Dimanche 4 mai à 22h40 sur France 5 et sur france.tv
Synopsis :
Franck, Guillaume, Kadi, Antoine n’ont pas grandi auprès de leurs parents, mais sous la tutelle de religieux catholiques. Pour la première fois devant une caméra, ils et elles racontent leur enfance dans les « homes indiens » de Guyane, des pensionnats catholiques destinés spécifiquement aux enfants amérindiens et noirs-marrons, populations qualifiées de « primitives » par les autorités étatiques jusqu’à tard dans le XXe siècle.
Des années 1930 jusqu’à 2023 – date de la fermeture du dernier home de Guyane –, plus de 2 000 enfants ont grandi dans ces établissements. Ils y ont été éloignés de leur famille et coupés de leur culture, soumis à une évangélisation et une assimilation forcée. En finançant avec l’argent public la formation des jeunes « primitifs » dans des pensionnats catholiques initiés et tenus par des congrégations religieuses, les représentants de la République et de l’Église se sont-ils rendus coupables de « génocide culturel » ? C’est la question que soulèvent aujourd’hui des juristes et d’anciens pensionnaires.
À l’aide d’archives inédites, Pensionnats catholiques de Guyane : la blessure plonge dans cette histoire encore méconnue de la France en Guyane, une vieille colonie devenue un jeune département d’Outre-mer.


Renaud Jouye de Grandmaison s’est éteint le 1er mai 2025 à l’âge de 88 ans. Son décès marque la disparition d’une figure emblématique de la vie politique, sociale et culturelle de la Martinique. Fidèle compagnon d’Aimé Césaire et de Pierre Aliker, il fut l’un des piliers du Parti progressiste martiniquais (PPM), mais aussi un artisan discret et rigoureux du développement de Fort-de-France.
— Par Faubert Bolivar, directeur artistique —
À propos :
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— Par Jean-Marie Nol —
Pour celles et ceux qui s’intéressent et s’impliquent dans les enjeux écologiques, un consensus semble émerger : la situation est critique. L’évolution vers un équilibre durable, vers un changement de paradigme en accord avec les défis écologiques paraît aujourd’hui de plus en plus difficile à atteindre. Face à ce constat, il est impératif de réfléchir, de faire entendre des voix nouvelles, d’ouvrir d’autres directions. L’inaction serait une irresponsabilité.
— Collectif —
La Ville de Saint-Joseph organise sa fête patronale autour du thème «
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Aboubakar Cissé, un homme musulman, a été tragiquement poignardé à mort dans une mosquée du Gard le vendredi 25 avril 2025, simplement en raison de sa foi. Son assassin a déclaré : « Je l’ai fait, (…) ton Allah de merde » ! Ce meurtre choquant illustre la banalisation alarmante de la violence raciste en France. Mais posons-nous la question : d’où provient cette montée de haine ? La violence meurtrière dirigée contre ce musulman et les musulmans en général trouve ses racines dans une rhétorique alimentée par les gouvernements successifs. Elle résulte de politiques, dit-on laïques, mises en œuvre sous forme de mesures répressives contre une islamisation supposée de la France.
— Par Michel Herland —
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— Par Jean-Marie Nol —
Le Saint Lucia Jazz and Arts Festival 2025, qui se déroulera du
Un solo chorégraphique à 60 ans… non pas dans le but de me raconter, mais plus dans une volonté de me découvrir et comprendre enfin comment je traverse le monde !
— Par Patrick Mathelié- Guinlet —
D’après une idée originale de Chantal Clem; m.e.s. Yna Boulanger
Ainsi donc, après plusieurs reports, l’affaire dite du Green Parrot qui met en cause l’ancien président de la Région Martinique semble s’acheminer vers une décision définitive. Qu’on laisse tranquille Alfred Marie-Jeanne, c’est le souhait de la plupart des Martiniquais qui sont généralement convaincus que l’ancien président de l’ex-Région n’a jamais cherché à s’enrichir dans ses fonctions, en particulier à l’occasion de cette affaire où il a pu se laisser abuser. Que ses partisans fassent pression pour qu’il ne soit pas condamné, c’est de bonne guerre. Mais de là à parler de justice politique … Ce n’est pas d’aujourd’hui que date le choix des défenseurs des personnes poursuivies dans cette affaire, de jouer l’opinion publique. Cette méthode n’est pas étrangère aux reports successifs. C’est d’ailleurs pour échapper à cette pression que le dépaysement de l’affaire en métropole a été décidé par la Cour de cassation.
Poursuis les petites choses, éprouvette à la main,
Chapitre IX
Le procès d’Alfred Marie-Jeanne, ancien président de la Région Martinique et figure du mouvement indépendantiste martiniquais, s’ouvre ce lundi 28 avril 2025 au tribunal judiciaire de Paris. Il est accusé de « prise illégale d’intérêt », de « faux » et d' »usage de faux » dans le cadre de l’attribution d’un marché public destiné à la reconstruction d’une école à la Dominique, après un séisme survenu en 2004. Aux côtés de Marie-Jeanne, sa fille, Maguy, et son compagnon de l’époque, Mark Frampton, sont également jugés. Cette affaire remonte à plus de vingt ans, mais elle a traversé plusieurs étapes judiciaires avant d’aboutir à ce procès tant attendu.
— Par Jean-Marie Nol —