« Autres nouvelles du 21e siècle », texte Arthur Briand, m.e.s. atelier du Sermac

28, 29 & 30 mars 2019 à 19h. Espace culturel Camille Darsières

9 histoires, entre notes d’humour, clins d’œil aux expressions créoles, … qui entrainent dans des milieux naturels, patrimoniaux, festifs, sociaux,.. A lire aux enfants pour renouer avec la culture des contes.

Auteur : Arthur Briand est originaire de la Martinique où il vit. Il est enseignant. Son île est pour lui une source d’inspiration inépuisable. Il est très impliqué dans la vie associative et sportive depuis de longues années.

Nombre de pages : 124
Format : 145 x 200
Prix : 18,00 euros
ISBN : 978-2-36597-237-6
Rubrique : Roman

Résumé de Xénie Sorel-Pancaldi  ( quatrième de couverture)
« De l’univers de Trigo aux péripéties de Ti Kribich ou encore de Zékal Bleu, l’on est transporté dans un monde de bananeraies et de rivières, de bois, de mangroves, un monde qui traduit l’exceptionnel rapport de l’auteur à la nature, celui de l’enfant, joueur, observateur et espiègle un peu aussi, qu’il a sans doute été !
Plus urbains, Bradjak et Kòn-Lanbi nous font vivre la liesse carnavalesque sans manquer de nous interpeller sur les dérives festives d’une société en perte de repères et sans véritables perspectives… Une belle contribution à la préservation d’un patrimoine fait de mots, de pratiques ancestrales, celles des pêcheurs d’écrevisses à la nasse, des « kòn-lanbiyeur » des jours gras, ou encore des chasseurs de crabes de Pâques…
Traits d’humours piquants, jeux avec les mots, avec la langue créole, expressions parfois crues, insolentes, mais cocasses et toujours bien dosées, sobriquets savoureux des personnages hauts en couleur tels Astiké Lapo ou Bouden Lapia, c’est tout cela qui nous est proposé dans ce recueil qui séduit dès les premières notes par l’authentique simplicité de ce monde qui oscille entre tradition et modernité. L’électrification des quartiers fait de l’ombre à Bèt a Fé et l’on assiste à l’irruption des réseaux sociaux dans un quotidien rural où on ne l’attend pas forcément, au mitan des conciliabules « en bas feuille ». Pour que nos enfants renouent avec la culture des contes tellement présents dans notre tradition orale et pour notre plaisir d’adulte…
Pour s’offrir, l’espace de quelques heures, le plaisir des échappées complices et des éclats de rire.  »
Xénie Sorel-Pancaldi