Vues sur Cannes 2017 : du 2 au 13 octobre 2017

Voir le programme ci-après

Vous en avez peut être déjà entendu parler. Peut être même que vous avez déjà vu des films sous cette appellation. La Version Originale (ou VO pour les intimes), certains l’adorent, d’autres la détestent. Mais au juste…

…Qu’est ce que c’est la VO ?

Voir un film en version originale consiste à le regarder sans aucun doublage. C’est à dire dans la langue dans laquelle il a été tourné. Il s’agit d’une activité encore plutôt peu répandue dans notre pays mais en voie de démocratisation. Vous vous êtes en effet sûrement rendu compte que le marché du film en France est composé en grande partie de films étrangers (notamment américains). Pourtant, en allant les voir, vous vous êtes aussi aperçus que les personnages parlent tout au long du film notre langue. Vous devez alors vous en douter, les films étrangers sont doublés. C’est une généralité qui touche non seulement la France mais aussi l’Espagne, l’Allemagne ou encore l’Italie. Regarder un film doublé est pour nous devenu normal.

Mais il ne faut pas aller bien loin pour se rendre compte que cette pratique n’est pas aussi répandue chez nos voisins Européens. Prenons par exemple le Royaume-Uni, la Norvège ou la Suède : ces pays pratiquent le doublage uniquement lorsqu’il s’agit de films pour enfants. Le reste du temps, les films en langue étrangère sont sous-titrés. On parle alors de VOST : Version Originale Sous-Titrée. L’attribut “fr” qui peut parfois être présent à la fin veut simplement dire que le film est sous-titré en français.

Pourquoi regarder un film en VO ?

“Pourquoi s’embêter à regarder un film en VO alors qu’on peut tranquillement le regarder en français ?”

Il faut tout simplement savoir que pendant le tournage d’un film, les comédiens sont en relation directe avec le metteur en scène. Ce dernier est là pour les diriger, leur expliquer ce qu’il veut faire ressortir de par leur jeu. Ainsi sont travaillées les intonations, le débit de parole, les éventuels accents… Lors du doublage, le réalisateur n’est plus là. Certes, une fiche précisant aux doubleurs le jeu à adopter leur est transmise mais ils ne possédant pas forcément ni le potentiel de jeu, ni la voix du comédien d’origine. Le doublage peut vite s’avérer non conforme aux désirs du metteur en scène.

Et il faut aussi avouer qu’entendre un anglais ou un espagnol parler dans sa propre langue apporte un réel plus au film.

“Mais quand je regarde un film en VO, j’ai pas le temps de voir les images.”

C’est vrai et c’est logique. Lorsque le film est sous-titré (attention, VO ne veut pas forcément dire que le film est sous-titré) on passe forcément moins de temps à regarder l’image. D’un autre côté, plus vous regarderez de films en VO, plus vous serez habitués à lire vite les sous-titres et plus vous consacrerez de temps à l’image. Voir un film de cette manière a aussi une influence non négligeable sur l’apprentissage d’une langue, la plupart étant en anglais, c’est un atout à ne pas mettre de côté.

Florian Paume sur  Retrouver le cinéma

De quelques bonnes manières au spectacle

Au cinéma, au théâtre, à la salle de concert ou à d’autres évènements culturels Il convient d’arriver à l’heure, afin

  • – de ne pas rater le début,
  • – de ne pas déranger les autres spectateurs déjà assis ainsi que par respect pour les artistes du spectacle.

Le téléphone mobile doit rester éteint et il  convient  de pas le  consulter pendant la représentation.
Au cinéma on ne fait pas de bruit si l’on déballe et mange quelque chose pendant la séance.
On ne fait pas de commentaires pendant le spectacle, car cela dérange les autres spectateurs, voire les artistes en train de jouer sur scène.

Théâtre, concert, opéra
C’est à la fin d’un spectacle qu’on applaudit les artistes (jamais entre les symphonies musicales dans un concert).

