Vendredi 27 septembre 2024 à 20h55 sur Arte
Avec Kirsten Dunst, James Woods, Kathleen Turner
Titre original The Virgin Suicides
Synopsis :
États-Unis, années 1970. Cecilia Lisbon, dernière- née d’une fratrie de cinq filles, vient de faire une tentative de suicide. Pour changer les idées de leur benjamine, les parents acceptent d’organiser une fête à laquelle sont conviés des garçons du quartier, depuis toujours fascinés par ces cinq sœurs à la beauté renversante. Au cours de cette soirée, Cecilia se jette par la fenêtre. Dès lors, les filles Lisbon, au nombre de quatre, vont être de plus en plus étouffées par leurs parents surprotecteurs, jusqu’à la tragédie ultime…
La presse en parle :
Cahiers du Cinéma par Clélia Cohen
Avec les moyens d’un cinéma que Sofia Coppola s’invente brillamment plan après plan, y faisant coexister les flux les plus contradictoires, le cocasse et le terrifiant, les petites trouvailles acidulées et le classicisme (…)
Chronic’art.com par Laurent Robert
Une telle pertinence dans l’usage des fondements traditionnels de l’art cinématographique, en évitant la prouesse édifiante déplacée et en privilégiant le geste retenu mais éclatant, peut également amener à toucher du doigt le nirvana du cinéma.
Ciné Live par Sandra Benedetti
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Cplanet.com par Fabien Suarez
(…) une fois n’est pas coutume, Virgin Suicides est un film que l’on ressent plus qu’on ne le comprend. Parce qu’il nous touche dans ce qu’il a de plus tragique, de plus pathétique mais aussi de plus tendre.
Première par Olivier De Bruyn
(…) Virgin Suicides impose sa noirceur morbide dans la mécanique du film teenager… Sur la corde ultraraide, Coppola fille ne chute pas (…). Avec sa maîtrise hors pair (…) de la mise en scène (…), Sofia peut tout s’autoriser (…)
Repérages par Julien Welter
(…) ce college-movie lunaire est une ode sincère au trouble adolescent, fait de séquences rituelles (…) où éclate une mise en scène judicieusement matérialiste, via le culte éternel des objets adolescents (disques vinyles…).
Starfix par Sandra Benedetti
(…) il fallait rien de moins que la musique lancinante du groupe Air pour rehausser encore ce bijou de film qui vous cloue au fauteuil bien longtemps après la fin du générique.
Studio Magazine par Patrick Fabre
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama par Louis Guichard
Cette mémoire plurielle et exaltée donne au film sa forme spéciale, faite de réminiscences, de rêveries, de fantasmes flous, de souvenirs reconstruits. Sofia Coppola trame, plutôt qu’un récit classique, une vaporeuse élégie (…)
Urbuz par Jean-Philippe Tessé
(…) délicieux objet pop et arty qui vous titille les yeux, les oreilles et les neurones – et vous glace le sang.