Le président américain Donald Trump ayant annoncé sa volonté de conduire une politique plus protectionniste et surtout « réciproque », les droits de douane sont à nouveau à l’ordre du jour du commerce mondial. On vous explique en sept questions les enjeux et les effets potentiels pour les Européens de la politique américaine.
L’imposition de droits de douane relève de la compétence exclusive de la Commission européenne en matière de commerce extérieur. La France, par exemple, en tant qu’État membre, ne peut pas seule imposer des droits de douane.Membre de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) comme le sont les États-Unis, l’Union européenne (UE) n’est autorisée à appliquer des droits de douane qu’en réponse à des pratiques discriminatoires non conformes aux règles de l’OMC. Les règles édictées par l’OMC interdisent l’instauration de droits de douane entre pays membres, les droits de douane étant supposés enfreindre la libre circulation des marchandises. Ils peuvent cependant être mis en œuvre en cas de réponse à des mesures de dumping ou d’autres pratiques discriminatoires non conformes aux règles de l’OMC.
De tels droits de douane sont, en outre, la prolongation d’un ancien principe, la préférence communautaire, populaire surtout au début de la construction européenne.


— Par Robert Berrouët-Oriol
Le brevet d’aptitude aux fonctions d’animateur (Bafa) et le brevet d’aptitude aux fonctions de directeur (BAFD) sont indispensables pour travailler dans un centre de loisirs ou une colonie de vacances.
Préparez vos maillots et votre curiosité :
Pendant deux jours, le Village du cacao et du chocolat, associé au Pavillon des métiers du tourisme et de la mer, s’installe sur le bord de mer de Fort-de-France. L’événement propose au public de découvrir la culture, l’histoire et les savoir-faire liés au cacao et au chocolat.
— Par Sabrina Solar —
La classe moyenne guadeloupéenne désormais coincée entre déclassement économique, désillusions sociales et insécurité croissante .
— Par Marie Vabre —
Jean-Claude Montredon est né le 23 septembre 1949 à Fort-de-France, en Martinique. Il grandit rue de la Batterie, dans un environnement familial où la musique occupe une place centrale. Sa mère, Clotilde, l’encourage dans cette voie, lui offrant notamment un poste à galène qu’il assemble lui-même. C’est grâce à cet appareil qu’il capte les ondes de Voice of America et découvre le jazz — une révélation qui influencera durablement son orientation musicale.
— Par Max Dorléans (GRS) —
— Par Sarha Fauré —
Avec Dorcy Rugamba & Majnum
Dans le sillage de deux artistes noirs, le danseur étoile Guillaume Diop et la contrebassiste Sulivan Loiseau, une saison dans un Opéra de Paris qui s’ouvre timidement à la diversité. Un film intimiste, qui laisse place à la danse et aux questionnements.
— Par Jean-Durosier Desrivières —
— Par M’A —
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Par Mike Leigh
Rudy Rabathaly met un pied dans la fourmilière littéraire antillaise: après nous avoir fait rire de nous-mêmes (dan ri kò) avec ses « pawol anbafey » et autre « tonbé lévé » , après nous avoir fait réaliser l’omniprésence spontanée de notre imaginaire créole avec son « oliwon d’imaginaire créole » le voilà qui nous offre: « Kokliko » ce premier roman qui confirme la posture d’écrivain de Rudy Rabathaly. « Kokliko » nous laisse pantois tant il dérange par son caractère novateur tant dans le propos que dans l’écriture. Comme si « pawol anba fey » et « oliwon » incrementaient » Kokliko » , l’auteur affiche une nouvelle écriture sortant des rails d’une créolité passée, pour nous mener sur des chemins inattendus.
— Par Jean-Marie Nol —
Riche et complexe, l’histoire du cacaoyer remonte à environ 3500 av. J.-C. Les Olmèques, l’une des premières civilisations mésoaméricaines, sont souvent considérés comme les premiers à l’avoir cultivé. Ils utilisaient les fèves pour préparer une boisson amère, qui était fréquemment agrémentée d’épices et de piments. Des recherches encore plus récentes indiquent que le recours aux fèves de cacao existait déjà dans la haute
L’agression antisémite d’un rabbin à Orléans a suscité des condamnations immédiates des plus hautes autorités de l’État. Mais lorsqu’il s’agit de racisme anti-Noirs ou anti-Arabes, la République regarde ailleurs. Jusqu’à quand ?
— Par Jean-Marie Nol —
Réveil