Voici un point très délicat : la standing ovation. Autrefois, elle était extrêmement rare, ce qui faisait sa valeur. Aujourd’hui galvaudée par les publics d’émissions de télévision dressés à se lever sur commande dans une logique de spectacularisation, elle relève pour beaucoup d’un réflexe pavlovien. On vous regarde de travers si vous ne vous levez pas à la fin d’un spectacle, d’un concert ou d’un opéra pour applaudir. Cela devient n’importe quoi.  Les artistes sont là pour faire leur travail, ils le font. Ok. Retenez qu’on n’applaudit pas une caissière dans un supermarché après un passage à sa caisse et que de même on ne ‘surinvestit » pas les applaudissements.

Tout ce qui est excessif est insignifiant.
de Charles Maurice, prince de Talleyrand-Périgord


Lundi 2 à 19h30

&

Jeudi 12 à 19h30

  Visages Villages

De
Agnès Varda, JR
Avec Jean-Luc Godard, JR, Laurent Levesque
Genre Documentaire
Nationalité français

Synopsis :
Agnès Varda et JR ont des points communs : passion et questionnement sur les images en général et plus précisément sur les lieux et les dispositifs pour les montrer, les partager, les exposer.
Agnès a choisi le cinéma.
JR a choisi de créer des galeries de photographies en plein air. Quand Agnès et JR se sont rencontrés en 2015, ils ont aussitôt eu envie de travailler ensemble, tourner un film en France, loin des villes, en voyage avec le camion photographique (et magique) de JR.
Hasard des rencontres ou projets préparés, ils sont allés vers les autres, les ont écoutés, photographiés et parfois affichés. Le film raconte aussi l’histoire de leur amitié qui a grandi au cours du tournage, entre surprises et taquineries, en se riant des différences.

La presse en parle :
aVoir-aLire.com par Alexandre Jourdain
Avec tendresse et légèreté, Agnès Varda et JR explorent les territoires de la mémoire dans un superbe documentaire mâtiné de road-trip. Belle échappée sensitive, rieuse, où l’humour baroudeur du duo fait converger jeunesse et vieillesse avec spleen et passion.

La presse en parle :

Bande à part par Isabelle Danel
Comme dans un jeu de piste, un coq-à-l’âne, un Marabout-bout d’ficelle, une idée en entraîne une autre, saugrenue, rigolote, poétique. Ils imaginent des moments ludiques et singuliers qu’ils partagent avec les gens. Et avec nous spectateurs, ravis devant tant d’inventivité joyeuse, de complicité artistique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part

La Croix par Jean-Claude Raspiengeas
On n’oubliera pas les larmes de Jeanine, veuve de mineur, se découvrant sur la façade de sa maison. Ni, à la fin, le chagrin d’Agnès Varda.
La critique complète est disponible sur le site La Croix

La Voix du Nord par Philippe Lagouche
Au-delà de ces magnifiques Visages, villages – que tout un chacun aura plaisir à découvrir fin juin – nous voilà complices d’une amitié qui se noue et se forge entre deux artistes auxquels l’on sait gré de donner vie aux utopies. Agnès Varda et JR. Leur art, leur combat. Quelle énergie ! Quel bonheur de film ! Quel bol d’oxygène !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

Positif par Ariane Allard
De l’échange à la transmission il n’y a qu’un pas, bien sûr, que l’aînée toujours vive et le cadet souvent blagueur franchissent sans encombre. Colorant simplement leur énergie d’une nuance plus rare, et plus subtile : celle de la mélancolie. C’est alors que leur film (…) tutoie la grâce.

Cahiers du Cinéma par Nicholas Elliott
Visages villages nous provient d’une cinéaste en pleine forme, nous invitant à suivre le fil toujours surprenant de sa pensée, de voir par ses yeux. Ce plaisir-là ne s’épuisera jamais.

