— Par Sabrina Solar —
Face à la controverse croissante autour de la loi Duplomb, le Conseil national de l’Ordre des médecins (CNOM) a pris position mercredi 30 juillet en publiant un communiqué dénonçant une décision qui, selon lui, met en péril la santé publique. Ce texte législatif, adopté le 8 juillet, autorise à nouveau l’usage sous conditions de l’acétamipride, un pesticide interdit en France depuis 2018 mais encore utilisé dans d’autres pays européens.
L’Ordre rappelle que ce produit, appartenant à la famille des néonicotinoïdes, est soupçonné d’effets toxiques sur la biodiversité et sur la santé humaine. « Sur le plan médical, le doute n’est pas raisonnable lorsqu’il s’agit de substances susceptibles d’exposer la population à des risques majeurs », affirme le CNOM, citant notamment les risques de cancers pédiatriques, de maladies chroniques ou de troubles neurodéveloppementaux.
Cette prise de position intervient alors que plus de deux millions de citoyens ont signé une pétition contre la loi Duplomb, témoignant d’une mobilisation inédite sur les enjeux liés aux pesticides.
L’Ordre des médecins critique également un décalage inquiétant entre les données scientifiques disponibles et les décisions réglementaires prises par les autorités.

D’ici 2030 , l’autonomie à l’épreuve du grand dessèchement monétaire et de la rigueur budgétaire.
L’État renouvelle son engagement en faveur de l’égalité des chances
Lè lavi-mwen…
— Par Jean-MArie Nol —
Textes en Paroles lance un nouvel appel à écritures théâtrales pour des textes spécifiquement destinés à la jeunesse
Au-delà du chlordécone, une culture ancrée de l’empoisonnement colonial.
Il y a actuellement une campagne sur les airbags TAKATA dans l’utilisation de nos véhicules qui a attiré notre attention. Ce le thème correspond aux objets de
Le besoin de rivalité tient en général de la trivialité d’une sensibilité d’asthénie existentielle, de banalité de soi qui pousse aux conflits de personnalité comme pour se signifier à soi-même. La rivalité ne naît que lorsque deux individus mutuellement banals, réciproquement insignifiants se cherchent une différence non dans l’intrinsèque mais par la vanité de critères qualitatifs plats sans importance. Dans le cas contraire, il y aura agressivité, haine de la part du taré en mal de conflits mais pas de rivalité, même en cas d’agression infligée à celui qu’il prend pour cible, qui, néanmoins devra se défendre si nécessaire…
Ce texte est le deuxième volet d’un article en quatre parties.
Le déni collectif de réalité économique et les non dits sur la question identitaire et raciale ne sont-ils pas les principaux freins au développement harmonieux de la Guadeloupe ?
— Par Sabrina Solar —
Claude Henry : artiste peintre
Communiqué de presse su Secours Catholque —
Le 23 juillet 2025, la Cour internationale de justice (CIJ) a rendu un avis consultatif qui pourrait bien marquer une rupture décisive dans l’histoire de la lutte contre le dérèglement climatique. À l’unanimité, les quinze juges siégeant au Palais de la Paix à La Haye ont reconnu que le droit à un environnement propre, sain et durable constitue un droit humain fondamental, intrinsèquement lié aux droits à la vie, à la santé, à l’alimentation et à l’eau.
L’ouverture de l’année de Frantz Fanon par diverses manifestations organisées par l’association Tous Créoles avaient déplu les fanonistes estampillés. Ces derniers craignaient de se voir déposséder de leur icône par les membres d’une association qui ne serait pas de la famille. Ce sentiment d’exclusivisme n’est pas nouveau. Même le PPM en avait en son temps fait les frais en s’y voyant exclu d’une invitation à célébrer l’auteur de Peau noire masques blancs. Son président, alors président de la région Martinique, avait riposté en offrant des livres de Fanon aux élèves des classes terminales du Lycée qui porte son nom. En bref, la mémoire de Fanon ne paraît pas prête à être livrée à la reconnaissance d’une société apaisée. La question se pose : à qui une société apaisée ferait-elle peur ? A qui Tous Créoles fait-elle peur ? Et voilà que l’Association récidive en créant le Grand Salon du Livre qui se tiendra les 2 et 3 août 2025 dans les jardins de l’habitation Clément. D’où une seconde question : la culture martiniquaise aurait-elle cessé d’être captive de la gauche identitaire qui détient à peu près tous les vecteurs de son développement ?
— Par Jean-Marie Nol —
Chapitre XVI
DOCUMENT DE RÉFÉRENCE
La Jazz Night clôture le festival culturel de Fort-de-France, entamé fin juin. Elle se tiendra samedi soir dans les jardins du parc culturel Aimé-Césaire.
— Par Michèle Bigot —
Quand les auteurs de Martinique vous invitent à passer au salon…L’association Tous Créoles, en collaboration avec la Fondation Clément et en partenariat avec la Fnac Martinique, organise son premier Salon Littéraire qui se tiendra les samedi 2 et dimanche 3 août prochains dans le cadre prestigieux de l’Habitation Clément.
La flambée des violences en Guadeloupe est l’indice d’un affaissement de l’autorité et non plus d’une fracturation sociale .