Les Journées Nationales de l’Architecture (JNArchi) 2024 auront lieu du 18 au 20 octobre, sous le thème inspirant : « Nouvelles vies des bâtiments et nouvelles pratiques de l’architecture ». Cet événement, lancé en 2016 par le Ministère de la Culture, vise à valoriser l’architecture sous toutes ses formes, en dévoilant sa richesse culturelle, sociale, et écologique. Les JNArchi 2024 invitent le grand public à découvrir l’architecture contemporaine à travers des visites, des conférences, et des ateliers.
Cette année, une attention particulière sera portée sur l’évolution des bâtiments, qu’il s’agisse de leur réhabilitation, de leur transformation ou de leur adaptation aux défis environnementaux actuels. Les JNArchi permettent ainsi de comprendre comment les architectes réinventent notre patrimoine tout en proposant des solutions innovantes pour un avenir durable. La journée du 18 octobre, avec l’opération « Levez les yeux ! », sera spécialement dédiée aux écoliers, afin de sensibiliser les plus jeunes à l’importance de leur environnement bâti.
Événements en Martinique
En Martinique, les Journées Nationales de l’Architecture 2024 offriront des moments forts de découverte architecturale. Parmi les événements phares :
–Visite des monuments de Saint-Pierre : Organisée par le service Patrimoine de la ville, cette visite mettra à l’honneur les bâtiments classés et labellisés « architecture des 20ème et 21ème siècles ».

Lydia Jardon, lauréate du Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris, titulaire d’une licence de concert de l’École Normale, et récipiendaire de nombreux prix prestigieux, est une pianiste de renommée mondiale. Au-delà de sa carrière de soliste sur les plus grandes scènes internationales, elle se distingue également par sa vision profondément humaniste de la musique. Lorsqu’on lui demande ce qu’elle ajouterait à son impressionnante carrière, elle répond en trois mots : humanisme, sincérité et abnégation.
Les Intercommunalités de France ont toujours affirmé l’existence d’une communauté de destin entre décideurs publics devant les comptes de la Nation. Nos collectivités locales de l’Hexagone et de l’Outre-Mer ne sont pas responsables des déficits ou de l’endettement de l’État, mais elles sont lucides face aux périls que cette situation fait peser sur les Français.
— Par Sarha Fauré —
Après des semaines de négociations intenses sur la crise de la vie chère en Martinique, un accord a enfin été signé ce mercredi 16 octobre, mais sans l’approbation du RPPRAC (Rassemblement pour la Protection des Peuples et des Ressources Afro-Caribéennes). Cet accord, qui engage plusieurs acteurs économiques et politiques de l’île, vise à réduire les prix de produits alimentaires et à renforcer la transparence des pratiques commerciales.
Par Boris Lojkine, Delphine Agut
L’assassinat de Samuel Paty, parfois désigné comme l’attentat de Conflans-Sainte-Honorine, est une attaque terroriste islamiste perpétrée le 16 octobre 2020 dans la commune française d’Éragny-sur-Oise, située dans le Val-d’Oise.
Le ministre Antoine Augustin dépose une demande d’audit financier 
Avec Isabelle Huppert, Hafsia Herzi, William Edimo
Budget 2025
Avec Pierre Niney, Maya Gondry
Après ces nuits de chaos, je veux redire ma solidarité à tous ceux qui ont subi les pillages et les déprédations, à ceux qui, du jour au lendemain, se sont réveillés chômeurs, à tous les jobeurs qui ont perdu des journées de salaire, à ceux qui se retrouvent au chômage partiel, à ceux qui avaient réussi, non sans mal, à créer leur entreprise et qui la voient disparaitre dans un incendie volontaire.
— Par Jean-Marie Nol, économiste —
La biodiversité est un pilier fondamental de la vie sur Terre, soutenant les écosystèmes qui fournissent des services vitaux pour l’humanité, tels que la nourriture, l’eau potable, et la régulation du climat. Malheureusement, tous les indicateurs mondiaux révèlent un déclin alarmant de la biodiversité, avec des conséquences qui pourraient s’avérer catastrophiques pour la planète et ses habitants. Selon l’Indice Planète Vivante (IPV), la taille moyenne des populations d’animaux sauvages a chuté de 73 % entre 1970 et 2020, soulignant une crise écologique majeure qui appelle à des actions immédiates et concertées.
—Communiqué de l’association féministe Culture Égalité —
Lorsqu’une fraction du peuple engage une lutte légitime, le
Avec Juan Jesús Varela, Yadira Pérez, Karla Garrido
Constat d’échec
Face à la persistance de graves troubles à l’ordre public, le préfet de la Martinique a pris la décision de prolonger plusieurs mesures administratives afin de garantir la sécurité des personnes et des biens. Cette prolongation concerne tout d’abord le couvre-feu, désormais en vigueur sur l’ensemble du territoire martiniquais entre 21h00 et 05h00 du lundi 14 au lundi 21 octobre 2024. Cette mesure, déjà mise en place le 9 octobre, vise à protéger les habitants ainsi que les infrastructures locales dans un contexte de crise sociale marquée par des émeutes, incendies et confrontations violentes avec les forces de l’ordre. Les autorités ont précisé que le couvre-feu pourrait être reconduit si nécessaire.
Pour les partisans de l’autonomie de l’article 74 qui s’adressaient aux électeurs martiniquais lors des consultations électorales de janvier 2010, la conservation par l’État des pouvoirs régaliens avait été présentée comme la parade parfaite contre les dérives éventuelles d’une nouvelle collectivité. Que fallait-il craindre de l’évolution statutaire, disait-on, dès lors que la garantie contre les dérives éventuelles allait être assurée par l’État gardien du pouvoir de police, de justice et défense ? Ce fut l’argument massue utilisé pour convaincre une population réticente à franchir le pas institutionnel. Or, nul ne peut ignorer que le refus d’accepter l’autorité de la France sur nos deux îles de Guadeloupe et de Martinique a été très précisément à l’origine des revendications de rupture.
Avec : Misagh Zare, Soheila Golestani, Mahsa Rostami
Avec Liliana Ôno, Koji Yakusho, Shun Oguri