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Nicaragua : Lettre ouverte pour la libération de Dora María Téllez

Depuis juin 2021, Dora María Téllez, figure emblématique de la révolution sandiniste et dirigeante politique de l’opposition nicaraguayenne à la dictature Ortega-Murillo, est enfermée dans des conditions inhumaines et torturée dans la tristement célèbre prison de El Chipote, tout comme plus de 30 autres personnes prisonnières politiques. Elles seraient plus de 200 en tout, réparties dans différentes prisons du pays.

Militante politique, intellectuelle, titulaire d’une maîtrise en histoire du Nicaragua, Dora María Téllez a été reconnue au niveau national et international pour ses publications et son activisme politique civique en faveur de la démocratie.
L’université Sorbonne Nouvelle de Paris lui remettra le 28 novembre 2022 un doctorat honoris causa en hommage à son « exceptionnelle trajectoire politique et scientifique, et pour ses contributions au progrès social international », selon la lettre que l’université a remise à sa famille en mai 2022.
Á cette occasion, nous, universitaires, responsables et militant·es politiques, syndicaux·ales et associati·ves et citoyen·nes engagé·es demandons sa libération et qu’elle puisse se rendre à Paris pour recevoir en main propre son diplôme de doctorat, tout comme nous demandons la libération de l’ensemble des autres prisonnier·ères politiques nicaraguayen·nes.

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Libérez Dora Maria Tellez et tout-te-s les prisonnier-e-s politiques du Nicaragua !

— Le n°267 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —

En 1979 et dans les années 80, le G.R.S. a soutenu avec enthousiasme, la révolution antidictatoriale et antiimpérialiste qui a chassé par l’insurrection armée, le tyran Somoza. Cette révolution était dirigée par le Front Sandinsiste de Libération Nationale (FSLN). Daniel Ortega était l’un des 9 « commandant-e-s » de la direction, alors très collégiale de l’époque.

Ce processus révolutionnaire très prometteur réalisa très tôt, des mesures de réforme agraire, de nationalisation des biens spoliés par le clan Somoza, de soutien aux classes pauvres en matière de santé, d’éducation. Elle s’inspirait des principes de l’economie mixte. Avec des limites et des contradictions, elle réalisait la sortie des griffes de l’impérialisme et faisait preuve de solidarité avec les révolutionnaires d’Amérique Centrale.

Malgré la guerre civile entretenue par les USA, le pouvoir sandinsiste parvenait à un haut niveau de combinaison de démocratie économique et de démocratie politique.

Mais la pression militaire et terroriste orchestrée par la C.I.A.

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Pour la libération de Dora María Téllez, prisonnière de la dictature Ortega-Murillo

— Communiqué de l’U.F.M. —

Au Nicaragua depuis juin 2021, Dora María Téllez, dirigeante politique de l’opposition à la dictature d’Ortega-Murillo, est emprisonnée dans des conditions inhumaines et torturée comme plus de 30 autres prisonnier•ères politiques. Elle a entamé une grève de la Faim.

Militante politique, intellectuelle, elle a joué un rôle imminent dans le mouvement Sandiniste qui a renversé la dictature de SOMOZA.

Titulaire d’une Maitrise en histoire du Nicaragua, Dora est reconnue pour ses publications et son activisme politique et civique en faveur de la démocratie.

L’université Sorbonne Nouvelle de Paris devrait remettre le 28 novembre 2022 un doctorat « en hommage de sa trajectoire politique et scientifique, et pour ses contributions au progrès social international ».

L’Union des Femmes de Martinique, rejoint les universitaires, les militant•es féministes politiques, syndicaux•ales et associati•ves et citoyen•les engagé•es pour demander :

  • sa libération

  • qu’elle puisse se rendre à Paris pour recevoir en main propre son diplôme de doctorat,

  • et la libération de tous les prisonnier-eres politiques au Nicaragua.

La solidarité n’a pas de frontières. Dwa fanm sé konba tout fanm !

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Pour gagner : soyons aussi déterminé.e.s que Macron entêté !

— Le n° 286 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —

Samedi 11, nous sommes passé·e·s des milliers des précédentes manifestations aux centaines mobilisées dans les rues du Lamentin. La détermination reste forte, comme l’ont répété les responsables syndicaux.

Le tract intersyndical le précise : la victoire dépend de notre capacité à créer un rapport de force par l’extension, l’approfondissement et le durcissement de l’action.