Culturebox – France Télévisions par Jean-François Lixon
Une grande leçon d’humanité.
La critique complète est disponible sur le site Culturebox – France élévisions

Direct Matin par La Rédaction
Ponctué par la voix off de JR et Agnès Varda, le documentaire prend une valeur instructive, quand il montre les techniques de travail de JR et de ses équipes. Mais là où il passionne le plus, c’est dans ces séquences où la complicité, émouvante et taquine, affleure entre les deux artistes.
 


Mardi 3 à 19h30

&

Vendredi 13 à 19h30

  Faute d’Amour (Prix du Jury Cannes 2017 )
Andreï Zviaguintsev-Russie- 2h09 De Andrey Zvyagintsev
Avec Alexey Rozin, Maryana Spivak, Marina Vasilyeva
Genre Drame
Nationalités russe, français, belge, allemandSynopsis :Boris et Genia sont en train de divorcer. Ils se disputent sans cesse et enchaînent les visites de leur appartement en vue de le vendre. Ils préparent déjà leur avenir respectif : Boris est en couple avec une jeune femme enceinte et Genia fréquente un homme aisé qui semble prêt à l’épouser… Aucun des deux ne semble avoir d’intérêt pour Aliocha, leur fils de 12 ans. Jusqu’à ce qu’il disparaisse.La presse en parle :20 Minutes par Caroline Vié
Le film raconte comment un couple en plein divorce se voit contraint de refaire cause commune pour rechercher leur fils de 12 ans mystérieusement disparu. Et c’est bouleversant.Bande à part par Jo Fishley
De la Russie poutinienne, le réalisateur d’Elena et du Léviathan n’aura jamais donné des nouvelles aussi sombres, aussi noires, de son anéantissement moral et de ses gouffres. Il remonte une monstruosité insupportable que chacun comprend et peut faire sienne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à partCulturopoing.com par Vincent Nicolet
Certains films, certains récits vous touchent au plus profond de votre être à un point tel qu’à l’issue de la projection rien n’est plus tout à fait pareil, comme si vous en sortiez changé. Reparti du dernier festival de Cannes avec le prix du jury, Faute d’Amour fait partie de cette catégorie rare.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

La Croix par Arnaud Schwartz
Andreï Zviaguintsev, au sommet de son art, signe un film sobre et bouleversant, qui lui a valu le prix du jury du 70e Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix

La Voix du Nord par Philippe Lagouche
Cette sécheresse de trait qui irradie le jeu des comédiens, ce regard clinique, ce refus de tout psychologisme, cette forme de thriller vers laquelle tendent, mine de rien, tous ses films ! Tout ce qui confère à cette œuvre majestueuse une valeur universelle.

Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Une vision âpre et désespérée d’un monde sans amour, où tout respire le manque de chaleur, en transcendant – et c’est tout l’art du réalisateur – la simple scène conjugale pour prendre valeur d’analyse d’un pays tout entier : le plus beau, et le plus grand, film présenté à Cannes, qui eût cent fois mérité la palme et a dû se contenter du prix d’un jury bien mal inspiré.

 


