Révoltons-nous contre ce compte à rebours
Travailler « gratuitement » : le prix de l’injustice
Ce lundi 10 novembre à 11h31, les femmes françaises commenceront symboliquement à travailler « gratuitement » jusqu’à la fin de l’année. L’expression, reprise chaque automne par la newsletter féministe Les Glorieuses, ne relève pas de la provocation : elle met en lumière une réalité mesurée, chiffrée, persistante. En 2025, les femmes gagnent encore 13,9 % de moins que les hommes. Autrement dit, pour chaque euro versé à un homme, elles perçoivent 86 centimes.
Cette date symbolique résulte d’un simple calcul : rapporter cet écart de rémunération au nombre de jours ouvrés de l’année. Et le constat est sans appel : malgré neuf ans de mobilisation, les progrès sont si lents qu’à ce rythme, l’égalité salariale ne serait atteinte qu’en 2167. Cent quarante-deux ans d’attente pour que le travail des femmes soit reconnu à sa juste valeur !
Une stagnation masquée derrière de faibles avancées
On pourrait se féliciter que la date du « travail gratuit » ait reculé de quatre jours par rapport à l’an dernier.

— Par Sarha Fauré —
️ Un film d’Angèle Marrey – Documentaire, 52 min
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
Avec Mélanie Thierry, Artem Kyryk
— Par Sarha Fauré —
Le 24 mars 2025, Hamdan Ballal, coréalisateur palestinien du documentaire oscarisé No Other Land, a été arrêté par l’armée israélienne en Cisjordanie, suite à une violente attaque menée par des colons israéliens. Cette arrestation a eu lieu à Soussiya, un village situé dans le sud de la Cisjordanie, un territoire occupé par Israël depuis 1967. Selon les témoignages rapportés par Yuval Abraham et Basel Adra, les autres coréalisateurs du film, un groupe de colons a agressé Hamdan Ballal, le laissant blessé à la tête et au ventre. Après l’attaque, des soldats israéliens sont intervenus dans l’ambulance qu’il avait appelée et ont procédé à son arrestation, malgré son état de santé. Les témoins affirment avoir filmé les événements, et l’ONG Center for Jewish Nonviolence a également relayé ces informations.
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
—Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
— Par Sarha Fauré —
Le 20 janvier 2003, Edith Lefel, grande voix du zouk, quittait la scène, laissant derrière elle un mémorable héritage musical . En hommage à cette artiste d’exception, ce concert réunit une formation prestigieuse pour redonner vie aux chansons intemporelles de celle qui a marqué des générations. Née en 1963 à Cayenne en Guyane, de mère guyanaise et de père martiniquais, Edith Lefel a su, en deux décennies de carrière, s’imposer comme l’une des figures majeures de la musique caribéenne, notamment grâce à ses textes engagés et son timbre de voix unique.