À Madiana
| Par Philippe Bernard, Jean-Claude Barny
Avec Alexandre Bouyer, Déborah François, Stanislas Merhar | 2 avril 2025 en salle | 2h 13min | Biopic |
Synopsis
Tout public
Frantz Fanon, un psychiatre français originaire de la Martinique vient d’être nommé chef de service à l’hôpital psychiatrique de Blida en Algérie. Ses méthodes contrastent avec celles des autres médecins dans un contexte de colonisation.
Un biopic au cœur de la guerre d’Algérie où se livre un combat au nom de l’Humanité.
La presse en parle : 
Franceinfo Culture par Falila Gbadamassi
Le biopic que consacre Jean-Claude Barny, s’impose comme un film essentiel. Pas seulement parce qu’il s’intéresse au grand intellectuel et militant Frantz Fanon mais parce qu’il s’attache aux ressorts intimes de ses combats et engagements.
Les Fiches du Cinéma par Gilles Tourman
Un biopic édifiant et passionnant, envisagé comme une authentique tragédie.
So Film par Pierre Charpilloz
Avec Fanon, Jean-Claude Barny, connu pour ses films sur la communauté antillaise (Nèg Maron et Le Gang des Antillais), répare enfin cette injustice : Fanon a tout du grand biopic, avec musique orchestrale, reconstitution impressionnante et casting de choix (Déborah François, Olivier Gourmet mais aussi la révélation Alexandre Bouyer dans le rôle éponyme).

Rubis Mécénat, en partenariat avec unRepresented et La Station Culturelle, a l’honneur de présenter Corrosion, la dernière série du photographe martiniquais
La suppression des zones à faibles émissions (ZFE) a été votée en commission à l’Assemblée nationale le 27 mars 2025, dans le cadre du projet de loi de simplification de la vie économique. Mais en quoi consistent exactement les ZFE ? Pourquoi sont-elles remises en cause ? L’essentiel en quatre questions.
Une nouvelle campagne de vaccination aura lieu au printemps 2025. Destinée à protéger dans la durée les personnes les plus âgées et les plus vulnérables, elle est organisée conformément à l’avis de la Haute Autorité de santé (HAS). À qui s’adresse ce renouvellement vaccinal ? 
— Par Jean-Marie Nol —
—- Le n° 389 de « Révolution Socialiste », journal du GRS —
Le 31 mars 2025, les associations engagées dans la défense des droits des populations antillaises ont essuyé un revers juridique majeur. Le Comité européen des droits sociaux (CEDS), organe du Conseil de l’Europe, a rejeté leur requête concernant les graves inégalités qui existent entre la France métropolitaine et ses territoires d’Outre-mer, notamment en Guadeloupe et en Martinique. Ce rejet porte un coup dur à l’espoir de voir enfin reconnu le préjudice causé par la pollution au chlordécone et les crises liées à l’accès à l’eau potable dans ces territoires.
Avec Vincent Cassel, Reda Kateb, Hélène Vincent | 23 octobre 2019 en salle | 1h 55min | Comédie
« Ce qu’il faut dire » est une œuvre de Léonora Miano, mise en scène par Catherine Vrignaud Cohen, qui interroge les rapports entre l’Occident et l’Afrique à travers une écriture percutante et sans compromis. La pièce se compose de trois tableaux, chacun explorant des facettes différentes des relations humaines, de l’histoire coloniale et de la quête identitaire. Loin des discours lissés et des prétentions à l’objectivité, le texte se caractérise par sa brutalité et sa poésie, deux registres qui se mêlent pour provoquer une réflexion intime et collective sur les injustices et les héritages du colonialisme.
Le documentaire « Papa aux Antilles », réalisé par Anne-Gaëlle Brault, explore la question complexe et souvent taboue de la paternité en Martinique, offrant un regard intime et profond sur le rôle du père dans la société antillaise. Disponible en streaming jusqu’au 29 juillet 2027, ce programme de 52 minutes, accessible à tous, interroge les héritages historiques, sociaux et culturels qui façonnent la place du père dans les familles des Antilles.
— Par Jean-Marie-Nol —
— Par Robert Berrouët-Oriol(*) —
Le Festival International du Film Documentaire de Martinique “Les Révoltés du Monde” vous invite, pour sa 9e édition qui aura lieu du 3 au 12 avril 2025 avec une sélection de 14 films inédits, à partager des moments de découverte et de réflexion autour d’initiatives citoyennes, de mouvements sociaux ou de luttes politiques en faveur de la liberté, de l’égalité et de la justice.
La 4ème édition de la journée DéKLIk Matinik, , s’annonce comme un rendez-vous pour sensibiliser et agir face aux enjeux climatiques et environnementaux. Organisé autour de la thématique « S’adapter et créer nos propres imaginaires », cet événement propose une journée riche en activités, échanges et découvertes pour toute la famille.
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Dans « L’Éthique », Spinoza énonce une affirmation provocatrice : « Personne n’a encore jamais dit que peut un corps ». Cette phrase, bien que déstabilisante et apparemment iconoclaste, s’inscrit au cœur de sa pensée philosophique et en marque un des fondements essentiels. En défiant les conceptions traditionnelles de la philosophie antérieure, Spinoza nous invite à réexaminer notre rapport au corps et à la manière dont nous le définissons. Au lieu de considérer le corps comme un simple objet matériel, il soutient que l’essence du corps ne réside pas dans sa forme ou sa composition, mais dans ses capacités à agir et à subir. Autrement dit, un corps existe et se définit par ce qu’il peut produire comme actions et ce qu’il peut recevoir comme effets. Cette perspective change radicalement notre manière de concevoir le corps et de le comprendre en tant que processus vivant et dynamique.
Le Nouveaux Regards Film Festival, créé en 2015, met en avant la diversité et la richesse du cinéma caribéen et international. Le festival considère l’image comme un moyen de raconter des histoires, d’interroger le passé, d’éclairer le présent et d’imaginer l’avenir.
Après Omma en 2021, le chorégraphe revient avec Full Moon, une nouvelle exploration de la danse, cette fois-ci en lien avec l’univers du jazz noir américain.
Par Marjorie David
Ah! donnez-moi la bonté
Corpos est une pièce chorégraphique créée par Hubert Petit-Phar, chorégraphe guadeloupéen, et Augusto Soledade, chorégraphe de Bahia, accompagnés de danseurs bahianais et guadeloupéens. La création explore le thème du corps noir, abordé comme un outil politique, à travers une réflexion commune sur la stigmatisation et la représentation du corps dans un monde où les frontières esthétiques, politiques et symboliques sont de plus en plus floues.
— Par Sabrina Solar —
Le Centre Communal d’Action Sociale (CCAS) de Trinité lance ce mercredi, et ce jusqu’à samedi, la troisième édition de la Semaine de la Parentalité. Cette édition se focalise sur la thématique « Handicap et parentalité : comment gérer au quotidien ? », et proposera une série d’événements et d’activités autour de cette problématique.