Mercredi 4 à 19h30

&

Lundi 9 à 19h30

  Le jour d’après
Hong Sang-soo – Corée – 1h32Avec Kim Min-Hee, Hae-hyo Kwon, Kim
Saeybuk
Genre Drame
Nationalité sud-coréenSynopsis :
Areum s’apprête à vivre son premier jour de travail dans une petite maison d’édition. Bongwan, son patron, a eu une relation amoureuse avec la femme qu’Areum remplace. Leur liaison vient de se terminer. Ce jour-là, comme tous les jours, Bongwan quitte le domicile conjugal bien avant l’aube pour partir au travail. Il n’arrête pas de penser à la femme qui est partie. Ce même jour, la femme de Bongwan trouve une lettre d’amour. Elle arrive au bureau sans prévenir et prend Areum pour la femme qui est partie…La presse en parle :Cahiers du Cinéma par Vincent Malausa
À sa manière de muse et de compagne, l’arrivée de Kim Min-hee comme point d’ancrage moral dans le cinéma de Hong Sang-soo a redéfini (…) le rapport de Hong à ses personnages et sa manière de se livrer plus frontalement (sécheresse) et plus entièrement (plénitude).Critikat.com par Axel Scoffier
Hong Sang-soo rejoue ici les infinies variations du motif de l’homme pris entre plusieurs femmes, des aléas de l’infidélité et de la lâcheté masculine, en y intégrant, par son travail du montage, une mise en doute du réel et l’organisation, au sein d’un même film, de récits alternatifs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.comCulturopoing.com par Séverine Danflous
Dans un Noir et blanc digne d’une estampe, le film capte une image du monde flottant, la peinture des émotions s’étale dans des plans fixes aux cadres immobiles qui resserrent des duos amoureux, conjugaux, de travail.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

La Septième Obsession par Séverine Danflous
Hong Sang-soo effleure les êtres, leur présence comme leur perte, et laisse planer une douce mélancolie sur cette neige qui recouvre Séoul et efface toute trace. C’est somptueux.

Les Inrockuptibles par Théo Ribeton
C’est peut-être ce qui entoure « Le Jour d’après » d’un parfum assez violemment intime voire impudique, mais aussi d’un poids plus lourd et plus sombre que ce à quoi nous a habitués le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

 


Jeudi 5 à 19h30

&

Mercredi 11 à 19h30

  Gabriel et la montagne
(Grand Prix de la Semaine de la Critique Cannes 2017)
 De Fellipe Barbosa – Brésil – 2h11
Avec João Pedro Zappa, Caroline Abras, Leonard Siampala
Genres Aventure, Drame
Nationalités brésilien, français


Synopsis:

Avant d’intégrer une prestigieuse université américaine, Gabriel Buchmann décide de partir un an faire le tour du monde. Après dix mois de voyage et d’immersion au cœur de nombreux pays, son idéalisme en bandoulière, il rejoint le Kenya, bien décidé à découvrir le continent africain. Jusqu’à gravir le Mont Mulanje au Malawi, sa dernière destination. La presse en parle :

Culturopoing.com par Laura Tuffery
Chacun ici entendra et retiendra le chant mystique de celui qui gravit la montagne à la recherche de Dieu ou de lui-même, le dernier chant de Gabriel, tantôt une critique acerbe du tourisme de classe, tantôt un portrait magnifié et magnifique de
l’Afrique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

L’Humanité par Salomé Revault d’Allonnes
Sensations proches d’Into the Wild (de Sean Penn), de 127 Heures (de Danny Boyle), mais aussi du cinéma direct de Jean Rouch : Fellipe Barbosa signe une ode sincère à la rencontre de l’autre.

La critique complète est disponible sur le site L’Humanité

Libération par Marcos Uzal
Une épopée empreinte d’une distance très délicate.
La critique complète est disponible sur le site Libération

Ouest France par Christophe Narbonne
Un road-movie aux accents picaresques et profondément humain.

Positif par Emmanuel Raspiengeas
(…) le film de Barbosa se distingue également par son intelligence d’écriture, empêtrant le spectateur dans une identification/rejet de ce marcheur aussi solaire
qu’insupportable, et une impressionnante rigueur esthétique, jamais galvaudée sur l’autel de son naturalisme.

