« Tár », un film de Todd Field

À Madiana en février, le 05 à 11h, le 06 à 14h

Par Todd Field
Avec Cate Blanchett, Nina Hoss, Noémie Merlant
25 janvier 2023 en salle / 2h 38min / Drame, Musical
Synopsis :
Lydia Tár, cheffe avant-gardiste d’un grand orchestre symphonique allemand, est au sommet de son art et de sa carrière. Le lancement de son livre approche et elle prépare un concerto très attendu de la célèbre Symphonie n° 5 de Gustav Mahler. Mais, en l’espace de quelques semaines, sa vie va se désagréger d’une façon singulièrement actuelle. En émerge un examen virulent des mécanismes du pouvoir, de leur impact et de leur persistance dans notre société.

La presse en parle :
20 Minutes par Caroline Vié
La descente aux enfers de son personnage, après des accusations de harcèlement, se révèle spectaculaire.

Culturopoing.com par Eléonore Vigier
Le cinéaste parvient à distiller les prémisses d’une descente aux enfers et d’un effondrement social, où la folie et la rage viennent s’installer progressivement avant de tout détruire, dans une symphonie assourdissante.

GQ par Adam Sanchez
Tár est un film impitoyable, salement incommode mais heureusement exigeant. De cette exigence que l’on a vu disparaître dans le cinéma d’auteur américain, égaré en postures morales et manichéisme facile, et qu’il faudrait davantage chérir.

Le Figaro par Eric Neuhoff
En chef d’orchestre au sommet de sa gloire, Cate Blanchett frôle le génie. Et contribue à faire de ce film sur l’abus de pouvoir un chef-d’œuvre.

Le Journal du Dimanche par Alexis Campion
Une chose reste sûre : de bout en bout, le scénario de ce basculement captive le spectateur sans jamais se perdre (malgré la longueur du récit, 2h38).

Le Monde par Murielle Joudet
Cela faisait bien longtemps qu’un film, un vrai film d’auteur, n’avait pas autant passionné le public, qu’un personnage fictif n’avait pas suscité autant d’engouement et de commentaires.

Les Echos par Adrien Gombeaud
Réalisateur rare, Todd Field signe avec « Tár » un grand film symphonique, inclassable et inquiétant, porté par une composition impériale de Cate Blanchett.

Ouest France par Thierry Cheze
Cate Blanchett livre une nouvelle composition renversante.

Télérama par Marie Sauvion
L’Américain Todd Field signe un film tendu et hanté, d’une maîtrise folle.

Voici par La Rédaction
Une complexité qui fait tout le sel de ce film brillant, examen très contemporain des dynamiques toxiques de pouvoir et de leurs diverses conséquences.

Critikat.com par Alexandre Moussa
Tár, premier film de Todd Field après quinze ans de silence, n’est sans doute pas le chef-d’œuvre annoncé, mais reste un excellent Blanchett-movie, au sens où l’actrice y trouve un rôle à sa démesure.

Dernières Nouvelles d’Alsace par Thibault Liessi
Faut-il se comporter comme un homme quand on est une femme pour accéder au pouvoir ? C’est la question centrale de Tár de Todd Field, ascension et chute d’une cheffe d’orchestre incarnée avec brio par Cate Blanchett dans un film intéressant mais trop long pour son propre bien.

Le Dauphiné Libéré par Thibault Liessi
Tár, comme Cate Blanchett, joue de l’ambiguïté avec une certaine forme de brio. On pourra néanmoins regretter que sa subtilité se cache derrière une lenteur et une longueur qui le rende si peu accessible.

Télé 7 Jours par Isabelle Magnier
Ce portrait d’une femme d’exception explore les liaisons dangereuses entre pouvoir et manipulation. Il peut rebuter par son austérité, son érudition intimidante, il agace autant qu’il fascine par sa peinture chic du milieu élitiste de la musique classique.

La Croix par Emmanuelle Giuliani
Portée par une Cate Blanchett impérieuse, la descente aux enfers d’une cheffe d’orchestre adulée n’évite ni les longueurs, ni les poncifs.