Les combattants de l’organisation Etat islamique ont incendié une bibliothèque à Mossoul, en Irak, ainsi qu’une église et une école.
8000 livres rares partis en fumée. Dimanche, les terroristes de l’organisation Etat islamique ont brûlé la bibliothèque de Mossoul, en Irak. « Ils ont utilisé des bombes artisanales », raconte Ghanim al-Ta’an, cité par le site d’information américain The Fiscal times. Des responsables locaux ont tenté de convaincre les djihadistes d’épargner la bibliothèque. En vain.
Ce lieu, ouvert en 1921, abritait des manuscrits du XVIIIe siècle, des journaux irakiens du début du XXe et des objets datant de plusieurs siècles dont un sextant et un sablier. Il avait déjà été visé par des pillages lors de l’opération militaire américaine en 2003.
Sur leur lancée, les combattants de l’organisation Etat islamique ont détruit une église et l’école de théâtre. En décembre, ils avaient brûlé une autre bibliothèque, celle de l’université de Mossoul.
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Une vidéo, mise en ligne jeudi par le groupe Etat islamique, montre des djihadistes détruire à coups de masse des sculptures et autres oeuvres pré-islamiques dans un musée de Mossoul, en Irak.
New York 2001, Paris 2015. Le rapport entre ces deux lieux et ces deux dates a été très vite souligné, non en raison du nombre des victimes, mais pour marquer l’ampleur de la signification et le traumatisme provoqué par les massacres de Paris. Ce lien n’est pas artificiel, mais les événements ne sauraient être entendus en termes de répétition à des échelles différentes. Ce qui s’est passé à Paris entre les 7 et 9 janvier derniers ne témoigne pas de la même chose que les attentats du 11 septembre contre les tours du World Trade Center. La crise s’est approfondie, elle s’est intériorisée. Les attentats de Copenhague, le 14 février, dans leur mimétisme avec ceux de Paris, le confirment si besoin était. Contrairement à la lecture en termes de choc des civilisations qui prévalait après New York 2001, Paris 2015 oblige à renoncer à la vision simpliste de deux blocs civilisationnels antagonistes se faisant face et s’affrontant en raison d’idéaux, de valeurs, de religions ou de mœurs, donc de cultures, incompatibles et irréductibles. L’opposition s’est internalisée, elle traverse, quoique en des sens différents, tant les démocraties occidentales que les pays musulmans.
Une demande a été déposée pour que le Truvada, traitement préventif contre le VIH, soit disponible au plus vite pour les populations à risques…
TELE – Les enfants vont adorer, les parents les plus réacs beaucoup moins. Le dessin animé SheZow, diffusé depuis janvier sur Gulli, met en scène un petit garçon qui se transforme en super-héroïne pour traquer les méchants. Le cartoon, après avoir été dénoncé comme une apologie de la prétendue « théorie du genre » par des associations conservatrices américaines, suscite un début de controverse en France.
Le 21 février 1965, Malcolm X prononce un discours dans le quartier de Harlem, à New York, devant un auditoire de quatre cents personnes. Trois hommes lui tirent dessus. Il succombe. Le combattant antiraciste et des droits humains était devenu trop dérangeant.
Une camapgne de sensibilsation menée par Culture Egalité
Favoriser une meilleure compréhension
Je ne suis pas précisément un fan des commémorations. Je préfère voir le passé revenir de lui-même, sans qu’un rite le convoque. Mais je vais le dire ici sans barguigner : évoquer le Mouvement de la renaissance guyanaise fait plus que m’enchanter. Tout est magique pour moi dans cette période. J’aime la Guyane du Mouvement de la renaissance guyanaise, j’aime ses illusions, ses échecs, ses dérèglements, son intensité, et je l’aime parce que c’est l’une des plus belles, des plus grandes rencontres de la Guyane avec les Guyanais qui sont entrés dans l’Histoire. Songez que c’est en novembre 1946 que René Maran revient en Guyane. Il y arrive sans Félix Eboué, disparu deux ans plus tôt, mais pour soutenir, à l’occasion des élections législatives, la candidature de René Jadfard, le leader du Mouvement de la renaissance guyanaise. Jadfard, en effet, se présente à nouveau contre Gaston Monnerville. Excusez du peu. C’est à cette occasion que René Maran retrouve son ami Léon Damas qui, à Paris, n’avait de cesse de lui reprocher de ne pas s’intéresser suffisamment à la Guyane.
Soutenons Kokolampoé
À la galerie La Véranda, sise à l’étage de l’Atrium (c’est plus joli que EPCC, non ?), une exposition originale se donne à voir pour quelques jours encore.
Dossier de presse :
En 2007 l’actrice franco-iranienne qui été apparue non voilée dans Mensonges d’Etat avait déjà suscité les réactions du régime. En faisant la une du magazine Égoïste, dans le plus simple appareil, la communauté iranienne a réagi, entre message politique et provocation.
Le cinéma latino-américain s’écrit désormais au féminin. Claudia Sainte-Luce, Mexicaine de 31 ans, a fréquenté l’école de cinéma de Guadalajara et réalise ici son premier film. Encouragée par la réalisatrice argentine Paula Markovitch, elle a entrepris de rédiger un scénario, nourri de sa propre biographie.
Discrimination raciale, immigration, sexisme
Les lauréats des 87e Academy awards ont prononcé des discours militants très forts qui ont électrisé l’assistance et les cinéphiles. Voici les déclarations chocs à retenir.
Dix ans après la mort de l’auteur du « Dernier des Justes », sa femme, Simone, reprend le cycle antillais qu’ils avaient imaginé ensemble et dû abandonner devant les critiques. Elle s’en explique.
Synopsis et détails
Un film de Gilles Elie-Dit-Cosaque
Premier film prometteur d’un réalisateur argentin, ce road-movie sur la quête filiale d’une adolescente est illuminé par ses deux interprètes féminines.
Six semaines après la tuerie de Charlie Hebdo et de l’Hypercacher de la Porte de Vincennes, l’Académie des arts et techniques du cinéma a plébiscité
Monsieur le Président, Madame la Ministre, Monsieur le rapporteur, Chers collègues,
Citons le pape François le 19 janvier : «Si un grand ami parle mal de ma mère, il peut s’attendre à un coup de poing, et c’est normal. On ne peut provoquer, on ne peut insulter la foi des autres, on ne peut la tourner en dérision.» En voulant faire de la pédagogie sur les limites de la liberté d’expression, le pape François se livre à des caricatures qui jouent sur l’amalgame et la confusion.
A la Fondation Clement Animé par Sophie Ravion-d’Ingianni
Identification, formes et implication