— Par Margarida Romero (*) —
L’intelligence artificielle s’invite dans les classes et bouleverse les façons d’apprendre. Entre résumés prémâchés et cocréations stimulantes, son impact dépendra moins de la technologie que de l’usage qu’élèves et enseignants en feront.
L’intelligence artificielle (IA) suscite autant d’espoirs que d’inquiétudes dans le domaine de l’éducation. D’un côté, elle offre des outils puissants pour accompagner l’apprentissage, par exemple, en ajustant des exercices aux performances de chaque élève en maths, comme le font DreamBox ou Adaptiv’Math, ou en adaptant l’apprentissage des langues à l’âge de l’apprenant, comme Duolingo.
Mais elle peut aussi favoriser la paresse intellectuelle : les IA actuelles ne se contentent plus de fournir des pistes ou des chiffres comme les moteurs de recherche ou les calculatrices, mais produisent directement des contenus complets – résumés, essais, emails, codes informatiques – à la place de l’élève. Cette délégation excessive des tâches cognitives ouvre la possibilité d’une réduction de l’engagement dans la formulation des idées, la réflexion et la régulation du processus de production intellectuelle.
Cette tension concerne à la fois les élèves, les enseignants et les institutions, et soulève des questions essentielles : quel est le rôle de l’effort dans l’apprentissage ?

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Du 12 au 30 septembre 2025, la France entière célèbre le design sous toutes ses formes avec la nouvelle édition de France Design Week, coordonnée au niveau national par l’APCI (Agence pour la Promotion de la Création Industrielle). Fidèle à sa mission déclinée en quatre piliers – promouvoir le design dans tous les secteurs, le faire rayonner en France et à l’international, soutenir la politique nationale du design et renforcer les compétences des acteurs – l’APCI confirme son rôle moteur dans l’écosystème créatif.
Après le » bloquons tout » de la rue, voilà la nouvelle probabilité du »lâchons tout » de la classe politique.
Êtes-vous Individu ou Personne ?
Tan bad
Ignacio Ramonet, journaliste, essayiste et analyste international, a longtemps été rédacteur en chef du Monde diplomatique. Dans son livre, La era del conspiracionismo, il a analysé les mécanismes du « trumpisme », que l’on voit aujourd’hui se propager sous d’autres latitudes, de l’Amérique latine à l’Europe. Nous avons évoqué la crise politique de l’Union européenne et le regain de tensions entre les États-Unis et les pays socialistes d’Amérique latine.
L’Assemblée du peuple des Caraïbes :
À découvrir et essayer sans hésitation !
La France traverse actuellement une période de crise que ne saurait régler le nouveau premier ministre Sébastien lecornu sans des réformes structurelles profondes. Alors attention aux non dits de la politique française qui menacent directement l’équilibre économique et social de la Guadeloupe et surtout de la Martinique et de la Guyane très engagée dans un processus de changement statutaire . La chute du gouvernement de François Bayrou, emporté par un vote de confiance perdu, a brutalement rappelé à quel point la question du financement du modèle social français est désormais au cœur des fragilités politiques du pays. En réalité, ce revers politique dépasse la seule trajectoire d’un Premier ministre : il symbolise l’incapacité récurrente des gouvernements successifs à affronter de front le problème de la dette publique et à poser la question taboue de la réforme de l’État providence . La crise politique et institutionnelle actuelle a mis en pleine lumière une vérité que la classe politique française n’ose pas affronter : le modèle social, tel qu’il fonctionne aujourd’hui, n’est plus finançable. Derrière la récente nomination d’un nouveau premier ministre se dessine une impasse structurelle qui dépasse les aléas partisans.
À l’occasion de la Journée nationale des artistes, plus de 1069 événements sont organisés partout en France. En Martinique, trois expositions collectives réunissant 14 artistes martiniquais et d’autres talents locaux sont à découvrir ce week-end.
— Par Hélène Lemoine —
Simone Weil et l’amour – Julien Vizet-Desjeux
Les syndicats et chambres syndicales de la CGTM, dont la CGTM-SOEM, la CGTM Santé, le SGAFP (Syndicat Général des agents de la Fonction Publique , la CGTM Éducation ainsi que les syndicats du secteur privé, dont la CGTM Bâtiment, la CGTM Métallurgie, la CGTM Agriculture appellent l’ensemble des travailleuses et travailleurs de la Martinique à rejoindre le mouvement fort et déterminé ce mercredi 10 septembre 2025.
PRÉBEC,
Plusieurs centaines de professionnels des médias demandent à Emmanuel Macron la reprise de l’accueil des journalistes gazaouis souhaitant être évacués de l’enclave, et l’accès immédiat de la presse internationale sur le terrain.
— Par Jean-Marie Nol —
—Par Robert Berrouët-Oriol (*) —
L’exil
— Par Jean Samblé —
— Par Sarha Fauré —