de façonner la neuropsycho-généalogie des Antillais ,car les émotions servent alors de révélateur des discriminations et de levier vers la critique sociale et politique de la gouvernance dans les anciennes colonies. Alors quelles sont les véritables intentions des activistes au delà du caractère émotionnel en quittant la table des négociations, sachant que la résolution finale de cette problématique de vie chère ne leur appartient nullement, mais relève en grande partie de l’État français et aussi revient à la CTM qui annonce le projet sous certaines conditions de supprimer l’Octroi de Mer sur 54 familles de produits ?