En lieu et place du nombrilisme pleurnichard pour qui l’univers s’arrête au dit « monde noir » ( ?), éternel victime de toutes les atrocités et de la férocité des occidentaux depuis l’aube des temps. En lieu et place de ces bouffées de haine et de ressentiment contre ces « occidentaux », dont on continue pourtant allègrement à penser dans les concepts par lesquels ils se sont institués comme Etats modernes et qui font encore débats entre eux (citoyenneté, capitalisme, impérialisme, libéralisme, moyen âge…). En lieu et place, en définitive, de l’affect et de l’idéologie racialiste, ce qui s’impose pour informer nos compatriotes sur ce qui est entrain de se passer en UKRAINE c’est une analyse géopolitique qui donne le recul nécessaire pour mieux faire la part des responsabilités et comprendre.
Nous avons personnellement défendu en son temps, de concert avec un grand nombre d’intellectuels et de jeunes européens ainsi que de nord américains le principe de l ‘autodétermination et de la souveraineté des peuples pour nous même, pour l’Algérie, pour le Viet Nam et tous les autres pays colonisés, notamment en Afrique.

ans le panorama des cinémas du mode auquel nous convie régulièrement Steve Zebina, retour en ce mois de mai vers la Russie. Il est toujours surprenant de constater combien les cinémas nationaux gardent leur spécificité malgré la mondialisation culturelle. Le cinéma démontre en effet qu’il ne suffit pas d’avoir un Mac Do au coin de sa rue et des séries américaines au programme de la télé pour perdre totalement son âme. Cette résilience des identités nationales (ethniques, religieuses, …) est-elle un bien, un mal ? Un bien, sans doute, puisque la diversité est une richesse et un mal sans davantage de doute puisque les nations, ethnies, religions ne sont que trop portées à se faire la guerre.
À propos de trois siècles de théories sur les crises dans toutes les écoles de pensée économique, nous avons vu