Des réponses encore en suspens
— Par Sabrina Solar —
Depuis mai 2025, les côtes des Petites Antilles – Guadeloupe, Martinique, Saint-Barthélemy et La Désirade en tête – sont submergées par des vagues de sargasses d’une ampleur exceptionnelle. Les images satellites, les rapports météorologiques et les témoignages locaux convergent : la prolifération de ces algues brunes atteint un seuil critique, perturbant lourdement les activités économiques, la vie des riverains et les écosystèmes littoraux.
Un phénomène ancien devenu chronique
Apparues massivement pour la première fois en 2011, les sargasses sont devenues, au fil des années, un fléau récurrent. Mais l’année 2025 marque un tournant : des échouements d’une densité inédite ont été observés entre avril et juin, bloquant notamment l’accès au port de La Désirade pendant plusieurs jours. Si le phénomène n’est pas nouveau, son intensité et sa fréquence cette année inquiètent les scientifiques autant que les autorités.
Les causes : un cocktail climatique et océanographique
Selon une récente note de Météo France, plusieurs facteurs se combinent pour expliquer cette intensification. En premier lieu, les températures de surface de l’océan Atlantique tropical ont augmenté de 1,3°C par rapport à la moyenne de la décennie précédente.

—
— Par Robert Berrouët-Oriol —
Dans la nuit du 4 août 1789, un bouleversement sans précédent ébranle les fondements de la société française. En une séance mémorable de l’Assemblée nationale constituante, les députés proclament la fin des privilèges féodaux, mettant ainsi un terme à un ordre social millénaire fondé sur l’inégalité des droits. Ce moment historique, survenu dans une atmosphère de ferveur révolutionnaire et d’urgence nationale, s’impose comme l’un des actes fondateurs de la Révolution française.
— Par Patrick Mathelié-Guinlet —
Voici la quatrième partie et fin d’un article en quatre parties. C’est une tentative de compréhension et un appel à faire évoluer le rapport de force actuel.
À l’heure où les outils numériques prennent une place croissante dans le quotidien des jeunes, l’école se doit d’accompagner ce mouvement avec discernement. Si le numérique peut représenter un levier efficace pour les apprentissages et le développement de compétences, il comporte également des risques réels en cas d’usage excessif ou inadapté. Santé mentale, concentration, relations sociales ou encore exposition à des contenus inappropriés : les dérives sont nombreuses, notamment chez les plus jeunes.
— Par Sabrina Solar —
D’ici 2030 , l’autonomie à l’épreuve du grand dessèchement monétaire et de la rigueur budgétaire.
L’État renouvelle son engagement en faveur de l’égalité des chances
Lè lavi-mwen…
— Par Jean-MArie Nol —
Textes en Paroles lance un nouvel appel à écritures théâtrales pour des textes spécifiquement destinés à la jeunesse
Au-delà du chlordécone, une culture ancrée de l’empoisonnement colonial.
Il y a actuellement une campagne sur les airbags TAKATA dans l’utilisation de nos véhicules qui a attiré notre attention. Ce le thème correspond aux objets de
Le besoin de rivalité tient en général de la trivialité d’une sensibilité d’asthénie existentielle, de banalité de soi qui pousse aux conflits de personnalité comme pour se signifier à soi-même. La rivalité ne naît que lorsque deux individus mutuellement banals, réciproquement insignifiants se cherchent une différence non dans l’intrinsèque mais par la vanité de critères qualitatifs plats sans importance. Dans le cas contraire, il y aura agressivité, haine de la part du taré en mal de conflits mais pas de rivalité, même en cas d’agression infligée à celui qu’il prend pour cible, qui, néanmoins devra se défendre si nécessaire…
Le déni collectif de réalité économique et les non dits sur la question identitaire et raciale ne sont-ils pas les principaux freins au développement harmonieux de la Guadeloupe ?
— Par Sabrina Solar —
Claude Henry : artiste peintre
Communiqué de presse su Secours Catholque —
Le 23 juillet 2025, la Cour internationale de justice (CIJ) a rendu un avis consultatif qui pourrait bien marquer une rupture décisive dans l’histoire de la lutte contre le dérèglement climatique. À l’unanimité, les quinze juges siégeant au Palais de la Paix à La Haye ont reconnu que le droit à un environnement propre, sain et durable constitue un droit humain fondamental, intrinsèquement lié aux droits à la vie, à la santé, à l’alimentation et à l’eau.