— Par Mireille Pierre-Louis (Contribution à titre personnel) —
Sommaire
Retour sur le désengagement budgétaire de l’Etat des finances locales
Une Martinique aux finances locales exsangues
Une poudrière sociale qui fait le lit du populisme
L’Etat souffle sur la braise
Des alliés moyenâgeux (comme l’Octroi de mer) devenus encombrants ?
Une instrumentalisation de la misère sociale
Une diversion par rapport à la colonisation de peuplement
Octroi de mer : un nouveau séisme budgétaire en vue
Sans changement de cap de l’Etat français : Maré rin nou !
EXPOSE DES MOTIFS
La « vie est chère » en Martinique, nul ne saurait le contester, mais les prix des produits alimentaires ne sont pas responsables du marasme dans lequel les Antilles s’enfoncent inexorablement depuis une quinzaine d’années. Et, justement, en imposant la « vie chère » comme l’alpha et l’oméga des difficultés de la Martinique aujourd’hui, et même de l’Outremer, l’Etat réussit à détourner l’attention de ses propres manquements dans ces territoires, et plus grave, instrumentalise la misère sociale pour in fine appauvrir les populations, avec la prise de l’Octroi de mer et sa refonte dans une TVA nationale inflationniste.

Monsieur le Ministre,
—Le n° 387 de « Révolution Socialiste », journal du GRS —
— Par Jean-Marie Nol —
—Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
La précarité menstruelle est une injustice sociale et une question de santé publique qui touche de nombreuses jeunes filles et femmes menstruées en Martinique.
Nous sommes tous d’une île !
Il serait plus que temps que la diaspora s’inscrive dans une trajectoire de développement économique et financier des pays Guadeloupe et Martinique !
Le préjudice d’anxiété est une notion juridique qui désigne la souffrance psychologique ressentie par une personne en raison de l’incertitude liée au développement d’une maladie grave suite à son exposition à un risque, généralement professionnel. Ce préjudice est souvent associé à l’exposition à des substances dangereuses, telles que l’amiante, les produits chimiques ou d’autres agents toxiques. Bien qu’il s’agisse d’un dommage psychologique, il est désormais reconnu et indemnisé par le droit français, comme en témoigne plusieurs décisions de justice, notamment en ce qui concerne l’amiante.
Le Pass’colo est un dispositif de l’État visant à favoriser les départs en colonies de vacances des enfants durant l’année civile de leurs 11 ans, un âge charnière de l’entrée au collège. L’aide attribuée varie entre 200 et 350 € selon les ressources du foyer. Pour en bénéficier, votre enfant doit être né entre le 1er janvier 2014 et le 31 décembre 2014. Si votre enfant est né en 2013 et que vous n’avez pas utilisé l’aide en 2024, vous pouvez toujours en bénéficier cette année. L’aide est utilisable pour un seul séjour par enfant et uniquement pendant les vacances scolaires.
Deux sociétés ont subi une attaque informatique par
La
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Objet : Plaidoyer pour la mise en place d’une Zone Franche Sociale en Outre-mer
Aussi complexe soit-il, le problème martiniquais n’est pas insurmontable. Pour autant, il présente des points de blocage à caractère psychosociologique que nous ne devons pas passer sous silence, sinon les projets les mieux peaufinés ne donneront pas les résultats escomptés. Georges Zaméo Nous souhaitons que nous construisions notre futur en contrôlant aujourd’hui l’orientation de notre société. Nous savons tous que nous ne voulons plus d’une société construite sur des rapports de domination et sur le racisme, quel que soit son déguisement. Raphaël Constant et Victor Permal
— Par Jean-Marie Nol —
— Communiqué de la CGTM-ONF —
« Le Porteur d’Histoire », d’Alexis Michalik, est une véritable chasse au trésor littéraire qui mêle mystère, aventure et réflexion sur le pouvoir du récit. La pièce, couronnée de deux Molières en 2014, rend hommage à Alexandre Dumas et nous plonge dans une histoire haletante où les frontières entre petite et grande histoire s’effacent pour donner place à une quête épique.
La cour administrative d’appel de Paris a rendu, ce mardi 11 mars, une décision historique concernant le scandale du chlordécone aux Antilles. L’État a été reconnu responsable des fautes commises dans l’autorisation et l’usage prolongé de ce pesticide hautement toxique, utilisé dans les bananeraies de Guadeloupe et de Martinique entre 1972 et 1993. La cour a estimé que l’État doit indemniser les victimes présentant un préjudice moral d’anxiété lié à l’exposition au chlordécone, une substance qui a contaminé de manière durable les sols, l’eau, et la chaîne alimentaire des deux îles.
— Par Sabrina Solar —