Une marche forcée contre le sens de l’Histoire
— Par Yves Untel Pastel —
Le débat qui s’est cristallisé autour des statues glorifiant la France conquérante aux Antilles Françaises n’est pas une simple controverse historique, mais une question fondamentale de dignité humaine et de justice mémorielle. Ces monuments, érigés à la gloire d’un passé colonial et esclavagiste, constituent une insulte flagrante et intolérable à la population antillaise. L’acte de les déboulonner, loin d’être un vandalisme, s’inscrit dans un mouvement global de dignité, que l’institution judiciaire peine à reconnaître.
I. Le Cynisme de l’Emblème Paternaliste
Comment concevoir l’audace de brandir un emblème prétendument libérateur ou civilisateur à la face d’un peuple que la puissance érigée a elle-même déporté, asservi et exploité ? Ce geste est d’un cynisme insupportable. Les statues représentant des figures de l’administration coloniale, ou des allégories de la « France conquérante », sont des affirmations de la légitimité d’une domination passée, minimisant l’infamie de l’esclavage.
Les Antilles sont littéralement une terre-cimetière, où le sol porte les stigmates des âmes broyées par le système esclavagiste. Positionner de tels monuments sur les carrefours, c’est profaner l’espace civique et imposer une négation quotidienne du traumatisme historique.


Du 7 au 14 novembre 2025, l’île de Sainte-Lucie accueillera une résidence artistique sans précédent : An Ba Lanmè, une initiative collaborative réunissant cinq organisations culturelles de la Martinique, de la Dominique et de Sainte-Lucie autour d’un thème fédérateur — la mer, espace commun et symbole des circulations culturelles dans la Caraïbe.
L’autoédition (ou auto-publication) désigne le fait pour un auteur de publier et de diffuser lui-même ses ouvrages, sans passer par une maison d’édition traditionnelle. L’auteur devient ainsi éditeur de sa propre œuvre, qu’elle soit imprimée (livre, magazine) ou numérique (ebook, site web, etc.).
— Par Hélène Lemoine —

Créé en 2007 dans un cinéma parisien, le Festival ALIMENTERRE est aujourd’hui devenu un événement international majeur consacré à la sensibilisation sur les enjeux agricoles et alimentaires mondiaux.
— Par Sabrina Solar —
— Par Hélène Lemeoine —
Le
— Par Hélène Lemoine —
Le village d’arrivée de la Transat Café L’Or Le Havre – Martinique ouvre ses portes sur le Malecon de Fort-de-France, au pied de la Tour Lumina.
Une formation d’élite au service d’une volonté culturelle
Exégèse d’un scénario inédit, déjà virtuellement écrit, d’un rattachement institutionnel de l’outre-mer à l’Union Européenne.
Un événement indésirable associé aux soins (EIAS) est défini, selon le décret n°2010-1408 du 12 novembre 2010, comme tout incident préjudiciable à un patient, survenu lors d’un acte de prévention, de diagnostic ou de traitement.
— Par Hélène Lemoine —
Texte de Madjanie Leprix
Le futur de la Guadeloupe et de la Martinique en question à travers cinq incontournables grands chantiers
Errance au pays des âmes bleues