« L’oubli que nous serons », un film de Fernando Trueba

À Madiana lundi 14 juin 2021 à 14h VOSTF

Par David Trueba, Héctor Abad Faciolince
Avec Javier Cámara, Nicolas Reyes, Juan Pablo Urrego
Titre original El olvido que seremos

Synopsis :
Colombie, années 1980. Le docteur Hector Abad Gomez lutte pour sortir les habitants de Medellin de la misère. Malgré les menaces qui pèsent sur lui, il refuse d’être réduit au silence. Le destin de ce médecin engagé et père de famille dévoué se dessine à travers le regard doux et admiratif de son fils.
Adapté de faits réels, L’oubli que nous serons est à la fois le portrait d’un homme exceptionnel, une chronique familiale et l’histoire d’un pays souvent marqué par la violence.

La presse en parle :

Voici par La Rédaction
Un très beau portrait du vrai Docteur Hector Abad Gomez.

Femme Actuelle par La Rédaction
Difficile de ne pas être remué, voire bouleversé.

Le Figaro par Eric Neuhoff
Dans la veine de Roma, le cinéaste colombien livre une renversante chronique familiale.

Les Fiches du Cinéma par Marine Quinchon
Adapté d’un best-seller colombien, ce beau portrait d’Hector Abad Gómez, médecin de Medellín engagé pour les défavorisés dans les années 1970-1980 et père exemplaire, est aussi celui d’une enfance heureuse qui n’occulte pas la déjà triste réalité du pays.

Marie Claire par Vincent Cocquebert
Une émouvante saga socio-familiale.

Télé 7 Jours par Julien Barcilon
Une chronique familiale touchante, ainsi que le portrait d’un homme d’exception. Quel beau film !

La Croix par Céline Rouden
Fernando Truebai parvient avec ce joli film à maintenir un subtil équilibre entre une comédie familiale lumineuse et enlevée et la chronique dramatique d’un pays gangrené par la violence dont l’arrière-plan politique a malheureusement parfois tendance à nous échapper.

Télérama par Frédéric Strauss
C’est aussi la modestie de ce héros du quotidien que retient l’Espagnol Fernando Trueba en réalisant un film simple et touchant comme une chronique du temps qui passe.

Le Monde par Clarisse Fabre
Le film souffre d’un scénario un peu confus et de longueurs.

Première par Thierry Chèze
Le cinéaste encapsule vingt ans d’un combat quotidien où la mort plane à chaque instant en un peu plus de 120 minutes d’une réalisation hélas sans grand relief. Ce qui implique qu’il survole plus qu’il ne creuse le destin hors norme et passionnant de ce personnage.

Le Journal du Dimanche par Baptiste Thion
[Un] récit empreint d’une douce nostalgie mais classique dans sa forme où le protagoniste égrène ses souvenirs d’enfant bourgeois au détriment des actions du généreux médecin et du contexte politico-social, seulement esquissés. Pas suffisant pour tenir sur la longueur (plus de deux heures quand même).