— Par Camille Loty Malebranche —
Pour parler de la subjectivité, il nous faut commencer par définir le concept même de sujet et de sa consistance que nous appelons la subjectalité. Le sujet est essentiellement la dimension d’une conscience de soi qui s’assume pour soi en rapport à des êtres qui peuvent être tout autant d’autres sujets que des non sujets, animaux, choses etc… Le sujet est donc soit un humain soit un suprahumain individuel ou collectif qui se manifeste par pensée, parole et action.
La subjectivité est justement la mise en acte de la subjectalité – cette nature constituant l’état de sujet – par la pensée, la parole et l’action comme signature de son être particulier, son ipséité.
Si nous avons dit que le sujet peut être suprahumain, c’est que nous présumons – au long de l’atemporalité (avant le commencement du temps des créés), puis de l’histoire, à partir de l’avènement de l’univers et de plusieurs manifestations portées à notre évidence – que des êtres bien supérieurs aux hommes existent, ces êtres que la langue humaine appellera esprits qui, selon leur hiérarchie pressentie, sont désignés: Dieu, anges, génies… Les traditions spirituelles, notamment la tradition judéo-biblique est formelle: Dieu, en qui d’ailleurs, nous croyons, a pensé, parlé et agi et cela a généré ni plus ni moins que la Création, c’est-à-dire tous les connus et inconnus des mondes sensible et insensible.

Sch
Assis sur le canapé, je regardais ce séchoir pourtant familier de notre maison depuis longtemps alors qu’il était livré à la force du vent qui soufflait alors.
La Collectivité Territoriale de Martinique (CTM) a clos l’année 2024 sur un équilibre budgétaire fragile mais réel, après avoir traversé plusieurs exercices marqués par des déficits structurels, des tensions de trésorerie et des retards accumulés dans ses projets d’investissement. Le compte administratif présenté en juin 2025 par Justin Daniel, professeur émérite de science politique et ancien président du CESECEM, dresse un bilan lucide et met en lumière les leviers indispensables pour assurer une trajectoire plus durable.
Du 12 au 22 juin 2025
Dans la salle d’attente d’un cabinet de gynécologie, en Martinique, les patientes se surprennent à s’arrêter. À lire. À ressentir. L’artiste et poétesse
Dans le cadre du Festival Art Jénès
Le Haut-Commissaire de l’ONU aux droits de l’homme, Volker Türk, a indiqué que « l’héritage brutal du colonialisme persiste. Le racisme reste un fléau ».
Depuis les années 1960, le domaine de l’observation des océans a été transformé par d’importantes avancées technologiques et numériques. La transition vers une approche globale de surveillance de la santé de l’océan s’est fait grâce à l’émergence d’instruments in situ déployés en mer et de satellites qui permettent d’observer la Terre depuis l’espace, et grâce à l’amélioration des modèles numériques. Progressivement, les scientifiques du monde entier ont su mettre l’océan à cœur ouvert.
— Robert Lodimus —
Lettre restée sans réponse à l’UNESCO :
— RS n° 399 lundi 16 juin 2025 —
Représentation Atelier Théâtre Amateur –
Par Lotfi Achour, Natacha De Pontcharra | Avec Ali Helali, Yassine Samouni, Wided Dadebi | 7 mai 2025 en salle | 1h 40min | Drame
Par Enda Walsh, avec Cillian Murphy, Eileen Walsh, Emily Watson | 30 avril 2025 en salle | 1h 38min |Titre original Small Things Like These Drame
(Suite du chapitre XIII)
Le 16 juin 1985, 4 guadeloupéens s’évadent de la prison de Basse-Terre. Un coup de tonnerre en ce dimanche matin de la fête des pères. Trente années après, nombreux sont ceux qui se souviennent de ce moment où la nouvelle s’est repandue. Cette évasion se situe dans un contexte politique troublé par des attentats contre les symboles français, revendiqués par l’
Un nombre record de près de 1,3 million de personnes ont été forcées de fuir les violences des gangs en Haïti pour trouver refuge ailleurs dans ce pays des Caraïbes, a indiqué mercredi une agence des Nations Unies.
Par Karim Moussaoui, Maud Ameline
— Collectif(*) —
Avec Christopher Abbott, Barry Keoghan, Colm Meaney
Depuis février 2024, le Téyat Otonom Mawon, plus connu sous le nom de TOM, connaît une nouvelle dynamique. Autrefois théâtre emblématique de la Croix Mission, ce lieu historique renaît aujourd’hui comme un tiers-lieu citoyen, culturel et polyvalent, accessible à toutes et à tous.