— Par Alain Boeuf —
Avec son festival annuel, l’Opéra national de Lyon ose la prise de risque avec des œuvres rares et une création.
Lyon, correspondance. Il y eut Claude de Thierry Escaich, sur un livret de Robert Badinter, et cette année Benjamin, dernière nuit, de Michel Tabachnik sur un livret de Régis Debray. Pour Serge Dorny, le directeur de la scène lyonnaise, si l’art divertit, également il questionne et « c’est essentiel dans notre civilisation menacée par le repli sur soi, l’intolérance et la violence ». Dans ce festival intitulé « Pour l’humanité », quatre œuvres sont en alternance à l’affiche, qui résonnent comme des voix de la liberté : violence des intégrismes et des religions sources de conflits, avec la Juive de Halévy, chants des ténèbres venus des camps de concentration d’où Viktor Ullmann (l’Empereur d’Atlantis) et Hans Kràsa (Brundibar) font entendre leurs voix et, comme pour enrichir le patrimoine de demain, la création mondiale de Benjamin, dernière nuit.
Ce drame lyrique relate la dernière nuit que passe Walter Benjamin, le grand philosophe allemand pourchassé par les nazis, dans un hôtel de Portbou, village frontalier de la Catalogne espagnole.


La Martinique n’est pas seulement un lieu, mais un acte qui arrache sur le chaos d’un milieu, des forces qu’elle condense, qu’elle rend visibles, qu’elle transforme.
Le réchauffement climatique se caractérise notamment sous nos latitudes par une recrudescence des épidémies liées à la prolifération des moustiques : dengue, chikungunya, et maintenant zika.
Le chef de l’Etat a annoncé à la sortie du conseil des ministres ce mercredi qu’il renonçait à convoquer le congrès. La déchéance de nationalité ne sera pas dans la constitution.
Un mois après le scandale à l’abattoir du Vigan, L214 rend publiques de nouvelles images tournées dans l’abattoir de Mauléon-Licharre (Pyrénées-Atlantiques). Ces images, publiées ce matin sur le site du Monde, montrent de multiples infractions aux règles de protection animale et des scènes de souffrance animale sévère, ainsi que de graves manquements et violences de la part du personnel de l’abattoir.
— Par Christian Antourel —
« L’« affaire Barbarin » est retentissante parce que le cardinal s’en tient à une « demande de pardon » aux victimes, révélant la distance entre le vieux repère religieux et le repère juridique. Elle ouvre pourtant sur un emballement médiatique qu’il faut regretter. »
Bien sûr que tout genre a une matrice, il a une source d’où coule l’ambiance sonore d’un univers musical qui continue son évolution. Par conséquent, on ne peut pas parler du rock britannique et des Rolling Stones si nous ne parlons pas avant du rock and roll né aux États-Unis.
C’est un scénario auquel ne s’attendaient pas les fans de rap. Phife Dawg, de son vrai nom Malik Taylor, 45 ans, un des quatre membres fondateurs du groupe A Tribe Called Quest (ATCQ), est mort dans la nuit du mardi 22 au mercredi 23 mars à la suite de complications dues à son diabète. Il avait immortalisé nombre de slogans du rap dans ses performances scéniques, dont le fameux » Here we go, Yo ! So what, so what the scenario ? » (Scenario, 1991) ou l’introductif » Microphone check, one two, what is this ? » (Buggin’Out, 1991) que beaucoup d’artistes hip-hop ont repris. Fer de lance du collectif Native Tongues, ATCQ s’était démarqué de ses concurrents à la fin des années 1980 en empruntant leurs musiques aux jazzmen plutôt qu’aux traditionnels James Brown et autres classiques de la soul.
« LE THEATRE-MONDE de José PLIYA » par Stéphanie Berard chez Honoré Champion
Fantastique ! Le Petit Palais présente jusqu’au 17 janvier, à Paris, une double exposition d’estampes
sur le Japon de Kuniyoshi et la France du noir. Une visite en deux temps.
Une pétition demandant la grâce de cette femme condamnée à la prison pour avoir tué son mari violent a dépassé les 210 000 signatures. Parole
à l’une de ses instigatrices, une militante féministe qui appelle à une grande mobilisation populaire contre les violences faites aux femmes.
Chaque 1er janvier apporte son lot d’augmentation de tarifs et d’entrée en application de mesures nouvelles. Le 1er janvier 2016 ne déroge pas à la règle.
Il est déjà entré dans la légende notre Khokho. On ne compte plus le nombre de témoins ayant participé à ses beuveries ou ayant payé d’un verre de rhum une de ses toiles. Lui aurait pu répondre que, certes bon buveur, il n’était victime que des vapeurs de White Spirit ou autres produits d’expérimentations.
Ne nous voilons pas la face, l’agriculture est l’un des premiers secteurs émetteurs de gaz à effet de serre. Paradoxalement, les agriculteurs, et en particulier les petits paysans sont aussi les premiers à souffrir des impacts des dérèglements climatiques. Faut-il par ailleurs rappeler que jusqu’à 600 millions de personnes supplémentaires pourraient souffrir de la faim dans le monde d’ici à 2080 à cause du changement climatique ? Faut-il encore répéter que la faim reste la première cause de mortalité au monde et que les impacts des dérèglements climatiques vont considérablement réduire les progrès effectués ces dernières années. Nous n’avons pas le droit de faire marche arrière!
— Dossier de presse —

(Formation intensive sur deux jours) avec Joëlle Ferly
Avec le financement du Ministère de la Culture, la DAC de Guadeloupe et du Ministère de l’Outre-Mer que Florence Poirier-Nkpa et François Piquet, deux artistes Headmade factory, réalisent le projet REMIX&ME.
C’est la 21e Conférence des parties, c’est-à-dire le rassemblement annuel de tous les pays désireux d’agir pour le climat. Elle aura lieu au Bourget du 30 novembre au 11 décembre 2015