 Le monde du travail de Martinique ne peut ni prétendre gagner seul sur son unique territoire, ni se déshonorer en laissant d’autres se battre, sans porter sa pierre dans ce combat nécessairement commun. Cette double conviction conduit à prendre en compte les actions lancées par l’intersyndicale de France, sans oublier que notre situation sociale dégradée renforce la nécessité de notre implication.

 Un appel à la grève, le 16 février, a déjà été lancé ainsi qu’à la mise à l’arrêt du pays, le 7 mars avec des actions de masse pour le 8. Les cheminots, eux, proposent la grève reconductible.

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Contre l’extême-droite… ( Suite)

— Le n°278 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —

Dans le précédent RS, nous avons signalé la ruse des stratégies de « dédiabolisation » de l’extrêmedroite. Cette tactique n’est en réalité qu’une des opérations de tromperie de ces courants.

L’extrêmedroite, qu’on la désigne néofasciste ou pas, se nourrit de phénomènes lourds, que sont la décomposition morbide du capitalisme contemporain, et l’impuissance de la social-démocratie capitularde à défendre une alternative à ce vieux monde.

L’extrêmedroite ne cherche qu’à exploiter les conséquences de cette conjoncture : délaissement des couches marginalisées de la population, facilité du défouloir xénophobe ou raciste, colère devant les insécurités, dégoût de la politique courante.

L’extrêmedroite se donne alors des airs d’opposition radicale, et enfourche pour pimenter l’affaire tous les préjugés rances qui embrument l’esprit de certaines couches populaires : homophobie, virilisme antiféministe, inquiétudes face aux problématiques scientifiques, nostalgie de la peine de mort, opposition à l’IVG, religiosité exacerbée etc.

C’est cela qui rend dangereux le jeu de certains courants dits « radicaux », qui composent facilement avec ces travers.

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Pour la libération des prisonnier-e-s politiques au Nicaragua

Aujourd’hui, environ deux cents prisonnier-ères politiques croupissent dans des conditions infâmes dans les geôles du Nicaragua. Ironie amère, parmi ces victimes se trouvent d’anciens héros, d’anciennes héroïnes de la révolution sandiniste de 1979 dont se réclame encore officiellement Daniel Ortega, l’actuel président.

Nous soussigné-e-s, appartenant (ou pas) à diverses organisations solidaires de l’espérance de liberté et de progrès née de l’insurrection populaire de juillet 1979, réclamons la libération de ces victimes de la répression. Aucune de ces victimes n’a pris les armes contre le pouvoir en place. Leur crime est de se battre pour les libertés démocratiques, les droits sociaux et la cause environnementale.

Nous demandons dans l’immédiat qu’une commission internationale indépendante puisse se rendre sur place pour enquêter sur la situation des droits humains dans le pays et visiter les prisons et leurs occupant-e-s

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LES PREMIER-E-S SIGNATAIRES :

ABIDAL Suzy
AGRICOLE Naomy Enseignant
AMAR Catherine
AMELER Muriel Membre fondatrice de l’association féministe Culture Égalité
ARNAULD George Féministe Martiniquaise
ALLAMELOU Francine Militante Féministe
ARNOUX Stéphane Trinité Martinique
ARNOUX Jocelyne Trinité Martinique

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La question institutionnelle, ce jeudi 10 novembre : Engageons le débat.

— Le n°269 de « Révolution Socialiste », journal du G.R.S. —

On aurait bien tort de se contenter des consultations éparpillées menées par des professionnels du genre, officiant sur commande de la C.T.M. , ou encore de se limiter à des prises de position de chaque courant politique, comme nous le faisons depuis l’ouverture du « débat ». Il est essentiel que les progressistes débattent, que l’on cherche les moyens de faciliter l’intervention des masses, seul médicament aux maux qui nous assaillent.

C’est dans cette perspective que le G.R.S. a sollicité trois autres mouvements politiques pour débattre de la question institutionnelle, des urgences et du rôle des partis et des masses, dans la conjoncture actuelle.

Nous les remercions de leur accord, qui débouche donc sur une première expérience, le jeudi 10 novembre à 18h. Cochez la date. Réservez votre soirée.

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Nicaragua : brisons le silence !

Seul ATV a répondu à l’invitation du G.R.S. et de L’U.

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