Studio Ciné Live par Thomas Baurez
« Gabriel et la montagne » interroge notre perception du monde qui nous entoure et la formidable capacité du cinéma à le mettre en abîme. Un film à la fois simple et complexe, émouvant et trépidant.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live

 

Ciné Classic    

Vendredi 6 à 19h30
  L’été de Kikujiro
De Takeshi Kitano – Japon – 2h – 1999
Avec Takeshi Kitano, Yusuke Sekiguchi, Rakkyo Ide
Genre Comédie dramatique
Nationalité japonaisSynopsis:
Masao s’ennuie. Les vacances scolaires sont là. Ses amis sont partis. Il habite Tokyo avec sa grand-mère dont le travail occupe les journées. Grâce à une amie de la vieille femme, Masao rencontre Kikujiro, un yakusa vieillissant, qui décide de l’accompagner à la recherche de sa mère qu’il ne connait pas. C’est le début d’un été pas comme les autres pour Masao…La presse en parle :Première par Jean-Yves Katelan
C’est simple, c’est beau, c’est gai, c’est mélodieux, c’est japonais : c’est l’intelligence faite film.
La critique complète est disponible sur le site PremièreCahiers du Cinéma par Bernard Benoliel
(…) toute la beauté de L’Eté de Kikujiro réside dans un principe général d’inversion, l’enfant est aussi une rétroprojection de l’homme, celui qu’il a été et dont il se souvient, un enfant rêvant de rencontrer un homme comme lui !
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du CinémaChronic’art.com par Elysabeth François
Malgré ses élans sentimentaux conventionnels, L’Eté de Kikujiro conserve finalement intact le talent humoristique du cinéaste. On s’en contentera pour cette fois.
La critique complète est disponible sur le site Chronic’art.comLe Figaroscope par Emmanuèle Frois
Takeshi Kitano, en revenant vers son enfance, offre un beau et émouvant moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope

Le Monde par Samuel Blumenfeld
L’Eté de Kikujiro repose sur une seule idée, mais qui, prise dans le contexte de ce film magnifique, faussement sentimental et d’une extrême dureté, résonne à chaque image de plus en plus fort. L’enfant n’est pas un alter ego mais un double.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde

 

Séance Spécial Octobre Rose – En collaboration avec le Projet Amazones

Mardi 10 octobre à 19h30
  De plus belle
De Anne-Gaëlle Daval – France – 1h38 – 2017
Avec Florence Foresti, Mathieu Kassovitz, Nicole Garcia
Genre Comédie dramatique
Nationalité françaisSynopsis:
Lucie est guérie, sa maladie est presque un lointain souvenir. Sa famille la pousse à aller de l’avant, vivre, voir du monde…
C’est ainsi qu’elle fait la connaissance de Clovis, charmant… charmeur… et terriblement arrogant. Intrigué par sa franchise et sa répartie, Clovis va tout faire pour séduire Lucie, qui n’a pourtant aucune envie de se laisser faire.
Au contact de Dalila, prof de danse haute en couleur, Lucie va réapprendre à aimer, à s’aimer, pour devenir enfin la femme qu’elle
n’a jamais su être. Pour sa mère, pour sa fille, pour Clovis…La presse en parle :

Elle par Adèle Bréau
Entre comédie romantique à la française et drame en demi-teinte, «De plus belle » est un joli premier film qui fait passer du rire aux larmes, et désacralise la maladie comme les accidents de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Elle

Femme Actuelle par La Rédaction
Un thème fort rarement traité au cinéma emmené par Florence Foresti, touchante dans un rôle inhabituel pour elle.

Le Dauphiné Libéré par Jean Serroy
Sur un sujet fort et avec un casting attirant, et fait pour attirer, un mélo réussi, qui a le mérite, pas mince, d’éviter les pièges du pathos.

Le Parisien par Pierre Vavasseur
Tout est fort, tout est affûté, tout est intense dans ce premier film audacieux écrit avec le cœur et le corps.

Ouest France par Gilles Kerdreux
L’humoriste réussit son passage au grand écran, entre rire et émotion.

Télé 2 semaines par La Rédaction
Le charme de ce long métrage repose sur la délicatesse de la mise en scène, des dialogues drôles et des personnages secondaires exquis.