— Par Jean-Marie Nol —
À la rentrée 2025, l’académie de Guadeloupe prévoit la suppression de 89 postes d’enseignants, répartis entre 22 dans le premier degré et 67 dans le second degré. Cette décision est justifiée par une baisse continue des effectifs scolaires, estimée à 1 687 élèves en moins (-2,3 %) pour cette rentrée, s’inscrivant dans une tendance de diminution de 21,5 % sur les dix dernières années, soit près de 20 000 élèves en moins.
Les syndicats d’enseignants et les fédérations de parents d’élèves expriment leur opposition à ces suppressions, arguant que la baisse démographique ne devrait pas servir de prétexte à des coupes budgétaires. Ils estiment que cette situation devrait plutôt être l’occasion de réduire le nombre d’élèves par classe et d’améliorer les conditions d’apprentissage. Ils craignent également que ces suppressions n’entraînent une augmentation du nombre d’élèves par classe, compliquant le suivi pédagogique. Ces organisations ont adressé des courriers aux autorités académiques et politiques, réclamant un moratoire sur ces suppressions et sollicitant une concertation pour évaluer précisément les besoins du territoire.
Le rectorat, de son côté, assure que malgré ces suppressions, le taux d’encadrement des élèves sera maintenu, voire amélioré.

— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Il serait plus que temps que la diaspora s’inscrive dans une trajectoire de développement économique et financier des pays Guadeloupe et Martinique !
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Face à un monde qui mute à toute vitesse, les Antilles semblent accuser du retard à l’allumage face à la nécessité de s’adapter au changement de paradigme !
— Par Jean-Marie Nol —
Il est plus que temps de cesser de rêver à atteindre l’autosuffisance alimentaire du fait du changement climatique !
— Par Jean-Marie Nol —
Pourquoi vouloir analyser uniquement le phénomène de l’exil des jeunes sur le plan politique et sociologique est une erreur ?
–
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
Les Antilles françaises traversent une période économique critique sans que nos élus ne prennent la mesure de l’urgence de la situation . Entre collectivités locales asphyxiées et ménages Martiniquais voire guadeloupéens submergés par l’endettement, la situation devient de plus en plus intenable. Alors que l’État impose de nouvelles restrictions budgétaires aux collectivités, les familles font face à une hausse vertigineuse du surendettement et des incidents bancaires. En Martinique , l’année 2025 s’annonce comme un tournant alarmant, révélateur d’une fragilité économique croissante. En effet, les
— Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
—Par Jean-Marie Nol —
— Par Jean-Marie Nol —
— par Jean-Marie Nol —