Utama: la terre oubliée » un film d’Alejandro Loayza Grisi

/ 1h 28min / Drame
Par Alejandro Loayza Grisi
Avec José Calcina, Luisa Quispe, Santos Choque
Titre original Utama

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Synopsis :
Dans l’immensité des hauts plateaux boliviens, Virginio et Sisa veillent sur leur troupeau de lamas. Jusqu’ici, rien n’a pu les détourner de cette vie âpre, héritée des traditions : ni leur âge avancé, ni le départ des habitants de la région, chassés par la sécheresse. Aussi accueillent-ils avec méfiance la visite de Clever, leur petit-fils de 19 ans, venu les convaincre de s’installer en ville avec le reste de la famille. Réticent à l’idée de quitter sa terre, Virginio se montre inflexible. A tel point que le jour où il tombe gravement malade, il décide de le cacher à Sisa et Clever…

La presse en parle :
Positif par Bernard Génin
Primé à Sundance pour sa splendeur visuelle, Utama : la terre oubliée s’élève au-dessus du simple film de belles images […]. Les personnages existent, le drame de leur incommunicabilité nous touche. Magnifique !

Culturopoing.com par Jean-Michel Pignol
La beauté des images nous transporte dans une terre oubliée par les humains mais célébrée par un soleil dont les variations d’intensité révèlent toute la picturalité.

L’Obs par François Forestier
Un drame du bout du monde, beau comme une cantate de Bach.

La Croix par Céline Rouden
Grand prix au Festival de Sundance, ce premier film d’une grande beauté formelle et symbolique nous entraîne sur les hauts plateaux boliviens, où un couple âgé tente de résister aux effets du changement climatique et de la modernité.

Les Echos par Adrien Gombeaud
Premier film bolivien, « Utama » d’Alejandro Loayza Grisi nous conduit très loin, sur les hauts plateaux des Andes, et fait partie de ces projets entièrement dictés par la force du paysage. Un témoignage splendide de la fin d’un mode de vie.

Les Fiches du Cinéma par Simon Hoarau
Entre pudeur et pessimisme, l’essai frappe surtout par sa beauté visuelle.

Marianne par Olivier De Bruyn
Malgré son argument scénaristique a priori peu engageant, cette fiction bouleversante, qui sort sur les écrans quelques jours avant le début du Festival de Cannes, s’impose comme la révélation du printemps. À ne pas rater.

Voici par La Rédaction
Un étonnant et très beau « survival » immobile.

aVoir-aLire.com par Laurent Cambon
Utama : La Terre oubliée ne raconte pas seulement la tragédie du réchauffement de la planète et de l’avancée des déserts. Il décrit avec brio les conflits intergénérationnels et interculturels au cœur d’une Bolivie au bord de l’asphyxie.

Le Figaro par Olivier Delcroix
Distingué à Sundance, ce premier film bolivien ne manque pas d’attrait, mais pèche par son côté carte postale. Les majestueux paysages, aussi beaux soient-ils, ne suffisent pas à rattraper une intrigue convenue.

Le Journal du Dimanche par Baptiste Thion
Émouvant récit de la fin d’un monde, ce premier film à la narration presque aussi sèche que le sol arpenté envoute avec ses somptueux paysages et sa rigueur formelle.

Le Monde par Clarisse Fabre
Utama renouvelle le genre dans une version écologique, le réchauffement climatique se chargeant de tuer à petit feu tout un écosystème. La visite du petit-fils, qui tente de convaincre ses grands-parents de rejoindre la ville, vient troubler cette vie résignée, de manière un peu prévisible.